Lors des attentats terroristes début 2015 en Europe, le réseau RDI a fait appel à un expert français établi ici du nom de M. Stéphane Berthomet qui a déjà fait partie des brigades anti-terroristes françaises.

On lui demanda d'expliquer le mode de recrutement souterrain des futurs terroristes parmi les membres des communautés concernées.

Il révéla grâce à son expérience concrète sur le terrain que les terroristes se font d'abord connaître dans leur communauté, dans les cafés et centres fréquentés exclusivement par leur ethnie, les mosquées, les quartiers chauds des banlieues, par le biais des échanges entre les membres de cette communauté, en tenant des propos radicaux qui les identifient sans équivoque. Tout commence dans un tel milieu propice favorisant l'accoquinage entre les plus radicaux.

Puis après, c'est à travers des échanges à mots couverts qu'on leur parle d'autres extrémistes qui partagent leurs visées destructrices. Mais au lieu d'être dénoncés (bien peu de ces gens semblent prêts à briser la loi du silence), l'un ou l'autre les met en contact avec leurs semblables et c'est alors que la spirale infernale est lancée et qu'ils peuvent se mettre à comploter et préparer leurs futurs attentats.

On déduit de tout cela que c'est la présence d'un terreau fertile, un milieu propice, c'est-à-dire une communauté refermée sur elle-même et protégeant chacun de ses membres, qui permet l'éclosion et la multiplication de la vermine terroriste.

Dans une optique de sécurité nationale, on peut se demander s'il est désirable de continuer à faire grandir démesurément par des politiques d'immigration biaisées une communauté ethnique très repliée sur elle-même, qui fera à son tour augmenter proportionnellement les risques de développer en son sein les germes du terrorisme, par le simple rapport du nombre croissant.

La population de chaque pays occidental se positionne clairement contre l'islamisation de nos sociétés modernes en raison des risques trop élevés de recul social qu'elle entraînerait inévitablement.

De nouvelles mesures visant à contrer ces forces de sape souterraines doivent être prises sans délai au nom de la sauvegarde de nos acquis démocratiques les plus fondamentaux.