• Vigile en 24h 1 article Speech bubble 3 commentaires
  • 3 visiteurs connectés
  • Connexion
logo
  • Vigile
    • Rubriques
      • Histoire
      • Économie
      • Actualité internationale
      • Actualité québécoise
      • Géopolitique
      • Actualité canadienne
      • Médias
      • Société
      • Souverainisme
      • Vigile.Québec
    • Articles
    • Sources
    • Revues
    • Dossiers
    • Auteurs
  • Actualité
      • Dossiers du jour
      • Actualité québécoise
      • Actualité canadienne
      • Actualité internationale
      • Géopolitique — France - (2 articles)
      • Hydro-Québec — Grande Braderie - (2 articles)
      • Décoder le présent - (1 article)
      • Géopolitique — États-Unis d'Amérique - (1 article)
      • L’âme des peuples se trouve dans leur histoire - (1 article)
  • Articles récents
  • Revues de presse
  • Auteurs
  • Éditorial
  • Chroniques
  • Dossiers
  • Tribune Libre
    • Envoyer un texte
    • Politique éditoriale
    • Guide pratique
  • Radio / Vidéo
  • Dons
    • Vigile a besoin de votre appui!

      Joignez-vous aux Amis de Vigile

      Faire un don unique
      S'abonner
    • Pour joindre Vigile


      Envoyer un message
      Envoyer un texte

Nestor Turcotte

  • Featured 0d65be2e2d952e6e508b21a955c08386

    Nestor Turcotte92 articles

    • 103 106







Pauline, la maîtresse d’école

  • Nestor Turcotte
  • 16 mai 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 11 commentaires

Attendez que je me rappelle...

  • Nestor Turcotte
  • 14 mai 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 14 commentaires

Les coups de pied aux fesses...

  • Nestor Turcotte
  • 11 mai 2007
  • Tribune libre - 2007

Pour une "Révolution bleue"

Oserons-nous le faire et pousser plus loin pour chanter notre liberté?

  • Nestor Turcotte
  • 6 mai 2007
  • Vers la République québécoise
  • 2 commentaires

Le CIM de Denis Monière

Non, merci !

  • Nestor Turcotte
  • 2 mai 2007
  • PQ - stratégie revue et corrigée

Le référendum truqué

  • Nestor Turcotte
  • 18 avril 2007
  • Le Soleil
  • Vers la République québécoise

Et si le Parti Québécois n’était pas indépendantiste

Il y a eu la révolution orange. Il y a eu la révolution de velours. Pourquoi pas la révolution bleue ?

  • Nestor Turcotte
  • 3 avril 2007
  • PQ - stratégie revue et corrigée
  • 17 commentaires

Un chef B+

  • Nestor Turcotte
  • 16 décembre 2006
  • Boisclair - chef du PQ
  • 4 commentaires

Partez, monsieur Boisclair !

  • Nestor Turcotte
  • 10 décembre 2006
  • Boisclair - chef du PQ
  • 5 commentaires

Le coup de poignard de Lucien Bouchard

  • Nestor Turcotte
  • 21 octobre 2006
  • 1043 visites

Le Bloc, aux crochets d'Ottawa

  • Nestor Turcotte
  • 26 août 2006
  • La Presse
  • Le BQ prépare sa rentrée

Des militants inquiets

  • Nestor Turcotte
  • 30 mars 2006
  • La Presse
  • 2006 textes seuls
  • 1 commentaire
  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • Suivant

Financement

  • Maxime Boisvert - 2 juin 20245 $
  • André Lepage - 22 mai 20245 $
  • Gilbert Paquette - 20 mai 202410 $
  • Matthieu Rivet - 17 mai 20245 $
  • Hugo Lavoie - 10 mai 20245 $

Commentaires de Nestor Turcotte

  • À l'Est, rien de nouveau

    5 janvier 2013


    Monsieur Cloutier,

    Je demeure à Matane depuis 1968. Pascal Bérubé a été mon élève en classe de philosophie. Je le connais de longue date. J'ai lu le texte proposé ici: il confirme mes dires et mes pensées.

    NT

  • Une décision déraisonnable

    5 décembre 2012


    J'ai déjà écrit à André Boiclair, lorsqu'il était chef du PQ.

    Je lui ai demandé de me fournir une photocopie de son diplôme de maîtrise à Havard et le sujet de sa thèse. Je n'ai pas obtenu l'ombre d'une réponse.

    Quelqu'un sait-il quel était le sujet de sa thèse de maîtrise et à quel endroit on pourrait s'adresser pour avoir une photocopie de son diplôme venant de la prestigieuse université américaine?

  • La Cinquième colonne fédéraliste à l’oeuvre

    22 novembre 2012


    Je reviens de mon ancien collège (Matane). 13 élèves sont dans l'entrée du CÉGEP et empêchent les étudiants et les professeurs d'entrer dans l'institution.

    J'ai essayé faire comprendre aux étudiants que rien n'est gratuit dans une société.

    Si les étudiants peuvent suivre (ou pas) leurs cours, sans trop payer, y compris par et dans la gratuité, et qu'ils ne peuvent pas comprendre que quelqu'un paie pour eux, on a un maudit problème. Société égale échange de services.

    On doit commencer par faire comprendre ce petit bout de chemin avant d'entreprendre la route de la libération. Et si je comprends bien, ce n'est pas pour demain. Car, selon Madame Marois, on doit avoir cinq ans de turbulence. Les étudiants participeront-ils à la turbulence en l'encaissant ou en l'augmentant. Maudite bonne question !

  • Promotion de la souveraineté ? Lettre aux députés du P.Q et de Q.S.

    17 novembre 2012


    LE jour où les indépendantistes comprendront que le PQ n'a jamais été un parti indépendantiste, qu'il ne le sera jamais et que, par conséquent, il est urgent qu'ils s'organisent autour d'UN seul mouvement (dois-je écrire parti?) qui ne consacre son action qu'à l'indépendance du Québec, ces derniers auront fait le seul pas qu'il faut faire.

    Je vois Monsieur Aussant comme le rassembleur des indépendantistes. Dois-je vous dire que je ne perdrais pas mon temps à aller écouter, dans une salle, un ministre péquiste, de passage dans ma région, qui viendrait,comme tous ses prédécesseurs, faire une annonce de subvention...

    Plus ça change, pire c'est !

  • Mon cher René

    4 novembre 2012


    Monsieur Gignac,

    Je viens de relire pour une nième fois le très beau livre ÉGALITÉ ou INDÉPENDANCE de Daniel Johnson.

    Si j'étais un peu plus riche, j'en ferais imprimer un numéro pour chaque député péquiste. Afin de leur rappeler qu'ils sont à des années-lumière de son discours politique.

    Il faut vite changer de véhicule. Je le redis. REDIS cent fois si c'est possible, car dans quelques mois, il sera trop tard. Pauline Marois aura donné le coup de grâce au mouvement indépendantiste.

  • Trahison

    25 octobre 2012


    Monsieur Vincent

    Votre question était: le PQ a-t-il trahi SA principale promesse. La réponse que j'ai donnée est OUI. En cela je vous rejoins.

    Pour le reste, je laisse aux lecteurs le soin de juger de la qualité de vos propos.

  • Trahison

    25 octobre 2012


    Je n'ai pas voté pour la farce politique de Pauline Marois.

    S'il y avait une autre élection demain matin, je ne voterais pas plus pour ce parti qui n'est plus que l'ombre de lui-même. Je n'en dirai pas plus, de crainte de me faire accuser d'être un anti-péquiste, ou un crypto-fédéraliste.

    Ceux qui ont redéfendu pour une nième fois le PQ et surtout le PQ-Marois, doivent bien convenir qu'ils se sont faits berner UNE FOIS DE PLUS. En ont-ils assez de se faire charrier de cette manière? Il semble bien que NON. Si c'était Charest qui n'avait pas tenu ses promesses, VIGILE serait là à l'accuser de trahison. Madame Marois a mis sous le tapis sa principale promesse électorale, pas un mot de la part de ceux qui se disent souverainistes.

    Si les indépendantistes veulent, mais veulent vraiment se regrouper et faire avancer, visière levée, la cause de leur pays, ils doivent se regrouper autour de M. Aussant. Le feront-ils? Je n'en suis pas certain. Pourquoi? Ils croient toujours qu'un parti confédéraliste parfois tout simplement nationaliste, va les mener vers le pays espéré. Ils couchent avec leurs espoirs déçus et espèrent le possible avec un parti désarticulé sur la question indépendantiste.

    A chacun ses illusions. Il y a longtemps que j'ai laissé les miennes dans le vestiaire confédéraliste du PQ.

    Nestor Turcotte

  • Serrons-nous les coudes pour l’avoir enfin, notre pays

    22 août 2012


    Et comment pouvez-vous avancer, quand le chef de votre parti à mis au rancart l'article I du programme du parti Québécois? Je vous trouve bien drôle. A moins qu'on ne vous l'ait pas dit que l'article I était disparu...

    Et cet article I a été biffé sans passer par un Congrès général. On avance ou on recule?

    Lisez le programme de 2005 et lisez le programme de 2011...et vous verrez que vous reculez...

    Nestor Turcotte

  • Je ne peux pas appuyer la farce politique de Pauline Marois

    22 août 2012


    @Mario

    Nestor a raison.

    En 1995, la question, selon Parizeau, devait être: Acceptez-vous que le Québec devienne indépendant en date de ....
    OUI ou NON ?

    La question posée ne fut pas celle-là.

    Alors qu'a-t-on fait?

    On a modifié la thèse claire de Parizeau pour présenter quelque chose qui devait plaire à Bouchard et particulièrement Dumont qui n'a jamais dit qu'il était indépendantiste pendant la campagne référendaire. Alors, que faisait-il dans le camp du OUI?

    La réponse est simple: on a voté en 1995, sur un mandat de négociation (non sur l'indépendance) afin de faire une authentique Confédération canadienne. Ce que la question de Bourassa demandait. C'est pourquoi Landry appuyait la question de Bourassa.

    En cas d'échec des négocations (c'est facile de dire que l'autre partie ne veut pas négocier) le Québec, selon la loi votée à l'Assemblée nationale, s'arrogeait le droit de déclarer l'indépendance sans consulter à nouveau les citoyens.

    C'est ce qu'on a appelé la cage à homards. Voyez-vous, cher monsieur, un homard, pris dans une cage ne peut pas en sortir. Le OUI donné, aurait empêché les Québécois de se prononcer à nouveau sur la suite des choses. Au moins, en 1980, René Lévesque avait promis de faire une 2e référendum afin que les citoyens approuvent ou pas les négociations (si jamais celles-=ci s'étaient produites)

    Un député du BLOC m'a dit pendant la campagne de 1995 que l'important, c'était d'avoir un OUI. Ajoutant que le jour où on l'aurait, on ferait bien ce qu'on voudrait ben en faire.

    C'est pourquoi, j'écris qu'en 1995, 50 % au moins des gens qui ont voté OUI pensaient qu'ils allaient rester dans le Canada suite aux négocations (sondages faits trois ou quatre jours après le jour du référendum).

    Ce que les Québécois ne savaient pas, c'est qu'en disant OUI à la question, ils donnaient, par la suite à l'Assemblée nationale, le droit de faire du OUI ce que les députés et ministres du PQ voulaient bien en faire .

    Ceux qui ont voté OUI (l'autre 50 %) pensaient qu'ils allaient, avec ce OUI, sortir du Canada. J'ai vu et entendu des soit disant séparatistes me dire qu'ils n'en étaient pas certains.

    Cela explique que certains péquistes ne m'aiment. Ils ont voulu, deux fois, faire l'indépendance par la bande. L'indépendance, c'est trop sérieux pour que ça se fasse dans la brume. Ce doit être un choix clair...et éclairé.

    Nestor Turcotte

  • Je ne peux pas appuyer la farce politique de Pauline Marois

    20 août 2012


    @ Monsieur Jacques NOEL.

    Je vous réponds par l'absurde.

    Vous devez admettre avec moi que Bernard Landry se dit maintenant indépendantiste. Ce qu'il n'osait pas dire tout haut lorsqu'il était chef d'ÉTAT. Il se disait en faveur d'une union confédérale. Je n'ai jamais entendu Landry dire qu'il était indépendantiste, sauf depuis qu'il a quitté le gouvernement de Québec.

    J'ai écrit dans mon texte qu'à son retour de Bruxelles en 2002, Landry avait dit qu'il voterait OUI à la question que Robert Bourassa avait suggérée dans la même ville, deux ans auparavant, car disait-il, la question de Robert Bourassa contenait les éléments de la question posée par le triumvirat (Parizeau-Bouchard-Dumont) en 1995: deux États associés économiquement et POLITIQUEMENT.

    Or, selon certains, Bourassa n'a jamais été indépendantiste. Comment expliquer alors que Bernard Landry affirmait enn 2002 qu'il voterait OUI à la question de Bourassa (laquelle contenait substantiellement les mêmes éléments que la question référendaire de 1995?)

    Il y a deux réponses possible à cette question.

    1) Ou bien Bourassa était indépendantiste et il n'a pas osé poser la question à cause de pressions économiques venant de l'extérieur. C'est la VERSION que je retiens. Et il aurait gagné à 65 % selon les sondages de l'époque.

    2) ou Bourassa n'était pas indépendantiste et la question posée en 1995 ne portait pas sur l'indépendance du Québec mais sur autre chose. C'est ce que j'ai toujours soutenu. Et je pourrais vous en faire la démonstration. ON s'est fait avoir...

    Je vous laisse le soin de choisir (1) ou (2)

    NOTE: Le plus beau moment de notre histoire politique s'est passé sur le parquet de l'Assemblée nationale de Québec, le soir du petit discours de Bourassa, suite à l'échec de MEECH.

    Jacques Parizeau, debout, tendant la main au Premier ministre, lui demande de faire l'indépendance avec lui. Cela n'est s'est pas produit. Pour une rare fois, le peuple, par l'intermédiaire de ses représentants, était uni.

    LE PQ, par la suite, s'est moqué de Bourassa et lui a demandé de faire un référendum sur l'indépendance et rien d'autre. J'ai tous les documents. Il a demandé au leader libéral de faire ce qu'il a jamais osé faire: proposer l'indépendance du Québec aux électeurs du Québec et les faire voter sur la question fondamentale.

    N'oublions jamais qu'Option Québec (de René Lévesque) a été écrit dans le sous-sol de la maison de Robert Bourassa.

    AUTRE NOTE: Le PQ veut faire l'indépendance, paraît-il. Comment expliquer que Pauline a toutes les misères du monde à prononcer ce mot lors de ses discours. Et si on veut, un jour, avoir plus de 50 % du vote populaire, il faudra cesser nos divisions et nos mépris,comme ceux que je lis, en sourdine dans certains commentaires sur VIGILE. JE tais les noms par respect des personnes. Mais je les ai mémoire pour longtemps. Et je ne suis pas le seul à vivre cette situation.

    J'ai décrit dans mon article ce qui s'était passé depuis 40 ans. Pas par mépris. Pour comprendre les faits. Afin qu'on ne répète pas l'histoire.

    Eh ben...certains, subtilement,mérpisent ma personne plutôt que de commenter mes propos et de les corriger si possible. Je crois que dans l'ensemble, je dis les choses telles qu'elles se sont passées. J'ai le regret de vous dire que dans quatre ans, rien ne sera passé. Car, les péquistes, amant inconditionnés du pouvoir, ne voudront rien précipiter...On connaît le refrain.

    Si le PQ me disait qu'au cours du prochain mandat il poserait la question suivante: Acceptez-vous que le QUÉBEC devienne indépendant en date de....OUI ou NON. Je voterais pour lui. En attendant,le rêve s'étiole et qui sait sera bientôt enseveli par le parti même qui devait, à l'origine, conduire le peuple du Québec à sa libération nationale.

    Nestor Turcotte

  • Je ne peux pas appuyer la farce politique de Pauline Marois

    20 août 2012


    Je ne suis pas attaché à un parti. Que ce soit le PQ ou PLQ ou QS ou ON qui veillent faire l'indépendance, je m'en vous royalement.

    L'imporant c'est qu'elle se fasse. Me Cloutier a démontré dans son ouvrage fort bien documenté que le PQ a trahi ses militants. Tous ceux qui critiquent ici, l'ont-ils jamais lu? Me Cloutier a raison de la première ligne à la dernère.

    J'endosse parfaitement ce que l'auteur écrit. Je ne suis pas aveuglé par la partisanerie. Nous avons été trahi. Pierre Bourgault dirait la même chose que Me Cloutier.

    Quant au reste (je parle de quelques commentaires), ce sont des attaques personelles. Et je m'en fous aussi royalement. C'est la tactique du PQ connue depuis longtemps. J'ai trop de confrères et de consoeurs qui en ont été victimes, qui en ont souffert toute leur vie, pour que j'embarque dans cette galère. J'en suis victime et je continue ma vie.

    Robert Bourassa, historiquement, personne ne peut le nier, a été tout près de faire l'indépendance après MEECH. J'en ai les preuves à la maison. S'il l'avait fait, j'aurais applaudi. Si c'est un autre qui décide de s'y atteler, j'y serai. Pour le moment, le PQ est redevenu UNION NATIONALE.

    Pour le moment, Pauline reprend le vieux refrain de Pierre-Marc Johnson et de Gilles Duceppe: défendre les intérêts du Québec. Si c'est ça faire l'indépendance, eh ben, passons à autre chose. On n'élit pas un parti qui se dit souverainiste, pour faire avancer et défendre les intérêts du Québec. D'autres partis peuvent s'en charger.

    Hier soir, au débat, seule Madame David a eu le courage de se dire carrément indépendantiste. Si Option nationale avait été là, le débat aurait été bien différent. Pauline Marois parle de défendre son projet de pays, alors que c'est elle-même, hors d'un congrès qui a fait biffé cette réfence dans le programme voté en 2005. Faut le faire et faut le dire ! COUDON, y-a -t-=il encore quelqu'un qui écoute ce qu'elle dit et qui comprend ce qu'elle fait?

    En passant, pour les pauliniens, pourquoi, Pauline Marois ne monte pas plus dans les sondages (32 %) alors que, selon plusieurs analystes, le gouvernement est le plus détesté de l'histoire?

    Les gens ne voient pas en elle, tout simplement, une alternative. Cela explique qu'il y a encore 40 % des gens qui ne savent pas pour qui voter.

    Je suis disponible pour un débat avec n'importe qui, à condition qu'on me paie mon essence. Je n'ai pas de compte de dépenses et je ne suis pas millionnaire....

    Nestor Turcotte

  • Le vote souverainiste sera fortement divisé

    16 août 2012


    Madame Marois, cher Monsieur, a moins que vous ne sachiez pas lire, a mis au rancart l'indépendance du Québec pour le moment. C'est écrit noir sur blanc dans les documents officiels de son parti. Sauf, qu'elle n'a pas pris la peine de dire quand elle reprendra les hostilités. Elle passera sans doute tout son mandat, si elle est élue, à préparer les cinq années de turbulence qu'elle a elle-même annoncée.

    Monsieur Legault a été clair: dix ans sans parler d'indépendance. Au frigidaire, la souveraineté. Il y a des choses plus importantes à régler.

    QS mentionne dans son programme qu'il est souverainiste, sauf qu'il en parle très peu durant la campagne.

    ON écrit noir sur blanc qu'il fait campagne pour l'indépendance du Québec. C'est rassurant et rafraîssant.

    Pauline est un «croyante» non pratiquante. A quoi ça sert? C'est comme un joueur de hockey assis sur le banc qui dit aux autres joeurs comment jouer au hockey...

    Au moins, avec ON, on est fixé. On veut faire l'indépendance et ON explique comment y arriver. Au pq, ON n'explique plus rien. Certains votent pour ce parti comme mon père votait rouge. On appelle ça des teindus.
    NT

  • «
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • 11
  • 12
  • »

Nestor Turcotte est suivi par:

  • Squared

    Dumas


À propos de Vigile

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.

Médias sociaux

Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

Vidéo Vigile

CONTACT #46 | L'américanisation de l'espace mental - Mathieu Bock-Côté (par Stéphan Bureau)

  • 14 janvier 2024

© Vigile.Québec 2025

  • Politique éditoriale
  • Envoyer un message