Pourquoi le Bloc Québécois doit se saborder de sa raison d’être à la Chambre des communes afin de réaliser l’Indépendance du Québec…
13 juin 2024
« À quoi ça sert le Bloc québécois à Ottawa ? Ça sert à quoi ? Ça sert à quoi ? » François Legault, Premier Ministre du Québec
Cette phrase du Premier Ministre, le << nationaliste à temps partiel >>, révèle une vérité qui << dérange >> sur la pertinence du BQ à Ottawa, démasquant ainsi le rôle insensé que joue ce parti en pérennisant sa démarche politique anti-indépendantiste pour la survie nationale du PEUPLE CANADIEN FRANÇAIS.
Faut-il préciser, un fois de plus, que le BLOC QUÉCOIS ne sera jamais une force politique à Ottawa pour la réalisation de l’indépendance du Québec ? Mais plutôt une << agence de placement >> entre << copains >>, telle qui fut révélée au temps du suffisant Gilles Duceppe.
Cet autre cas de subterfuge politique, de mensonge systémique, de trahison et d’imposture gouvernementale envers les intérêts nationaux du Québec impliquant le néo-impérialisme communiste de Xi Jinping et ses complices tant dans l’appareil du Pouvoir à Ottawa qu’à la Chambre des communes : les << ingérences étrangères >> consensuelles entre ceux antérieurement évoqués :
Elizabeth May (Parti Vert : de la supercherie institutionnalisée), autre mercenaire politique au service du gouvernement écolo-libéral-pro-communiste de l’imposteur Justin Trudeau
C’est une sortie médiatique fracassante qu’a faite le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), Jagmeet Singh, jeudi après-midi à Ottawa, pour faire part de ses conclusions après la lecture du rapport confidentiel du Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement (CPSNR).
Ce rapport, dont une copie caviardée avait été rendue publique, allègue que certains députés ont commencé à aider sciemment des acteurs étatiques étrangers peu après leur élection, notamment en leur transmettant des informations confidentielles.
M. Singh a accusé, sans les nommer, des parlementaires de traîtrise et a dit avoir été lui-même la cible d’ingérence étrangère. Il n'a toutefois pas précisé s'il s'agissait de parlementaires actuels ou non.
Il a également accusé le premier ministre Justin Trudeau d’inaction face aux allégations d’ingérence étrangère, alors qu’il avait été mis au courant.
M. Singh a par ailleurs écorché le chef du Parti conservateur du Canada, Pierre Poilievre, qui refuse d’obtenir la cote de sécurité nécessaire pour avoir accès aux documents secrets, lui reprochant de faire fi des allégations graves touchant son parti.
Le chef néo-démocrate a ainsi contredit la cheffe du Parti vert du Canada, Elizabeth May, qui a elle aussi eu accès à la version non caviardée du rapport du CPSNR et qui, pour sa part, s’était dite « soulagée » après l'avoir lu.
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M. Poilievre et le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, sont les seuls qui n’ont toujours pas lu ce rapport.
Mardi, M. Blanchet a dit qu’il avait l’intention de faire une demande pour obtenir une cote de sécurité et que le processus avait été lancé auprès du Conseil privé.
Les conservateurs font pression depuis plusieurs jours sur le gouvernement de Justin Trudeau pour qu’il révèle au public les noms des députés qui figurent dans le rapport du CPSNR.
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Pour davantage d’information sur ces faits de trahison de la part du gouvernement de Justin Trudeau et ses complices pro-communistes, veuillez consulter :
Ingérence étrangère : Jagmeet Singh accuse des parlementaires de « traîtrise »
Contrairement à la cheffe du Parti vert, le leader néo-démocrate se dit « plus alarmé » après avoir lu un rapport secret qui accuse des parlementaires d’avoir sciemment aidé des acteurs étrangers.
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JLPM