Marc-André Bédard (1935-2020)

Un grand Québécois

Témoignage de Pauline Marois

Raison du refus:
Vous soumettez trop de textes. La tribune libre de Vigile ne peut devenir votre blog personnel. Merci de votre compréhension.

 


J’ai écouté les trois invités à l’émission 24/60 du 25 novembre, soit Lucien Bouchard, Pierre-Marc Johnson et Louise Beaudoin témoigner de leurs souvenirs de Marc-André Bédard et de ce qu’ils retiendront de lui, et, aux yeux des trois, est ressortie sa foi inébranlable envers l’accession éventuelle du Québec à son indépendance jusqu’à la fin de sa vie.

À cet effet, j’ai bien apprécié l’anecdote racontée par Lucien Bouchard lorsque Marc-André Bédard et lui se retrouvèrent dans un restaurant où se trouvait Jacques Parizeau, et que M. Bédard sortit une carte de membre du PQ et lui demanda, devant M. Parizeau, de la signer sur place alors
qu'initialement M. Bouchard n'était pas souverainiste. Eh bien, il l’est devenu ce jour-là.

L’une des grandes fiertés de Marc-André Bédard aura été
de passer le flambeau de la politique à au moins deux de ses enfants. Stéphane Bédard sera élu dans la circonscription de Chicoutimi en 1998 et deviendra leader parlementaire du Parti québécois tandis qu’Éric fut le chef de cabinet adjoint de Jacques Parizeau lorsque celui-ci était premier ministre.

En la personne de Marc-André Bédard, le Québec perd un fervent promoteur de l’indépendance du Québec qui lègue en héritage, entre autres, une bougie d’allumage pour les générations d’aujourd’hui et de demain : « Faire la souveraineté, c’est convaincre, animer un milieu et sa population, s’inscrire dans tous les secteurs d’activité ». Merci à vous , M. Bédard, vous nous manquerez! 


Témoignage de Pauline Marois

https://ici.radio-canada.ca/info/videos/media-8350367/pauline-marois-reagit-au-deces-ancien-ministre-marc-andre-bedard


Henri Marineau, Québec

 


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Henri Marineau2021 articles

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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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