Trump compare les États-Unis à l’Allemagne nazie...

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Il n'y va pas de main morte !

Alors que les commentaires concernant l'intox des médias américains sur les informations compromettantes prétendument détenues par les services spéciaux russes à propos du président élu Donald Trump ne cessent de surgir, ce dernier est contraint de réagir à cette information qu'il juge « complètement absurde ».
Pour commenter l’information mensongère démentie antérieurement par le Kremlin, Donald a fait plusieurs publications sur Twitter. Non seulement, il a assuré que « la Russie n'avait jamais essayé de faire pression sur » lui, mais il a aussi comparé les États-Unis à l’Allemagne nazie..

« Les services de renseignement n'auraient jamais dû laisser cette fausse information "fuir". Un dernier coup de feu sur moi. Vivons-nous dans l'Allemagne nazie? », écrit Donald Trump sur son compte Twitter.

​Et d’ajouter: « J’ai gagné l’élection facilement, un grand "mouvement" est constaté, et des adversaires tordus tentent de minimiser notre victoire avec des actualités mensongères. Un État pitoyable! ».
Les documents sur la fuite des matériaux affirmant que le Kremlin possédait des informations compromettantes sur le président élu Trump ont été précédemment soumis au milliardaire par les services secrets américains, qui de leur côté se réfèrent à un ex-agent du renseignement britannique, selon la chaîne CNN, citant des hauts fonctionnaires qui se sont exprimés sous couvert de l’anonymat. Dans le même temps, ces allégations n'ont pas été accompagnées de preuves.
Une grande partie des médias américains ont refusé de publier ces données, les qualifiant d’infondées.
En octobre, les services spéciaux américains ont ouvertement accusé Moscou de tenter d’influencer le cours des élections, reconnaissant néanmoins que les hackers n’étaient pas parvenus à accéder aux systèmes électoraux américains. Par la suite, la Maison Blanche a reconnu ne pas avoir détecté d’attaques de hackers le jour de l’élection. Donald Trump a qualifié d’absurdes ces accusations des leaders occidentaux.
Mercredi, le Kremlin a assuré ne disposer d'aucune information compromettante sur Donald Trump ou Hillary Clinton et a estimé que l'intox des médias américains était une tentative de porter atteinte aux relations bilatérales.
Plus tôt mercredi, le site WikiLeaks a également réfuté les rapports des médias sur les soi-disant « agents russes » qui disposeraient d'informations compromettantes sur le président élu Donald Trump.


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