Je vis dans un pays où une jeune fille de 25 ans peut se faire violer en plein jour et en pleine rue (Perpignan).
Je vis dans un pays où deux mineurs accusés de viol sur deux jeunes Françaises ressortent libres et sous contrôle judiciaire à l’issue de leur garde à vue.
Je vis dans un pays où on place également sous ce même régime du contrôle judiciaire des jeunes qui sont montés pacifiquement et symboliquement sur le toit d’une mosquée cathédrale en chantier à Poitiers.
Je vis dans un pays où lorsqu’une femme se fait agresser sexuellement dans le métro, les badauds baissent la tête et ne bougent pas (Lille).
Je vis dans un pays où ceux qui tentent de réagir sont stigmatisés, interdits, condamnés.
Je vis dans un pays où une institutrice qui militait pour la régularisation d’immigrés clandestins se fait assassiner par une femme prénommée Rachida née au Maroc et de nationalité espagnole.
Je vis dans un pays où suite à cet assassinat, le ministre de l’Education nationale s’engage à régulariser une famille de sans-papiers en mémoire de la militante d’extrême-gauche assassinée.
Je vis dans un pays où les journaux télévisés consacrent à peine deux minutes à l’annonce de ce meurtre pour 30 minutes consacrées à une défaite de l’équipe nationale de football en Coupe du Monde.
Je vis dans un pays où un ancien ministre influent déclare vouloir supprimer le mot « euthanasie » parce qu’il y a « nazi » dedans.
Je vis dans un pays qui chaque semaine, offre à sa population de la nausée à n’en plus finir, à défaut d’emploi et d’avenir.
Je vis dans un pays qui ressemble à un cancéreux en phase terminale.
Donnez-lui au moins le droit de mourir dignement !
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