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André Lafrenaie

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Un Conseil du statut de l'homme

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Commentaires de André Lafrenaie

  • Gilles Duceppe et Yves-François Blanchet du Bloc québécois versus Nigel Farage du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni

    27 octobre 2024




         Quand Parizeau a démissionné au lendemain du référendum perdu de 1995, Bouchard l’a remplacé en 1996 comme chef du Parti québécois et comme premier ministre du Québec.  Ainsi, comme par magie, Ottawa contrôlait alors tout d’un coup tout le mouvement souverainiste québécois au complet!  En plus de contrôler le Bloc québécois qu’il avait carrément créé, son homme Lucien Bouchard était à la tête à la fois du Parti québécois et du gouvernement du Québec!

         La descente aux enfers du mouvement souverainiste québécois était désormais assurée à cent pour cent; et le Parti québécois n’a ainsi plus aujourd’hui, en 2024, que quatre députés à l’Assemblée nationale du Québec qui compte 125 sièges…

    André Lafrenaie



     

  • Pour le Bloc, l'intérêt du Québec, c'est de disparaître!

    27 octobre 2024


     

    Rebonjour M. Champoux,

         Vous écrivez que vous composez avec « le Bloc et le système politique du Canada [qui] sont certes imparfaits, mais nullement inutiles ».

         J’aimerais vous poser une seule question, à laquelle vous n’êtes évidemment pas obligé de répondre:  Êtes-vous fédéraliste?

         J’aimerais aussi apporter un autre commentaire.

         Quand Parizeau a démissionné au lendemain du référendum perdu de 1995, Bouchard l’a remplacé en 1996 comme chef du Parti québécois et comme premier ministre du Québec.  Ainsi, comme par magie, Ottawa contrôlait alors tout d’un coup tout le mouvement souverainiste québécois au complet!  En plus de contrôler le Bloc québécois qu’il avait carrément créé, son homme Lucien Bouchard était à la tête à la fois du Parti québécois et du gouvernement du Québec!

         La descente aux enfers du mouvement souverainiste québécois était désormais assurée à cent pour cent; et le Parti québécois n’a ainsi plus aujourd’hui, en 2024, que quatre députés à l’Assemblée nationale du Québec qui compte 125 sièges…

    André Lafrenaie



     

  • Pour le Bloc, l'intérêt du Québec, c'est de disparaître!

    18 octobre 2024


     

    Bonjour M. Champoux

    Vous demandez:

    « Je pense qu’il y avait aussi des gens du Parti Québécois, n’est-ce pas? »

         Les huit fédéralistes qui ont fondé le Bloc québécois en 1990-1991 n’avaient sûrement pas à ce moment-là une carte de membre du Parti québécois.

    Vous demandez aussi:

    « Mais qu’est-ce que cela change à l’état actuel de ce parti politique (le Bloc)? »

         Un parti créé par Ottawa va très vraisemblablement ou à toutes fins pratiques rester contrôlé par Ottawa tout au long de son existence, car son establishment mis en place au moment de sa création va toujours s’organiser pour que le militantisme du parti et les successeurs à la chefferie soient toujours dans le sens des intérêts d’Ottawa.  C’est très certainement le cas de Gilles Duceppe et d’Yves-François Blanchet.

    Vous demandez encore:

    « Quant au Bloc, il joue de manière imparfaite le jeu de notre imparfaite démocratie canadienne et québécoise.  Peut-elle être améliorée?  Très certainement »  

         Pour que le Bloc et la démocratie soient améliorés, il faudrait que le Bloc (et son chef Blanchet) cesse d’être hypocritement soumis aux intérêts d’Ottawa, car il est censé être un parti indépendantiste pour le Québec et ne devrait donc travailler que pour l’indépendance du Québec.

         L’équivalent du Bloc québécois au Royaume-Uni (R-U) a été le Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UK Independence Party) (UKIP)  de Nigel Farage; et Duceppe (ou Blanchet actuellement) était l’équivalent de Farage.  

         Le R-U était, avant le référendum du Brexit de 2016 gagné par le camp indépendantiste, un État membre de l’Union européenne (UE), tout comme la France ou l’Allemagne.  Le Brexit, c’est-à-dire le retrait officiel du R-U de l’UE, n’a toutefois été concrétisé comme tel qu’en 2020.   

         Farage a été un des membres fondateurs de l’UKIP en 1993.  Il en est devenu la figure prééminente en 1997 et en a été officiellement le chef de 2006 à 2009 et de 2010 à 2016.  

         Il n’a jamais cessé de pourfendre au plus haut point l’Union européenne, réclamant pendant une vingtaine d’années la sortie du R-U de l’UE.  Il a engrangé avec ça une série de succès aux élections européennes, où il a été élu en 1999, 2004, 2009 et 2014 (ainsi qu’en 2019 avec le Parti du Brexit [Brexit Party]), et où l’UKIP a remporté, en 2014, le plus grand nombre de voix et de sièges de tous les partis britanniques.  

         Il a ainsi mis beaucoup de pression sur le premier ministre britannique conservateur David Cameron (2010 à 2016), qui était partisan du maintien du R-U dans une UE réformée mais qui a fini par promettre, en 2013, l’organisation d’un référendum.  

         Cameron a tenu ce référendum en 2016 (après avoir remporté les élections générales de 2015 avec une majorité), lequel référendum a été gagné par le camp indépendantiste avec 51,89 % des voix contre 48,11 % pour le camp du maintien dans l’UE.  

         Farage craignait cependant un recul malgré cette victoire:  Cameron a démissionné après le référendum, et le Parti conservateur de Theresa May (qui a succédé à Cameron) n’a pas obtenu, aux élections générales (anticipées) de juin 2017, de majorité absolue (gouvernement conservateur minoritaire), et il y avait ainsi beaucoup d’obstructions, de blocage du Parlement britannique pour arriver à un terrain d’entente sur un accord régissant le retrait du R-U de l’UE.  

         Il y a ainsi eu une impasse suscitant trois reports de la date du Brexit, qui était initialement prévue le 29 mars 2019, et il a fallu quatre ans de négociations avec l’UE et l’arrivée au pouvoir en 2019, avec une majorité absolue, du Parti conservateur de Boris Johnson (qui avait succédé à May, laquelle avait démissionné parce qu’elle n’avait pas réussi à faire approuver un accord par le Parlement) pour arriver, sans blocage du Parlement britannique, à un accord en 2020 sur les conditions de sortie du R-U et sur ses relations futures avec l’UE.  

         Craignant donc un recul, Farage a cofondé, en 2018, un nouveau parti, le Parti du Brexit, dont il est devenu chef en mars 2019 et qui est arrivé en tête des partis britanniques aux élections européennes de mai 2019 (le gouvernement britannique avait prolongé son adhésion à l’UE jusqu’au 31 octobre 2019 pour éviter un Brexit sans accord).  Ce parti a remporté 29 sièges sur 73, ces 29 sièges faisant même de lui le plus grand parti unique du 9e Parlement européen, et le plus grand nombre de voix, soit 30,52 %.       Farage a également aidé à ce que le Parti conservateur de Boris Johnson, également favorable au Brexit, gagne les élections générales britanniques (anticipées) de décembre 2019, en ne présentant pas de candidats du Parti du Brexit dans les circonscriptions où les députés sortants étaient des députés du Parti conservateur.  

         Ce Parti conservateur a de fait gagné ces élections avec une majorité absolue, et a ainsi été capable de concrétiser officiellement le Brexit en 2020.

         Pendant tout ce temps, au Québec et au Canada, Duceppe pondait au Bloc québécois, de 1997 à 2011 (14 ans), des programmes politiques de parti provincial canadian…; et Blanchet, chef du Bloc depuis 2019, a fait de même…

         Comme l’écrit avec justesse Jean-Jacques Nantel, Blanchet aurait pu conclure une entente avec le Parti progressiste-conservateur du Canada en échange d’avantages très concrets pour le Québec, mais Blanchet tout comme Duceppe sont à l’extrême opposé de Nigel Farage…

         Ça donne que le Royaume-Uni est aujourd’hui un pays indépendant de l’UE, grâce entre autres à Nigel Farage et au Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni; alors que le Québec ou le peuple québécois est, comme l’écrit Nantel, en mode suicide accéléré dans le Canada, et ce entre autres à cause des Bouchard, Duceppe et Blanchet et du Bloc québécois créé par Ottawa.   

         Lucien Bouchard (chef du Bloc de 1990 à 1996), devenu en 1996 premier ministre du Québec à la place de Jacques Parizeau qui avait démissionné au lendemain du référendum perdu de 1995, ne voulait rien savoir d’un troisième référendum sur l’indépendance du Québec…; Duceppe et Blanchet n’en ont jamais demandé eux non plus…

         Le résultat du premier référendum tenu en 1980 a été de 40,44 % en faveur du Oui et de 59,56 % en faveur du Non; et celui du second référendum tenu en 1995 a été de 49,42 % en faveur du Oui et de 50,58 % en faveur du Non.

         Compte tenu qu’Ottawa a triché de mille façons lors du référendum de 1995, un troisième référendum aurait certainement pu être gagnant.  On comprend donc aisément qu’Ottawa ou Bouchard, Duceppe et Blanchet ne voulaient à aucun prix d’un troisième référendum…

    André Lafrenaie



     

  • Pour le Bloc, l'intérêt du Québec, c'est de disparaître!

    8 octobre 2024


     

         Savez-vous ou vous souvenez-vous que le Bloc québécois a été créé en 1990 (parti officiel en 1991), dans la foulée de l’échec de l’Accord du lac Meech, par six élus démissionnaires du Parti progressiste-conservateur du Canada (dirigé par Brian Mulroney, alors premier ministre du Canada), à savoir Lucien Bouchard, Nic Leblanc, Louis Plamondon, Benoît Tremblay, Gilbert Chartrand et François Gérin, ainsi que par deux élus démissionnaires du Parti libéral du Canada (dirigé à partir du 23 juin 1990 par Jean Chrétien, succédant à John Turner), à savoir Gilles Rocheleau et Jean Lapierre?

         Y a-t-il encore aujourd’hui, en 2024, des nationalistes québécois encore capables de croire que ces fédéralistes sont réellement devenus, à ce moment-là, des souverainistes québécois sincères et honnêtes?...    

         Le Bloc québécois n’est pas issu du mouvement souverainiste québécois, il est carrément issu d’Ottawa…

         Le Bloc québécois est carrément une création d’Ottawa…

     

    André Lafrenaie

  • Pour le Bloc, l'intérêt du Québec, c'est de disparaître!

    5 octobre 2024


    Bravo!

    Le Bloc québécois, de Lucien Bouchard à Gilles Duceppe puis à Yves-François Blanchet, n'a jamais été rien d'autre qu'une vulgaire et hypocrite succursale d'Ottawa.

    François Legault a eu entièrement raison de demander à quoi sert le Bloc québécois.

    André Lafrenaie

  • Fraudes à la base des guerres en Irak, en Ukraine ET À GAZA

    7 février 2024


    J’ai écrit dans le présent texte:  « (...) l’armée ukrainienne, qui, à la mi-février 2022, était fin prête et a commencé des bombardements massifs du Donbass, alors même que l’armée russe était carrément déployée aux frontières mêmes de la Russie et de la Biélorussie avec l’Ukraine ainsi qu’en Crimée!… »

    Il y a des gens qui croient qu’il s’agit là d’une version des faits non vraisemblable.  Par exemple, Panoramix, sur AgoraVox (commentaire du 3 février 19:08 à mon texte qui y a été publié ce même jour), écrit que « c’est aussi plausible qu’un cambrioleur qui attaquerait une bijouterie alors qu’il y a des cars de flics garés en face! »

    Pourtant, à la mi-février 2022, l’armée russe était bel et bien déployée aux frontières de la Russie et de la Biélorussie avec l’Ukraine ainsi qu’en Crimée; une grande partie de l’armée ukrainienne était bel et bien déployée au Donbass; et des bombardements massifs ont bel et bien commencé à partir du 16 février 2022.  Poutine a lancé l’invasion de l’Ukraine le 24 février 2022 après le début de ces bombardements.

    Le décret de Zelensky du 24 mars 2021 annonçait clairement qu’il voulait reprendre par la force la Crimée et le Donbass; et il a déplacé ses troupes le reste de l’année vers cette région.  On n’a pas affaire ici à un petit cambrioleur face à plusieurs policiers.  Arestovytch a bien dit en mars 2019 que l’armée ukrainienne l’emporterait à coup sûr dans une guerre contre la Russie.  Les ultranationalistes ukrainiens comme Yarosh, Azov, etc. voulaient la guerre contre la Russie. 

    Arestovytch avait carrément déclaré que le mieux pour l’Ukraine était une guerre majeure contre la Russie et l’admission à l’OTAN après une victoire contre elle.  Il a même décrit fidèlement la guerre telle qu’on l’a vue en 2022 (offensive de l’armée russe à partir de la frontière avec l’Ukraine, siège de Kiev, création de nouvelles « républiques populaires », attaques sur les infrastructures critiques, aide militaire de l’Occident à l’Ukraine, nouvelles sanctions contre la Russie, etc.); et avait précisé qu’elle se déroulerait fort probablement en 2021, 2022.  

    Jacques Baud a souvent parlé de tout ça.

    André Lafrenaie

     

     

  • L'ONU de paix doit s'opposer à l'OTAN de guerre

    13 mai 2023


    Ce texte a été publié aussi par AgoraVox le 6 mai 2023.  J’ai alors voulu réagir à quelques-uns des commentaires émis à la suite de cette publication, mais je n’ai réussi qu’à en communiquer un seul.  Je n’ai pas été capable d’en envoyer aucun autre, en raison de problèmes, disons, « techniques ».  J’ai signalé au site AgoraVox mon problème, mais rien n’a été résolu à ce jour (12 mai).

    J’aimerais donc ici communiquer ces commentaires que je n’ai pas été capable de transmettre.

    Krokodilo, 6 mai 17:23 :

    « La difficulté d’un cessez-le-feu, côté russe, c’est le précédent : sept ans entre 2014 et 2022 pendant lesquels les USA et la GB ont équipé et entraîné une nouvelle armée ukrainienne, et aidé à construire les fortifications, cette espèce de ligne Maginot en pleine Ukraine de l’Est ─ ce qui, au passage, est la démonstration que Kiev ne considère pas vraiment le Donbass comme des concitoyens.  Un cessez-le-feu prolongé sans accord ne servira qu’à reconstituer le stock de munitions et rebâtir une armée.  L’ONU étant synonyme des USA, comment la Russie pourrait-elle avoir confiance, en l’ONU ou n’importe quel pays occidental?  Les gouvernements français et allemands, par leur suivisme des USA et par leur inertie après les accords de Minsk, ont sapé pour longtemps notre réputation diplomatique.  

    « Des référendums?  Avec des centaines de milliers de gens déplacés, des listes de recensement probablement détruites?  D’ailleurs, pourquoi pas aussi à Odessa et Kharkov, villes et régions où une partie de la population s’est soulevée après le Maïdan?

    « Dans l’histoire, les accords de paix se sont toujours basés en tenant compte de la réalité militaire du terrain…  Et comme le dit le fameux adage, la force constitue les 9/10e du droit…  C’est regrettable mais incontournable, tant qu’il n’y aura pas de refondation des institutions internationales. »

    Je crois qu’il y aurait moyen d’organiser une force de maintien de la paix au Donbass qui serait crédible pour la Russie.  Cette dernière aurait de toute façon son mot à dire et son approbation à donner pour les pays participant à cette force.  Il n’y aurait évidemment aucun cessez-le-feu sans accord; et, avec un accord adopté à l’ONU, l’Occident serait plus que jamais vilipendé dans l’humanité s’il continuait d’envoyer des armes à l’Ukraine. 

    Pour les référendums, c’est maintenant possible de voter par internet.  En fait, en septembre, les gens déplacés en Russie ont voté dans les représentations diplomatiques des républiques séparatistes. Pour de nouveaux référendums, tous les gens déplacés n’importe où dans le monde pourraient voter dans les représentations diplomatiques de l’Ukraine ou encore par internet.  Quant aux listes de recensement, je ne vois pas pourquoi celles qui ont été produites lors des référendums de septembre 2022 ne seraient plus disponibles; et il devrait y avoir assez de documents gouvernementaux pour aider à les vérifier ou à les compléter, sinon même à les reconstituer.  Que préférez-vous?  Que l’ONU se casse un peu la tête à constituer une liste valable et à rejoindre les gens déplacés pour qu’ils votent, ou qu’on continue cette guerre avec des milliers de morts et de blessés à chaque jour, et qu’on continue à vivre avec la possibilité omniprésente d’une catastrophe nucléaire à Zaporijjia, d’une escalade incontrôlable, etc.?

    D’autre part, on ne doit quand même pas prendre prétexte de la situation d’Odessa, de Kharkov, etc., pour s’interdire de faire de nouveaux référendums en ce qui concerne les régions annexées.

    Enfin, avec les armes nucléaires et autres de destruction massive d’aujourd’hui, on est vraiment mieux de ne pas s’en tenir à l’adage « la force prime le droit ».  Il faut absolument plus que jamais essayer d’envisager d’autres moyens que la force.  On n’a en effet rien d’autre que l’ONU, mais il faut quand même au moins essayer de faire quelque chose avec elle.

    Seth, 7 mai 18:08 :

    « Un machin créé au lendemain de la guerre en pleine période du GI victorieux sur ses terres et sur un terrain financé par le philanthrope Rockefeller, ça partait sur un très mauvais pied.

    « Étant un poil conspirationniste, j’ai coutume de dire que l’onu est le ministère des affaires étrangères du gouvernement mondial dont l’otan est le ministère de la guerre.

    « Cela s’applique à toutes les zinstitussionzintèreunassionale dans les mains du yankistan et de la phynance mondiale.  Rien à en attendre. »

    Je suis d’accord avec vous, mais on n’a rien d’autre que l’ONU présentement.  Il y a urgence totale avec cette guerre en Ukraine, et on est obligé pour l’instant d’essayer d’utiliser cette institution.  On doit mettre de la pression pour qu’elle bouge dans le sens de son mandat premier, et non dans le sens dévoyé de cette gouvernance mondiale de merde en collaboration avec le « yankistan » et la « phynance mondiale ».

    sylvain, 6 mai 19:40 :

    « Il faudra bien que ceux qui proposent des plans de paix, que ce soit la chine ou un quidam sur AV, comprennent qu’on ne negocie en proposant la victoire unilateral d’un des deux camps. »

    Comme l’a expliqué yakafokon (7 mai 14:53), après ce qu’ont subi de 2014 à 2022 les russophones du Donbass de la part des milices néo-nazies Azov et autres engagées par Porochenko en automne 2014 pour « s’occuper » d’eux, ces russophones ont entièrement le droit de voter par référendum pour leur statut politique.

    DACH, 8 mai 14:28 :

    « Le texte de AF oublie ceci : plus de 45 millions d’Ukrainiens ne veulent absolument pas devenir russes, surtout sous un régime à la mode de VV Poutine.  Et son texte cache que les ambitions russes d’annexer l’Ukraine […]. »

    Si l’ONU allait de l’avant avec cette proposition d’un cessez-le-feu et de recommencer les référendums, la Russie verrait que c’est sérieux et pourrait peut-être finir par accepter; et la guerre s’arrêterait là.  Il faudrait au moins que l’ONU essaie.

    Note : J’aurais dû préciser que Philippot a fait en avril 2022 sa proposition de référendums avant les référendums qui ont eu lieu en septembre 2022 dans les quatre régions de Donetsk, de Lougansk, de Kherson et de Zaporijjia; alors que Musk a évidemment fait en octobre 2022 ses propositions après ces quatre référendums.  Mais ça ne change absolument rien comme tel à la proposition de recommencer sous la supervision de l’ONU ces quatre référendums et celui de la Crimée tenu en 2014.

  • ONU: inutile et hypocrite? Guterres: aveugle et incompétent?

    21 août 2022


         Il convient d’ajouter une note, soit 7.1, à la fin de la première phrase de l’avant-dernier paragraphe de la sous-section 1.1. la guerre « oubliée » du Donbass »:  « L’ONU avait le devoir absolu d’organiser une opération de maintien de la paix au Donbass, ce qui aurait entre autres facilité l’application des accords de Minsk (7.1). ».

         Voici cette note:

    7.1.  On peut consulter sur ce sujet les textes suivants: 

    Carl Bilt (Co-chair of ECFR's Council and Former Prime Minister and Former Foreign Minister of Sweden), " La paix dans le Donbass est-elle possible? ", Berlin, London, Madrid, Paris, Rome, Sofia, Warsaw, European Council on Foreign Relations, ecfr.eu, 12 octobre 2017.

    Andreas Umland, « Le maintien de la paix de l’ONU au Donbass?  Les enjeux du conflit russo-ukrainien », Berlin, London, Madrid, Paris, Rome, Sofia, Warsaw, European Council on Foreign Relations, ecfr.eu, 8 juin 2018.

    Fredrik, Wesslau, « Maintien de la paix:  ce qui se cache derrière la proposition russe », Berlin, London, Madrid, Paris, Rome, Sofia, Warsaw, European Council on Foreign Relations, ecfr.eu, 11 septembre 2017.

    Sputnik Afrique, « Donbass:  Moscou n’a reçu aucune proposition sur le déploiement de forces de l’Onu », Sputnik Afrique, fr.sputniknews.africa, 24 septembre 2017.

     

         Il convient également d’ajouter une note, soit 8.1, à la fin du troisième paragraphe de la section 2. Guterres:  aveugle et incompétent?:

         « Cependant, en ce qui concerne Zelensky, il ne fait qu’obéir à Biden et aux États-Unis ou au mondialisme surtout anglo-saxon (ce qui comprend le Royaume-Uni de Boris Johnson, qui vient tout juste de démissionner, le 7 juillet), lequel lui ordonne de ne jamais accepter de compromis ou d’accord avec Poutine pour un arrêt immédiat de cette guerre (8.1). »

         Voici cette note:

    8.1.  Il convient de noter que Zelensky baigne dans l’ultranationalisme ukrainien, dont le sentiment anti-russe rejoint parfaitement celui du mondialisme anglo-saxon.  Mais le présent texte n’a toutefois pas pour but de mettre l’accent sur cet aspect. 

     

    André Lafrenaie

     

     

  • ONU: inutile et hypocrite? Guterres: aveugle et incompétent?

    18 août 2022


         Les paragraphes suivants auraient dus être ajoutés juste avant la sous-section 2.1. Biden du présent texte, après la toute dernière phrase suivante:  « Ces déclarations gardent encore tout leur sens aujourd’hui, plus de trois mois plus tard… »:

         La Russie a ainsi spécifié, le 20 juillet, que Zelensky n’a jamais véritablement maintenu de négociations de paix, mais aussi que les pays occidentaux ne lui permettaient pas de s’engager dans un tel processus de paix:

         Le président russe Vladimir Poutine a déclaré mercredi qu’il n’avait pas observé de volonté de la part de l’Ukraine de respecter les termes de ce qu’il a présenté comme un accord de paix préliminaire décidé au mois de mars.

    ……………………………………………………………………….

         […] Vladimir Poutine a mentionné que Kiev ne s’était pas conformée aux termes d’un accord de paix préliminaire qui avait été, selon lui, « presque atteint » en mars, sans toutefois fournir plus de détails.  

         « Le résultat dépend évidemment de la volonté des parties de mettre en place les accords qui ont été trouvés.  Nous voyons aujourd’hui que ce n’est pas la volonté du pouvoir en place à Kiev », a dit Vladimir Poutine.

    ……………………………………………………………………….

         Les autorités turques [agissant comme médiateur] avaient indiqué que les discussions portaient sur la neutralité de l’Ukraine, le désarmement et les garanties de sécurité, la « dénazification », le retrait des obstacles à l’utilisation de la langue russe en Ukraine, le statut de la région séparatiste du Donbass et le statut de la Crimée, annexée par la Russie en 2014. 

         Depuis, aucune rencontre n’a eu lieu et la négociation a cédé la place à la guerre.

    Moscou accuse l’Occident d’entraver les pourparlers de paix

    ……………………………………………………………………….

         Toujours en avril, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavarov [Lavrov] avait accusé l’Occident de chercher à faire dérailler les discussions en accusant la Russie de « crime de guerre ».

         En juin dernier, après les annonces de livraison d’armes américaines à l’Ukraine, Moscou a accusé Washinton de « jeter de l’huile sur le feu ».  Selon le Kremlin, « les livraisons d’armes n’encouragent pas les dirigeants ukrainiens à vouloir relancer les négociations de paix ».

         Le 8 juillet dernier, le ministre Lavrov avait affirmé dans un communiqué de presse que les pays occidentaux ne permettaient pas à l’Ukraine de s’engager dans un processus de paix. (11.1)

          En même temps qu’elle précisait que des pourparlers ne serviraient à rien compte tenu de l’absence de volonté de la partie ukrainienne de discuter sérieusement, la Russie a annoncé, ce même 20 juillet, qu’elle élargissait dorénavant son attaque au-delà de Donetsk et de Lougansk, parce qu’elle ne peut permettre que les armes offensives à longue portée obtenues par l’Ukraine menacent le territoire russe et celui des républiques qui ont déclaré leur indépendance:

         Les pays occidentaux fournissant à l’Ukraine des armes à plus longue portée, M. Lavrov a expliqué que « les tâches géographiques de la Russie seront encore plus éloignées de la ligne actuelle car nous ne pouvons pas permettre à la partie de l’Ukraine sous le contrôle du (président ukrainien Volodymyr) Zelensky ou de quiconque viendra lui succéder, d’avoir des armes qui menaceront directement notre territoire et les territoires des républiques qui ont déclaré leur indépendance ». (11.2)

         Sur le plan militaire, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a affirmé que les objectifs de la Russie ne se limitaient plus uniquement à l’est de l’Ukraine, mais concernaient également d’« autres territoires » et pourraient encore s’étendre.

    ……………………………………………………………………….

         « Ce ne sont plus seulement les républiques populaires de Donetsk et Lougansk (deux territoires séparatistes de l’est de l’Ukraine, ndlr), ce sont aussi les régions de Kherson et de Zaporijjia (dans le sud, ndlr) et une série d’autres territoires et ce processus continue, de façon constante », a déclaré M. Lavrov à l’agence de presse Ria-Novosti et à la chaîne de télévision RT.

         M. Lavrov a aussi déclaré que mener des pourparlers avec Kyïv n’aurait « aucun sens dans la situation actuelle », estimant que de précédents contacts avaient « seulement révélé l’absence de volonté, chez la partie ukrainienne, de discuter sérieusement de quoi que ce soit ».

    ……………………………………………………………………....

         M. Lavrov a d’ailleurs prévenu que si les Occidentaux continuaient de fournir à l’Ukraine des armes capables de frapper à longue distance, comme les lance-roquettes multiples américains Himars, les objectifs géographiques de la Russie évolueraient encore. (11.3) 

         Le résultat de tout cela sera forcément encore plus de sang ukrainien et russe versé, et possiblement une partition toujours plus grande de l’Ukraine.  

         Finalement, l’objectif primordial pour Moscou, tel qu’exprimé par Lavrov le 24 juillet, est de renverser le gouvernement de Zelensky,  ajoutant que ce régime est absolument « anti-peuple », « anti-historique », « inacceptable » pour les Ukrainiens, et que Kiev et ses alliés occidentaux veulent que l’Ukraine « devienne l’ennemi éternel de la Russie ».

         Lavrov a encore rappelé du même coup la bonne foi de la Russie en mars pour l’arrêt des hostilités, mais que Kiev avait été encouragée par l’Occident à continuer à se battre, à ne « pas entamer de négociations tant que la Russie n’est pas vaincue sur le champ de bataille ». (11.4)

    André Lafrenaie

    Notes

    11.1.  Radio-Canada avec les informations de Reuters, « Selon Poutine, l’Ukraine n’a pas respecté un accord de paix préliminaire », Radio-Canada, ici.radio-canada.ca, 20 juillet 2022.

    11.2.  La Presse Canadienne (Mstyslav Chernov), « La Russie annonce des objectifs élargis en Ukraine », msn.com, 21 juillet 2022. 

    11.3.  AFP, « Ukraine:  la Russie élargit son offensive, Kyïv demande davantage d’armes »,  Le Journal de Montréal, journaldemontréal.com, 20 juillet 2022.

    11.4.  La Presse Canadienne (Susie Blann), « Moscou annonce vouloir renverser le régime de Zelensky », msn.com, 25 juillet 2022.



     

  • La machine de propagande du gouvernement Legault contre les non-vaccinés

    17 janvier 2022


    M. Bélair,

         Je suis d'accord à cent pour cent pour me faire vacciner!, mais pas avec un " vaccin " à ARN messager qui vient jouer dans nos cellules.

         Je préfère suivre l'exemple de Guillaume Lemay-Thivierge, et attendre le vaccin à base végétale de Medicago.

         Dès son approbation, je vais aussitôt m'inscrire pour me faire vacciner.  Sans doute que la majorité des non-vaccinés vont faire de même.

         Entre-temps, je me protège le mieux possible avec un masque chirurgical et la distanciation, et je ne crois pas être un danger public pour qui que ce soit.

         Je considère donc les attaques et les insultes de Legault, de Trudeau et de Macron contre les non-vaccinés comme totalement dégueulasses.

         Pour votre première question, les réponses sont déjà connues.

         On aurait pu, d'une part, utiliser la voie de la Suède.

         D'autre part, on aurait dû se servir de médicaments (peu coûteux) comme, par exemple, l'ivermectine, au lieu de ne rien faire pour soigner les malades, et les regarder tout simplement mourir quand l'oxygène ne suffit pas pour les sauver.

         Le mondialisme a imposé les vaccins très onéreux et quand même assez douteux à ARN messager, et nos gouvernements soumis ont collaboré.

         Combien de doses ça va prendre au juste?  Quels effets ces doses répétées auront sur l'organisme?  Nos gouvernements nous disent-ils vraiment tout sur les effets secondaires qui seraient beaucoup plus importants que ce qu'ils nous en disent?

    André Lafrenaie

     

     

     

  • Haro sur Desjardins Assurances

    14 septembre 2021


    Cette publicité de Desjardins Assurances a été retirée du métro soit tôt ce matin 14 septembre 2021, soit hier.

    Ce retrait coïncide totalement avec la publication du présent texte dans Vigile!

    Il faudra donc ne pas hésiter à manifester de nouveau publiquement notre désaccord si l'on est encore témoin d'une publicité misandre!

    André Lafrenaie

     

     

  • Une erreur sociétale de jugement

    21 novembre 2020


    Rectification

    Le deuxième paragraphe de mon texte aurait dû se lire ainsi:

    " Je dirai d'abord qu'Éric Zemmour a le droit de décrire l'immigration massive et les arrivées massives de migrants en France comme une sorte d'invasion ou de colonisation de la France.  Il a aussi le droit de décrire comme une partition du territoire français l'islamisation de villes de banlieues ou la charia l'emporte maintenant sur les lois françaises." 

    Zemmour a défriché ce terrain et j'aurais dû le citer.  Renaud Camus l'a aussi défriché à sa façon.

    André Lafrenaie

     

     

     

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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