Gare au PQ quand ils en auront assez…
6 juillet 2010
La raison bien souvent ignore le pragmatisme qui doit faire que le raisonnement soit conforme á la réalité.
« D’abord, situons-nous au lendemain de la défaite du Parti Québécois aux élections de mars 2007 devant un résultat qui donnait 48 sièges au PLQ, le faisant s’accrocher au pouvoir comme le premier gouvernement minoritaire depuis 1878 ; l’ADQ avec 41 députés parvient à enlever l’opposition officielle au PQ qui n’arrive à gagner que 36 sièges, faisant que ces élections soient des plus douloureuses dans l’histoire de notre parti. En effet, car à peine quelques mois avant ce scrutin tous les sondages donnaient au PQ une intention de votes favorables allant de 50 à 54%, pourcentage qui aurait été suffisant pour former un gouvernement majoritaire. Aujourd’hui nous savons quelles ont été les causes et les conséquences de cette débâcle électorale sans précédent qui va nous coûter 5 ans de travail acharné avant de reprendre le pouvoir. À cet effet, nul doute que le PQ nécessite une union sans faille de la grande famille souverainiste qui forme cette organisation appartenant au patrimoine démocratique comme référence de la politique de libération nationale des peuples du monde. Parti qui ne cessera d’aller en avant pour réussir à faire cette union essentielle conduisant à la reprise du Pouvoir qui mènera tout droit vers la victoire finale permettant de reconquérir l’indispensable libération du Québec, laquelle est incontournable et nécessaire pour assurer la survie du peuple canadien-français. »*
JLP
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*. Extrait de l'article Aux frustrés* du PQ. Au fond les frustrés ont raison mais le pragmatisme unificateur doit l’emporter au PQ (publié à Tribune libre de Vigile, 21 mai 2009)