4 Février 2013
Sans valeur ajoutée
Régulièrement le parti Québécois (PQ) sort de sa boîte à surprise le vote des jeunes de 16-18 ans. Personnellement je suis d’avis qu’il y a plusieurs jeunes de cette catégorie d’âges aussi branchés que certains citoyens qui ont le droit de vote actuellement. En effet ce n’est pas plus mature de chialer, voter afin de défaire un gouvernement plutôt que d’élire un gouvernement pour des idées et un programme.
Par contre avant de faire voter cette classe d’âge il faudrait se poser des questions ou trouver les moyens de redonner confiance aux 18 ans et plus qui se fou de la politique et ne votent pas. En effet les résultats des différentes élections démontrent que seulement 28% des jeunes dans la classe d’âge de 18-24 ans (voulant du changement) votent à chaque élection comparativement à 72% des plus de 65 ans (prônant la stabilité).
Il n’y a donc pas d’urgence en la demeure pour susciter ce débat sans valeur ajoutée du vote des jeunes 16-18 ans. Toutefois trouver le moyen d’augmenter la participation des citoyens aux différentes élections serait une discussion à valeur ajoutée.
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3 commentaires
Christian Archambault Répondre
6 février 2013Quand on sait qu'aujourd'hui on est encore adolescent à 30 ans, ma foi, c'est plein de bon sens...
Serge Jean Répondre
5 février 2013C'est très incestueux comme solution; bonyeux ils n'ont qu'à se lever debout et HURLER en choeur dans ce maudit parlement ! VIVE LE QUÉBEC LIBRE TABARNAC! Les votes ne tarderont pas à se manifester.Le peuple comprend ça lui « tabarnac » c'est le sésame ouvre-toi, le mots de passe de sa destinée.
L'indépendance d'un peuple ça ne se fait pas en cachette dans un garde-robe. Levez-vous BONYEUX et sortez la bête du parlement à coups de pieds dans l'cul! DEBOUT!
Serge Jean
Archives de Vigile Répondre
5 février 2013Monsieur Boily
Si le PQ veut gagner son prochain référendum, il devra aussi faire voter les jeunes enfants des CPE puisqu'avec l'arrivée de 55 000 nouveaux immigrants par année, les chances de le gagner deviendront de plus en plus difficiles sinon nulles. C'est ce qu'on appelle se faire hara-kiri.
Maintenant, il ne reste qu'une seule solution pour pouvoir devenir indépendant au Québec et ça passe par une déclaration unilatérale d'indépendance suivie de la création d'une constitution québécoise par le peuple et pour le peuple et d'une demande de reconnaissance internationale. Toute autre solution n'est que de la boulechite pour endormir le peuple. Il vaut mieux être un indépendantiste pur et dur qu'un fédéraliste mou et confus style Elvis Gratton.
André Gignac 5/2/13