Pourquoi rester, pourquoi partir
9 novembre 2010
"Si je reste, qui partira?
et si je pars, qui restera?"
Dante, La Divine Comédie
Cohésion, solidarité et cohérence: attendez que j'y pense... Ah oui l'esentiel d'une société stable et viable
Résidant de Montréal. A fait plusieurs mandats en coopération internationale, et a travaillé dans plusieurs provinces anglophones. Formation académique en sciences, gestion et littérature.
Santé et finances publiques
Des remises en question salutaires
Égalité ou indépendance...
condition à l’intégration positive et à la vitalité du français dans le grand Montréal.
Attitudes positives et constructives, conditions à la solidarité et la cohésion
Intégration positive normale
Une approche pragmatique libérale
une manière de voir mobilisatrice pour peu que règnent des valeurs qui méritent qu'on dépasse des réflexes narcissiques se fondre en la mémoire collective ...
Lettre ouverte à Graham Fraser
Immigration - portes ouvertes du fédéral et la décision de limiter le prochain recensement
Cégeps en français pour les allophones
Version modifiée et augmentée
Autres mesures efficientes de francisation et d'intégration positive
9 novembre 2010
"Si je reste, qui partira?
et si je pars, qui restera?"
Dante, La Divine Comédie
Cohésion, solidarité et cohérence: attendez que j'y pense... Ah oui l'esentiel d'une société stable et viable
8 novembre 2010
Deux mots rassembleurs, essentiellement:
1. L’intégration positive est une condition de la pérennité d’une société stable et viable.
La responsabilité ultime de l’intégration incombre aux nouveaux arrivants. La société d’acceuil doit certes fournir un cadre et des moyens d’ntégration, et faire preuve d’attitudes tolérantes, mais il incombe aux nouveaux arrivants de participer aux traditions, au patrimoine culturel et religieux de la société où ils émigrent.
Ici, notre tradition est d’essence démocratique, l’égalité des hommes et des femmes prévaut, la langue commune de la société québécoise est le français et notre tradition, notre histoire relèvent de la contribution de la religion jchrétienne (ne pas mélanger religion avec tradition, nous sommes de traditions judéo-chrétienne, que cela plaise ou non.
Voilà essentiellement des données de notre être identitaire.
En ce sens l’enseignement de l’Histoire est aussi essentielle que l’enseignement d’un cours de religion chrétienne dans les écoles. Les cours optionnels (choix entre cours de morale religieuse et cours de religion catholique) doit être rétabli. Il faut pour être de la “québétude” connaître sa langue, son Histoire et les données de la tradition judéo-chrétienne au Québec.
Être ou ne pas être, telle est la question.
Faut-il rappeler que 83% des parents sont catholiques, et que près de 91% sont de tradition ou de foi judéo-chrétienne au Québec (protestants, catholiques, juifs, mormons etc). Certains extrémistes cherchent à introduire de force la laïcité (une forme qui leur convient et par laquelle nous devrions effacer de notre mémoire collective toutes les contributions de cette tradition et des institutions qui en sont issues) contribuent à affaiblir le lien identitaire du Québec. Et comme la nature a horreur du vide, la place serait mise et récupérée par un travail de fond de minorités arrivées au Québec depuis peu. C'est dans la nature humaine, cela se produira donc!
En définitive, tout impose que tout de notre patrimoine identitaire soit assumé, nettement. Ce respect envers soi-même permet une tolérance ouverte aux autres.
Bien votre
5 novembre 2010
Permetrez-moi encore de compléter ma pensée sur le thème qu'il faut introduire avec délicatsse et respect, mais conscient des impacts ..
« Les hausses importantes du niveau d’immigration auront engendré une diminution de la proportion des immigrants francophones. Ainsi, les périodes de hausses marquées des volumes d’immigration, soit entre 1990-1994 et entre 2003-2009-2010, coïncident à des baisses de la proportion des immigrants ayant une connaissance unique de français : la hausse des niveaux d’immigration se fait aux dépens de la proportion des immigrants ayant une connaissance unique du français (laquelle diminue alors entre 21 et 23%),…
. la situation démolinguistique du français s’est dégradée suite à chacune des ces vagues d’immigration, dont vraisemblablement depuis 2007. » Extrait essai à paraître M. P. , copyright 2010.
Il est faux de prétendre que " Pour réduire les retombées négatives du vieillissement de la population et d’un manque sectoriel de main d’œuvre l'immigration représente une solution de choix...
2. l'efficacité de cette mesure dépend des résultats obtenus par les immigrants sur le marché du travail" laissant entendre par là que plus doit être fait pour satisfaire de demandes particulières.
Ces deux énoncés ne reposent sur rien et s'avèrent fausses.
En effet, l'immigration ne constitue pas la solution de choix, mais une parmi d'autres. Ces moyens plus efficaces et plus respectueuses de la population québécoise consisterait à contrer le taux de décrochage chez les jeunes (niveau secondaire et professionnel) à recycler une partie des assistés encore jeunes vers des emplois professionnels en demande, d'inciter de jeunes retraités à reprendre le marché du travail.. Voilà
2. Par ailleurs l'efficacité de l'immigration pour contrer certaines pénuries de main d'oeuvre et un vieillissement de la population dépend plus de la composition de cette immigration que d'une augmantation des volumes. Le rapport du Vérificateur général du Québec précise bien que la sélection des immigrants est fautive, que les dossiers seraient mal évalués, et souvent peu en correspondance avec les besoin d'intégration sociale et économique.
...."
Respectueusement votre
Michel P.
P.S. http://www.vigile.net/Sur-le-theme-de-la-cohesion
4 novembre 2010
Monsieur Bernard Landry,
Malgré le sincère respect que je vous porte, je dois porter à votre attention que votre argumentaire fait fausse route sur un point important, ce lorsque que vous faites référence aux vertus sans sens critique d'une immigration à haut volume. Contrairement aux idées reçues l'immigration aux niveaux actuels, dans une conjoncture économique incertaine n'est pas requise. ce pour deux raisons fondamentales:
1. Il y a déjà un problème d'intégration linguistique dans la grande région métropolitaine. Montréal s'anglicise de manière effarante depuis 2003/2004, et particulièrement depuis 2007;
2. le seuil des bénéfices économiques marginaux négatifs et la charge budgétaire excédentaire serait déjà dépassé; et le fardeau budgétaire d'une immigration à des niveaux trop élevés et d'une composition correspondant peu aux objectifs d'intégration sociale et économique et aux besoins réels en main d'oeuvre en région, pourrait être insoutenable s'il fallait que la récession perdure ( récession en W possible aux E.U et et en zone Euro)- taux de chômage élevé, déficit budgétaire exorbitant, etc.-
Mes validations démontrent bien, à la suite de l'Institut Simon Fraser, que l'immigration ne contribue pas à rajeunir la population d'une manière significative; et, elle ne contribue pas à contrer le déficit démographique puisqu'il n'y a pas de déficit aux termes même des dernières simulations (2009, Statistique Canada, Institut Fraser, L. Marmen et al.; Marc Termote, etc,)
Ce qu'il faut ce n'est pas un quota -un volume élevé à atteindre en dépit d'indications contraires- mais une proportion d'au moins 70% d'immigrants ayant une connaissance unique du français (francophones). Voilà l'objectif clair et lucide. À défaut, vous allez contribuer à un déséquilibre linguistique, et la paix linguistique serait menacée sur l'île de Montréal.
Sous les conditions actuelles, le seuil de capacité d'intégration linguistique se situerait autour de 10,000 sur l'île de Montréal et que de 25,000 au Québec.
Par ailleurs, les incongruités du ministère de l'immigration du Québec causent maintenant un problème pour la vitalité même de langue française dans la grande région de Montréal. La hausse, sans consultation préalable, sans appuie démocratique de l'immigration à à des niveaux de plus en plus élevés depuis 2004 relève d'un erreur fondamentale. Je vous rappelle que les États-Unis, qui présentent pourtant des signes de troubles sociaux liés à d'intégration se contentent d'un rapport d'immigration de moins que 1/300 (Immigrants/population totale). Ramené au niveau canadien, cela signifierait un seuil maxinmal de 100,000 immigrants pour tout le Canada, et que de 28,000 immigrants annuels pour le Québec.
Ainsi, les intentions du gouvernement fédéral (et par le fait même au Québec) de hausser à des niveaux records l'immigration largement anglophone et anglotrope sont douteuses (à plus de 93% au Canada dans son ensemble et à quelque 50% au Québec) ne répondent en rien à des besoins rationaux et objectifs; et, cela contribue rapidement à marginaliser les populations francophones. dans tous les cas l'immigration devrait être ramené à des niveaux plus bas, et au Québec le MIIC devrait faire en sorte que sa composition soit francophone, et de qualité, à plus de 75%.
Respectueusement votre
3 novembre 2010
Sur le thème de la cohésion
une manière de voir mobilisatrice pour peu que règnent des valeurs qui méritent qu’on dépasse des réflexes narcissiques; se fondre en la mémoire collective ...
http://www.vigile.net/Sur-le-theme-de-la-cohesion
24 octobre 2010
Nul n'est parfait ni prophète en son pays... Toute situation de problèmes n'est pas la responsabilité d'un seul ou d'une seule, mais de tous utilement par des actions solidaires et cohésives Que pouvez-vous faire pour aider? Telle est la question ultimement garante de la viabilité d'une société plus juste..
En particulier,
Il faut que chaque citoyen se réapproprie une fierté pour la langue française et la culture francophone.
Ainsi, ce mouvement pour la société distincte –que l’on soit souverainiste, indépendantiste, fédéraliste, ou que sais-je- s’alimente de la contribution de tous, de chacun des citoyens, monte de la base, de chaque famille, de chaque village, de l’ensemble dans un crescendo vibrant qui ferait que vivre en français se ferait d’évidence, sans douleurs, sans soulever de petites chicanes d’opinions…
Le jour où chaque citoyen sera un agent de francisation (des allophones et des nouveaux arrivants que l’on invite à se joindre inclusivement au peuple francophone) et un agent culturel parce que chacun aura un sens de sa dignité en tant que citoyen d’une Cité pour ses citoyens, alors la vitalité de la langue française au Québec et la pérennité du fait français au Canada ne seront plus un sujet d’inquiétude, mais une réalité tangible, car un peuple se fonde sur les qualités morales et civiques de ses concitoyens et les volontés constructives qui émanent de valeurs communes valorisées. Que tout de ce fondement s’exprime légitimement, et alors la légitimité du peuple canadien-français ne se posera plus problème car elle s’établira sur une volonté légitime commune.
D’où ma suggestion de commencer par conscientiser les citoyens ordinaires à leur rôle actif en tant que porteur d’un message d’intégration à la langue française des Allophones et des nouveaux arrivants. Comment… une campagne de sensibilisation qui portera un message positif pour ….quelque chose de …
voir une autre correspondance portant sur le thème de la cohésion, et ausi une campagne de sensibilisation constructive et positive...
Bien votre
14 octobre 2010
Monsieur,
Il n'y a pas d'adversaires, je refute ce mot: il n'y a qu'un peuple qui a extraordinairement besoin d'un discours de cohésion sociale, de solidarité, un discours rassembleur; que cessent les petites querelles, alors que nous sommes tous de tradition canadienne-française, de la québécité/francité. Mon discours en est un d'un appel à plus de solidarité de manière à ce que tous puissent partager et porter un message commun -qu'importe les options politiques- d'une fraternelle cohésion autour de la question de la langue, fondement d'un peuple.
Quand à la référence aux canadiens-français hors Québec.. : tout appelle à une fraternelle coopération avec l'ensemble des francophones ..
Humblement, je vous réfère à deux petits textes affichés sur ce site, l'un en solidarité avec les francophones Ontariens et Acadiens; l'autre sur le thème de la cohésion.
Bien votre
Michel P.
14 octobre 2010
Monsieur,
Messieurs,
Bien, mais comment? Soyez pargmatique et précisezdes moyens concrets qui réfléteront l'état actuel de la situation,des moeurs, et des mentalités:
suggestions: .1. 2. 3.
13 octobre 2010
Monsieur Le Hir,
Commentateurs.
Deux mots, essentiellement.
1. Certes vous dites avec justesse "...et l’ennemi est aussi en nous, sous la forme de notre avachissement collectif. De tous, c’est peut-être ce dernier qui est le plus dangereux !" L'enfer c'est nous-même: politique d'immigration incohérente, politique linguistique incohérente sapée par le gouvernement libéral, contexte de copinage à commencer par le Québec inc. depuis les années 1990... Bon. Mais plus encore des attitudes individualistes égocentriques; d'autres attitudes encore qui relèvent de formes aussi à risque que l'intégrisme car il portent à juger tout en fonction d'une idéologie nihiliste des valeurs et des traditions qui ont pourtant tenu la société canadienne bien vivante (traditions judéo-chrétiennes, par exemple; valeurs morales éprouvées..) ; ... Bon
Pas facile à travailler ces monstres-là: ils sont tellement source de fragmentation sociétale, alors que tout appellerait à la cohésion, à la solidarité..
2. Mais il me semble bien que l'émergence d’autres opinions ne constituent pas nécessairement une preuve qu'il faille céder à la tentation de modes médiatiques du jour, comprenez-vous?
Que le modèle de l'État-Providence, interventionniste etc, soit remis en question, je le veut bien. Les écrits des Lucides et de M J. Facal sont allé dans ce sens-là. Bien. Mais cela n'appelle ni ne justifie la fragmentation des énergies vitales...
Madame P. Marois est une personne de grands mérites, un tel autre aussi. Un Sauveur politique n’existe pas, et lorsqu’ils surviennent, on les usent au Québec. Que le peuple se sauve lui-même par l’exerce d’un devoir de cohérence, de cohésion et de loyauté. Ce qui importe c'est de travailler ensemble, dans un esprit de cohésion et de solidarité, autrement tout de cela n'est que du bruit, et trop de bruit distrait de l'essentiel, et hébète….
Essentiellement, un consensus minimal mais fondamental est établi autour de la question linguistique, et devrait unir tout le monde, au-delà de critiques subsidiaires de moindre importance, et les sensibilités orgueilleuses (Madame St-Pierre cherche une façon de ne pas perdre la face dans ce débat autour de la loi 103; elle sait qu’elle a tort, mais ne changera pas; vous voyez: c'est une question d'attitude, encore une fois et seuls les héros réussissent à s’élever au-dessus de leurs attitudes néfastes… Ce peuple-ci a t-il encore la force morale de voir émerger des héros? )
Essentiellement disais-je, l'intégration à la langue française, langue commune et fondement d'un peuple, est essentielle à la cohésion sociale et à l'épanouissement d'une société québécoise stable et viable. Cet énoncé devrait réunir tout le monde; et, alors orienter tout le monde (libéraux, souverainistes, révisionnistes, etc.) vers l'adoption déterminée et éclairée d'une politique de revitalisation de la langue officielle, le français: respect intégral de la Chartre de la langue française, intégration linguistique les nouveaux arrivants; politique d'immigration cohérente –francophone à 80% ... etc.
La société québécoise francophone aura un avenir que dans la mesure d'un combat collectif et solidaire -un peuple minoritaire doit toujours se battre, c'est dans la nature des choses, c'est vivifiant- pour la langue française, pour une culture distincte.
Michel P.
8 septembre 2010
Nous venons de prendre note d’une étude publiée le 7 septembre un nouvel Institut de recherche sur le français en Amérique (IRFA) financé par la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) sur les comportements linguistiques des étudiants du collégial, conclut que les étudiants francophones et allophones qui choisissent d’étudier dans un cégep de langue anglaise risquent fort d’évoluer vers l’usage de l’anglais et faire de l’anglais la langue parlée à la maison donc la langue maternelle de la génération suivante. Cette étude de nature statistique menée auprès d’une cohorte de quelque 3200 étudiants, fournit des résultats quantitatifs, des pourcentages, qui corroborent notre analyse qui s’appuie sur la nature des processus comportementaux et des vérités d’expérience. Voilà une preuve qualitative qui corrobore la justesse de nos analyses. Donc « la fréquentation d’un collège anglophone constituerait une étape déterminante vers l’adoption de la future langue d’usage naturelle (dans version revue, mai 2010) », donc vers l’anglicisation définitive des allophones. Dit autrement, la fréquentation d’un Cégep francophone serait une condition minimale pour introduire les jeunes allophones poursuivant leurs études supérieures à la francité québécoise par l’enseignement d’une manière de penser (philosophie), par la manière de se lier au terroir littéraire (littérature) et de faire corps à l’Histoire (cours d’Histoire) du peuple d’accueil.
Bien votre
8 septembre 2010
Nous prenons note aujourd'hui d'une étude publiée le 7 septembre 2010 par le nouvel Institut de recherche sur le français en Amérique (IRFA) financée par la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) sur les comportements linguistiques des étudiants du collégial, conclut que les étudiants francophones et allophones qui choisissent d’étudier dans un cégep de langue anglaise risquent fort d’évoluer vers l’usage de l’anglais et faire de l’anglais la langue parlée à la maison donc la langue maternelle de la génération suivante. Cette étude de nature statistique auprès d’une cohorte de quelque 3200 étudiants, fournit des résultats quantitatifs, des pourcentages, qui corroborent notre analyse qui s’appuie sur la nature des processus comportementaux et des vérités d’expérience. Voilà une preuve qualitative qui corrobore la justesse de nos analyses. Donc « la fréquentation d’un collège anglophone constituerait une étape déterminante vers l’adoption de la future langue d’usage naturelle », donc vers l’anglicisation définitive des allophones. Dit autrement, la fréquentation d’un Cégep francophone serait une condition minimale pour introduire les jeunes allophones poursuivant leurs études supérieures à la francité québécoise par l’enseignement d’une manière de penser (philosophie), par la manière de se lier au terroir littéraire (littérature) et de faire corps avec l’Histoire (cours d’Histoire) du peuple d’accueil.
Bien votre
Michel P.
7 août 2010
Monsieur,
L'assimilation des francophones hors-Québec est en nette progression, annoncée à vrai dire depuis les années soixante-dix, par la politique d'immigration et la marginalisation de la politique du multiculturalisme. Est-elle irréversible? En partie, dans certaines régions, probablement.Il demeure un vif et réel espoir chez les Acadiens, et les franco-ontariens. Les Acadiens sont fiers et résilients.
Des outils pragmatiques? J'en énonce trois dans ma courte correspondance d'hier le 6 août:
1.services complets d'écoles et de collèges francophones autonomes
2. immigration francophone, et sortir du plan de la politique d'immigration assimilatrice des canadiens-français du fédéral
3. récupérer les quelque 200,000 à 275,000 enfants ayant droit à l'éducation et à l'enseignement en français. Seulement le tiers est inscrit. Là est la source de toute une différence. Cette responsabilité repose concrètement et dans l'immédiat sur les épaules des Associations francophones hors-Québec, sur le Commissaire aux langues officielles, et sur le ministère responsable de la Chartre des droits et liberté, etc.
Voilà, je vous le dit, moi qui ai tout de même vécu plusieurs années en Ontario et au Nouveau-Brunswick. Ce sont des ramparts réels et efficients de la francophonie canadienne.
Un peu de solidarité constructive, éclairée et factuelle des québécois aiderait aussi, vous savez. Vous savez quelques grandes entreprises québécoises établies au N.B. dans des villes nettement francophones ou bilingues affichent leurs réclames qu'en anglais. Si les québécois faisaient pruve de soildarité avec leurs frères en la francophonie canadienne, ils feraient pression sur ces entreprises, cela serait déjà positif ( Pharmaprix, chaîne restaurant Chez Cora). Des villages francophones des Prairies auraient besoin de livres de qualité pour meubler leurs bibliothèques et leurs centres communautaires, Les Métis francophones de Batoche et des environs auraient besoin d'encouragements.... etc: Où est la solidarité concrète des québécois? Nulle part. Tant de petites choses concrètes seraient utiles, pourtant.
Bien votre
M. P.
Personne ne suit Michel Pagé. Soyez le premier!