Les sceptiques seront confondus
12 novembre 2011
Vous dites en réaction aux commentaires de votre article du 10 novembre:
"Le pire crime commis par Charest et ses "p’tits zamis ", c’est justement celui-là, c’est d’avoir tué l’espoir et miné votre confiance."
Le problème n'est pas là du tout, M. Le Hir...le problème n'est pas non plus en la confiance que j'accorde envers France Charbonneau ni aux deux commissaires qu'elle s'est adjoints...
Le problème, c'est que vous ne semblez pas admettre que, peu importe les résultats auxquels arrivera le commission Charbonneau, Jean Charest aura eu tout le temps de se "revirer de bord" et de déclencher des élections avant les conclusions de l'enquête...brandissant le flambeau de l'écoute du "bon peuple" en ayant consenti à créer une commission d'enquête avec plein pouvoirs!
En tant que vieux routier des coulisses de la politique, croyez-vous vraiment que le conseil des ministres auraient consenti à conférer à la commission Charbonneau tous les pouvoirs que lui confère la Loi sur les commissions d'enquête s'il n'avait pas d'abord envisagé l'opportunité de déclencher des élections avant que la dite commission n'ait pu terminer ses travaux?