Le nerf de la guerre
10 avril 2012
Monsieur Rolland,
LIBERTÉ DE PRESSE contre l’obsession totalitaire
En Corée du Nord, cet autre régime communiste, la nomenclature a implanté aussi un goulag de centaines de milliers de dissidents politiques afin d’arriver à incarcérer ces opposants à ce système totalitaire exterminateur, recourant à la terreur et au contrôle de l’information globale. C’est-à-dire, supprimer la LIBERTÉ DE PRESSE comme l’ont fait et le font tous les régimes totalitaires. Ainsi, pour réussir à se donner cette mainmise médiatique, seule la voie totalitaire y parvient, telle que suggérée par Michel Rolland dans son commentaire faisant suite à cet article de Bernard Frappier : « Avant de penser à quel que changement politique ou social que ce soit, il faudra renverser la dictature médiatique… » en Occident et par surcroit, au Québec.
Près de 200 000 prisonniers politiques en Corée du Nord*
[Selon le document, publié par la Commission pour les droits de l'homme en Corée du Nord, basée à Washington, il y aurait entre 150 000 et 200 000 prisonniers politiques en Corée du Nord. Certains d'entre eux auraient été condamnés pour des délits mineurs, comme de chanter des chansons sud-coréennes ou d'avoir séjourné en Chine voisine.
S'appuyant sur des entretiens avec 60 anciens prisonniers et gardiens de prison, le rapport s'alarme d'«un taux de mortalité exorbitant parmi les détenus», engendré par «des mauvais traitements, de la torture, des exécutions et la sous-alimentation».]
La conséquence ultime du fait de ‘’… renverser la dictature médiatique’’ dans les pays libres en Occident, ne peut conduire qu’au totalitarisme exterminateur et à l’implantation des goulags. Les pages noires de l’histoire des régimes totalitaires nous le rappellent très clairement.
JLPM
__________________________
*. Pour plus d’information sur ce régime communiste, consulter à Cyberpresse (10-04-2012) l’article intitulé Près de 200 000 prisonniers politiques en Corée du Nord