« Il semble que partout où les institutions démocratiques ont cessé d'être contenues par la tradition de suprématie du droit, elles aient conduit non seulement à la «démocratie totalitaire» mais, au bout d'un temps, à une « dictature plébiscitaire ». Cela devrait nous faire assurément comprendre que ce qui est précieux à posséder n'est pas un certain assemblage d'institutions certes faciles à imiter, mais quelques traditions moins tangibles ; et que la dégénérescence de ces institutions peut même être inévitable, partout où la logique intrinsèque de la machinerie n'est pas bloquée à temps par la prépondérance des conceptions que l'on se fait en général de la justice. Ne peut-on penser qu'en vérité, comme il a été bien dit, croire en la démocratie implique que l'on croie d'abord à des choses plus hautes que la démocratie. » Friedrich Hayek (extrait de Droit, législation et liberté)
Un Pouvoir politique basé sur la corruption institutionnalisée est considéré comme un régime de démocratie totalitaire s’il possède ces dix caractéristiques :
• (a) le régime de démocratie totalitaire est organisé en promulguant des lois inéquitables, discriminatoires et arbitraires ;
• (b) les lois sont détournées visant à bénéficier des groupes oligarchiques à caractères mafieux ou corporatistes ;
• (c) le Pouvoir du gouvernement sert à désintégrer les institutions publiques au détriment de l’intérêt collectif en favorisant ceux des groupes organisés partisans ;
• (d) le régime de démocratie totalitaire est contrôlé par des politiciens antipatriotes en raison des liens étroits entre un Pouvoir oligarchique et un électorat soumis aux groupes de pression (lobbys culturels, religieux, financier, corporatiste…) faisant partie intégrante de ceux-ci avec l’objectif de monopoliser les institutions publiques ;
• (e) les politiciens imposteurs ou antipatriotes mettent en action le régime de démocratie totalitaire pour renverser le nationalisme-souverainisme afin d’arriver à désintégrer l’État garant des intérêts nationaux ;
• (f) le régime de démocratie totalitaire est conditionné à mettre sous contrôle le pouvoir judiciaire et médiatique afin que la corruption institutionnalisée soit le bras armé de ce push antidémocratique et autoritaire ;
• (g) le saccage et le détournement de fonds publics sont destinés à financer les organisations partisanes, corporatistes, enrichir leurs responsables et complices nécessaires à la mise en place de la trame organisationnelle afin de pouvoir réussir à faire pérenniser le régime de démocratie totalitaire en défiant le Code criminel dû à l’immunité dont ils jouiront ;
• (h) les pactes de silence (omerta) entre des politiciens, fonctionnaires et agents corporatistes visent à augmenter les pouvoirs exécutifs avec une série de décrets ministériels (bâillon) évitant les débats parlementaires, renforçant ainsi la démocratie totalitaire ;
• (i) la fragmentation de l’électorat de souche par l’expansionnisme sociopolitique des valeurs exogènes rend l’union de la majorité nationale difficile à réaliser, la seule susceptible d’éviter la démocratie totalitaire ou de la renverser ;
• (j) le régime de démocratie totalitaire se termine (dans le cas du Québec) avec le transfert du pouvoir national à un autre supranational (Ottawa) une fois que ce processus politique est irréversible, rendant l’indépendance du Québec irréalisable.
Ces caractéristiques sont celles qui ont permis depuis 2003 (le mercenaire fédéraliste et saboteur Jean Charest prend le Pouvoir) à la mafia politique PLQ-Charest-Couillard de s’engager dans un processus de mise en place de l’actuel régime de démocratie totalitaire, établissant une dynamique autoritaire qui sécrète un gouvernement antidémocratique légitimement élu. Par cette légitimité de tel Pouvoir de démocratie totalitaire l’affaiblissement progressif des institutions du Québec se réalise puisqu’il faut monopoliser ce pouvoir afin de rendre irréalisable l’indépendance du Québec.
Les actions des partis dans l’opposition à l’Assemblée Nationale du Québec (ANQ) au cours des dernières années ont déterminé en grande partie la façon dont ce régime de démocratie totalitaire a pu être constitué. Car tous ces cas de corruptions organisées de spoliations de fonds publics, financements illégaux des partis politiques, omerta, collusions, judiciarisassions de la politique(1), enrichissement mafieux, dette publique et déficits artificiellement provoqués, immunités juridiques(2) ou arrangements judiciaires pour sauvegarder le silence des fraudeurs notoires(3), subventions ou détournements de milliards $ aux complices de ce saccage à travers d’ingénieries financières opaques(4)…, sont la preuve irréfutable de l’actuel régime de démocratie totalitaire au Québec. En d’autres mots, ce sont ces actions des putschistes démocratiquement élus qui se décrivent comme ceux n’ayant d’autres intérêts que préserver le système ‘’démocratique’’ en recourant, entre autres arguties politiques, à des commissions parlementaires bidon et des lois exclusives auto-octroyées les bénéficiant alors même que leur Pouvoir mafieux se renforce avec l’imposition de ce régime de DÉMOCRATIE TOTALITAIRE.
En exemple de cette démocratie totalitaire : la trajectoire politique et les actions exécutives de Jean Charest et Philippe Couillard en connivence avec leurs complices du PLQ-PLC ainsi que dans l’appareil de l’État québécois et celui d’Ottawa, tous étant au service de l’actuel régime corrompu, arbitraire et colonialiste. Des actions exécutives ayant comme répercussions directes la pérenne soumission de la majorité des francophones de souche et leur état socioéconomique de dérive collective nationale, dues à l’imposition, entre autres mesures discriminatoires, des contingents de ressortissants destinés à la restriction de leur Pouvoir décisionnel lors des élections générales et municipales. C’est-à-dire, les 50 000 à 55 000 immigrants par année au Québec est l’effet exponentiel de cet expansionnisme démographique pro-fédéraliste, étant alors la voie privilégiée de l’actuel régime de démocratie totalitaire volontairement assumée par la caste politique à l’ANQ(5), révélant ainsi la trahison commise à la majorité francophone antérieurement évoquée. Une trahison qui ne peut se faire qu’à travers un Pouvoir corrompu institutionnalisé et d’omerta complice résultant d’un coup d’État démocratique instauré au Québec par consensus totalitaire.
Tant que prévalera au Québec un système de démocratie totalitaire au lieu d’une démocratie directe (telle que déjà décrite dans certains de mes articles) la majorité des francophones de souche se trouvera dans son propre labyrinthe électoral sans pouvoir sortir de ce piège d’être gouvernée par des putschistes consacrés à la désintégration de l’État québécois et l’anéantissement des intérêts nationaux du Québec.
____________________
*. Une analyse de cette perversion démocratique est exposée dans l’interview intitulée La démocratie peut-elle devenir totalitaire ? Par Michel de Jaeghere
http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/la-democratie-peut-elle-devenir-50800
1. La démission de Me Marc Bellemare comme ministre de la Justice du gouvernement de Jean Charest est l’énième preuve du commencement du coup d’État de démocratie totalitaire. Pour une information exhaustive sur les raisons de cette démission, consulter l’article qui suit et ceux s’y rattachant : Jean Charest aurait demandé à Marc Bellemare de se taire
http://www.lapresse.ca/le-soleil/dossiers/laffaire-bellemare/201008/25/01-4309694-jean-charest-aurait-demande-a-marc-bellemare-de-se-taire.php
2. Cette autre information révèle comment l’on veut ‘’acheter’’ le président du syndicat SPVM, l’un des dénonciateurs de la corruption institutionnalisée, faisant en sorte que l’actuel régime de démocratie totalitaire veuille continuer à monopoliser ce Pouvoir mafieux : La SQ enquêtera sur les allégations d'Yves Francoeur
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201705/02/01-5093988-la-sq-enquetera-sur-les-allegations-dyves-francoeur.php
3. Comme exemple des activités de financement politique illégal de la mafia PLQ-Charest-Couillard, ce commissionnaire notoire contrôlant les millions $ venant de la corruption institutionnalisée : Marc Bibeau, « le grand boss du financement du PLQ », selon Zambito
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/641507/bibeau-marc-parti-liberal
Marc Bibeau: le PLQ accepte l'intervention de la vérificatrice générale
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201704/27/01-5092447-marc-bibeau-le-plq-accepte-lintervention-de-la-verificatrice-generale.php
4. La perte de 40 milliards $ de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec (CDPQ) est l’une de ces ingénieries financières opaques, réalisée lors du changement concernant le mandat d’investissement à risque à partir de la nomination de Claude Garcia par le gouvernement PLQ-Charest. Cet ex-président de l’Assurance Standard Life est l’un des plus importants mercenaires au service du Pouvoir centraliste d’Ottawa contre les intérêts nationaux du Québec. Celui même qui avait manifesté à l’endroit des souverainistes lors de la campagne référendaire de 1995 : « il ne faut pas gagner, le 30 octobre, il faut écraser ». Pour en savoir davantage sur ce personnage, consulter Claude Garcia https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Garcia
5. En exemple de la connivence à l’ANQ : la politique d’immigration massive a été initiée par le Parti Québécois (PQ) à partir de la prisse du Pouvoir en 1976, créant le ministère de l’Immigration. Depuis cette date le nombre des ressortissants arrivés au Québec se chiffre à plus d’un million. En additionnant les nouvelles générations issues de ces immigrants, le total d’allophones au Québec atteint environ 1 250 000. Si l’on sait que 95 % de ces Québécois votent contre les intérêts nationaux des Canadiens français, élection après élection tant fédérale, provinciale, que municipale, l’on doit se demander quel est l’intérêt du PQ à ne pas s’opposer à cette immigration massive et à vouloir « … attirer davantage de diversité culturelle au sein du parti… »(6). La raison n’est nulle autre que la trahison envers les francophones de souche et le maintien de l’actuel régime de démocratie totalitaire, permettant ainsi l’immunité à la caste politique d’être libérée de ses responsabilités envers la corruption institutionnalisée régnante au Québec.
6. Extrait de Osez repenser le PQ: le changement est en marche
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/497674/osez-repenser-le-pq-le-changement-est-en-marche
Depuis 2003 le Québec fait face à une caste politique de désintégration nationale
Pourquoi la corruption institutionnalisée aboutit toujours à un régime de démocratie totalitaire*
La pérennité de ce Pouvoir mafieux et ses complices à l’ANQ est le grand piège de la soumission du Québec à Ottawa
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14 commentaires
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
8 mai 2017Des subventions, des subventions, des subventions… qui se convertissent en saccages organisés des fonds publics
On comprend mieux pourquoi Alexandra Dionne Charest, fille de Jean Charest, et Marie-Claude Johnson, fille de Pierre Marc Johnson, sont lobbyistes pour Tesla (le fabricant américain de voitures tout-électrique) auprès des hautes instances gouvernementales du Québec :
Elles envisagent de faire des représentations auprès du Conseil exécutif, du ministère des Transports, du ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles, du ministère de l'Environnement, de la Régie de l'énergie et du ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation.
Deux filles d'ex-premiers ministres québécois lobbyistes pour Tesla
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201608/03/01-5006896-deux-filles-dex-premiers-ministres-quebecois-lobbyistes-pour-tesla.php
*
Fonds vert: 720 millions pour des programmes qui n'ont presque aucun effet
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201705/07/01-5095684-fonds-vert-720-millions-pour-des-programmes-qui-nont-presque-aucun-effet.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
8 mai 2017Autre manière de surcoloniser davantage le Québec* :
Pangea a bénéficié de près de 400 000 $ en crédits de taxes
http://affaires.lapresse.ca/economie/agroalimentaire/201705/08/01-5095870-pangea-a-beneficie-de-pres-de-400-000-en-credits-de-taxes.php
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JLPM
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*. Vers un modèle de latifundium au Québec ? :
Les latifundia, en développant un modèle extensif, n'ont pas permis de développer des cultures fragiles ou qui nécessitaient des soins particuliers. Le rendement y était faible, bien moins bon que dans une ferme classique, cependant les coûts de production étaient terriblement plus faible que dans une ferme moderne, si bien qu'au final, ce système était financièrement attractif2. Quand le travail servile cessa d'être bon marché, la familia fut remplacée par des fermiers gérants, les coloni
Pour en savoir davantage, consulter Latifundium (Antiquité)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Latifundium_(Antiquit%C3%A9)
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
8 mai 2017Au niveau municipal :
Enquête de l'UPAC: encore 2 ans de salaire pour le DG de Terrebonne
http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/201705/08/01-5095889-enquete-de-lupac-encore-2-ans-de-salaire-pour-le-dg-de-terrebonne.php
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JLPM
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
5 mai 2017Le plan ‘’B’’ de la mafia politique PLQ-Charest-Couillard :
Échapper à la JUSTICE au moment propice et voulu en faisant appel à la Cour-politique suprême du Canada, comme tant d’autres mafieux et mercenaires au service des groupes d’intérêts fédéralistes l’ont fait, et tel qu’il s’est avéré depuis l’imposition de la Constitution colonialiste de 1867
Cet extrait de l’article de Vincent Larouche* du journal La Presse révèle cette manœuvre politico-judirico-mafieuse de ce plan ‘’B’’ :
L'ancien grand argentier du Parti libéral du Québec (PLQ), Marc Bibeau, a réussi à retarder l'enquête anticorruption Mâchurer de plus de trois ans en invoquant le risque que la police viole le secret professionnel des avocats de ses entreprises et mine ainsi « la confiance du public dans l'intégrité de l'administration de la justice »
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JLPM
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*. Comment Marc Bibeau a retardé les procédures pendant 3 ans
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201705/04/01-5094947-comment-marc-bibeau-a-retarde-les-procedures-pendant-3-ans.php
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
5 mai 2017L'actuel régime de démocratie totalitaire au Québec a aussi supprimé les données comparatives des municipalités afin de cacher la corruption organisée provoquant le saccage en série des fonds publics évalué à plus de 3,7 milliards seulement depuis 2003 $. Il ne faut pas oublier qu'à partir de cette date la mafia politique PLQ-Charest-Couillard est au Pouvoir avec l'objectif de démanteler l'État québécois tel que commandité par le Pouvoir centraliste d'Ottawa post-référendaire de 1995 :
L'affaire ne fera jamais la manchette. On n'imagine personne, non plus, descendre dans la rue pour que Québec recommence à exiger la publication de ces données. Mais permettez-nous d'insister : il s'agit d'une lourde perte. Susceptible, d'ailleurs, d'avoir un impact sur votre portefeuille
Pour plus de détails sur la non publication du Palmarès des municipalités , consulter Le ministère qui préfère l'ignorance
http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/alexandre-sirois/201705/04/01-5094929-le-ministere-qui-prefere-lignorance.php
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JLPM
Yves Corbeil Répondre
5 mai 2017L'éthique libéral,
Quand Pierre Moreau accuse sans preuve un média qui fait seulement sa job en toute indépendance ça laisse perplexe sur l'éthique de son gouvernement.
Comment peut-il ensuite remettre en question les doutes de la population et de certains enquêteurs sur la partialité des enquêtes.
Avec tous les coulages qui surviennent depuis la fin de cette commission ou les huis clos ont servi à cacher ce pourquoi la commission avait été exiger au départ, soit faire la lumière dans la fausse à purin.
Il y a lieu de se poser des questions, peut importe ce que vous en pensez monsieur Moreau.
Yves Corbeil Répondre
5 mai 2017On tourne en rond et je ne comprends pas l'inertie des citoyens et des hauts placés de nos institutions.
Quand le parti au pouvoir depuis 2003 est soupçonné sur une tonne de dossiers et que c'est ce même parti qui a nommé les juges, les directeurs de comités, DPCP, UPAC, les directeurs de polices ect. et qu'il avait un Renaud Lachance à la commission Charbonneau pour l'aider à faire la ''lumière'' sur la collusion et la corruption institutiationnalisés.
Où se situe la clarté qu'on prétend vouloir faire sur cette situation endémique?
On tourne en rond et ce gouvernement rit de nous tous.
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
4 mai 2017L'un de ceux qui vont témoigner en commission parlementaire dans le cadre de l'étude des crédits du ministère de la Sécurité publique* manifeste :
« Les policiers, chapeau, a-t-il dit. Mais un policier, quand ça devient état major, il commence à faire de la politique, ça commence à être dangereux. Il y a trop de politique qui est impliquée dans la police en ce moment. Le système est malade. »
Pour plus de détails sur la corruption institutionnalisée ainsi que la manière d'octroyer des sommes provenant de ces crédits destinés à la SQ pour payer selon les critères des hauts responsables de ce corps policier, consulter La haute direction de l'UPAC accusée d'étouffer des enquêtes
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201705/04/01-5094668-la-haute-direction-de-lupac-accusee-detouffer-des-enquetes.php
*
Le fonds secret de la SQ a-t-il servi à payer des dépenses de premiers ministres?
http://www.journaldemontreal.com/2016/01/06/le-fonds-secret-de-la-sq-a-t-il-servi-a-payer-des-depenses-de-premiers-ministres
*
L'ex-policier Guy Ouellette a été rémunéré à l'aide du fonds secret de la SQ (député depuis 2007 de la mafia PLQ-Charest-Couillard)
http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/actualites-judiciaires/201610/23/01-5033542-lex-policier-guy-ouellette-a-ete-remunere-a-laide-du-fonds-secret-de-la-sq.php
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JLPM
Archives de Vigile Répondre
4 mai 2017Bonjour il y a beaucoup de références de radio canada dans les commentaires. Quand à moi je me questionne au sujet de ce média. Pourquoi par exemple pour parler des enquêtes menées par le bureau d'enquêtes du journal de Montréal, radio canada parle d'un enquête de Quebecor, comme le fait M. Pierre Moreau, Président du conseil du trésor. Je ne crois pas que radio canada citant le journal la presse utilise l'expression Power corporation pour nommer ce journal.
Il me semble que ce média ne va plus au fond des sujets comme ce fut déjà le cas et que trop souvent l'information me semble incomplète.
Je n'ai jamais trop compris pourquoi M Alain Gravel avait fait cette sortie au sujet du mari de Madame Marois pendant la campagne électorale
j'ai toujours considéré radio canada comme un média d'une grande probité et objectivité mais aujourd'hui je me questionne.
Yves Corbeil Répondre
3 mai 2017http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201705/03/01-5094293-moreau-sen-prend-au-bureau-denquete-de-quebecor.php
Les libéraux ont pu museler la commission Charbonneau mais ils ne pourront jamais museler la liberté de presse de Québecor et son département d'enquête.
Ils n'ont pas voulu le faire le ménage, bien ça va se faire différemment et ça va faire mal à la pseudo-démocratie libéral institutionnalisée. Attachez-vous les ultralibéraux, les huis clos et les enquêtes bloquées vont sortir comme des wikileaks coloniaux québécois. Ça va être long en ta, Octobre 2018.
Jean Lespérance Répondre
3 mai 2017Toutes mes félicitations pour avoir si bien décrit ce qui se passe au Québec.
Je l'ai déjà dit moi-même que nous étions dans un régime totalitaire, une dictature molle mais une dictature quand même. Tous les pouvoirs abusifs mis en place sont utilisés prétendument pour contrer l'influence du Québec au sein du Canada. Dans la réalité, ce n'est pas seulement le Québec qu'on veut spolier mais tout le pays en entier. Je tiens à préciser la signification des mots : valeurs exogènes, valeurs extérieures, valeurs qu'on tente de nous imposer sous le terme de communautarisme, d'ouverture sur les autres. À force de tout donner aux autres dans des traités ou accords de traîtres, on finit par ne plus rien posséder. Si tous les canadiens, anglophones des autres provinces en étaient conscients, ils ne chercheraient pas à démolir la souveraineté du Québec mais revendiqueraient leur propre souveraineté qui leur échappe.
Archives de Vigile Répondre
3 mai 2017Bonjour M. Martel.
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_ Je pense qu'on doit, souvent, rafraîchir la mémoire des Québécois, afin qu'ils comprennent que les ''fraudeurs'', partis politiques, et pseudos-médias cités dans votre article sont TOUS financés par Powercorporation.
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_ Il n'y en aucune démocratie. Que cette petite élite mafieuse qui possède TOUT ici, et qui s'amuse à contrôler un troupeau de plus en plus bête et soumis.
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_ Cela m'enrage, car les Québécois sont des gens honnêtes, très travaillants, de bonne foi, et cette petite bande de crapules. Dégoûtant.
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_
_ On June 11, the Global Elite Gather in Montreal:
_ par Andrew Gavin Marshall
See the world through a different lens
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_ ''The Desmarais family is unquestionably Canada’s most powerful family. The Desmarais family, wrote Christa d’Souza for the London Telegraph, are “Canada’s equivalent of the Rockefellers or Vanderbilts.” Founded in 1925, Power Corporation of Canada is an investment company involved in communications, business, and especially finance. In the 1960s, the company began to invest in energy, finance, industry, and real estate. In 1968, financier Paul Desmarais took over the leadership of Power Corporation, and rapidly expanded the assets held by the company, including by the 1970s: Canada Steamship Lines (transportation); Consolidated Bathurst (pulp and paper); Investors Group, Great-West Life, Montreal Trust (financial services); and Gesca (communications). Power Corporation expanded across Canada, Europe, and into China. Paul Desmarais stepped aside as Chairman and CEO in 1996, though remaining as the controlling shareholder, and had his two sons, Paul Jr. and André, become Chairman and President and Co-CEOs. Power Corporation owns Gesca, a communications company which in turn owns La Presse as well as six other daily newspapers in Quebec._
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Paul Desmarais Sr. is one of Canada’s richest individuals, which is, of course, no surprise, and as Konrad Yakabuski wrote for the Globe and Mail, “Desmarais has been personally consulted by prime ministers on every major federal economic and constitutional initiative since the 1970s. Most of the time, they’ve taken his advice.” Power Corporation has taken large stakes in major European companies such as Bertelsmann, Total and Suez. In the mid-1960s, a protégé of Desmarais was a young Montreal lawyer named Brian Mulroney, who would later become Canada’s Prime Minister. Paul Sr. groomed his sons, and especially André, who is now perhaps the most well-known Canadian businessman in China. André also married the daughter of another Canadian Prime Minister, Jean Chrétien. Desmarais Sr. also got involved in French banking through Paribas, and later, Pargesa, which handled investments in a wide range of European corporations, and shot Desmarais into the accepted ranks of French nobility and the old-monied European elite. Paul Desmarais Jr. is close friends with the recent French President Nicolas Sarkozy, and socializes with Spanish royalty, the Rothschilds, and other European oligarchs. The Desmarais family have strong connections to Canada’s four major political parties: the Liberals, Conservatives, Bloc Quebecois, and the NDP. This has included close ties to Lucien Bouchard, former leader of the Parti Québecois and Premier of Quebec; Jean Chrétien, former Canadian Prime Minister; Brian Mulroney, former Canadian Prime Minister who worked for Power Corporation; Bob Rae, an NDP leader; and Paul Martin, another Liberal Prime Minister who worked for Power Corporation. In the 1990s, the international advisory board of Power Corporation included former Prime Ministers Brian Mulroney and Pierre Trudeau. Brian Mulroney was sure to create friendly ties between the Desmarais family and soon-to-be Canadian Prime Minister Stephen Harper, who put two Desmarais-connected politicians in his cabinet, Peter Mackay and Maxime Bernier.''
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_ https://andrewgavinmarshall.com/2012/06/05/on-june-11-the-global-elite-gather-in-montreal-will-the-maple-spring-say-hello/
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Archives de Vigile Répondre
3 mai 2017Commentaire (suite)
Oli côte
@Mario Goyette
Effectivement, j'ai écouté ses commentaires, mais je ne peux faire confiance à cette madame....fermer les yeux c'est appuyer le crime.
Et ce midi, elle a bien repris la ligne du PLQ : "tout le monde l'a fait".
C'est faux, ce n'est pas tout le monde qui l'a fait et ce n'est pas tout le monde qui a menti sous-serment.
Je me demande pourquoi Radio-Canada invite M. Jérôme-Forget comme commentatrice, elle ne mérite pas qu'on oubli son parcours, ni la tentative de remonter sa crédibilité...
Elle n'a pas fait sa job, et nous a fait perdre des millions mais c'est correct, c'est la façon de faire PLQiste, faire perdre de l'argent au contribuable par corruption ou aveuglement volontaire dans son cas.
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1031633/de-nouvelles-revelations-sur-violette-trepanier-donnent-des-munitions-a-lopposition
Archives de Vigile Répondre
3 mai 2017Première midi-info avec Michel C.Auger, pour commenter la scène politique présentement, Monique-Jérome Forget est invitée à donner son opinion...
Jérôme-Forget « sidérée » par l'envergure de la fraude alléguée à la SIQ
« Sincèrement, ça ne m'intéressait pas, avouait-elle. Peut-être que ça aurait dû m'intéresser. Moi, Monique Jérôme Forget, la SIQ ne m'intéressait pas. »
«Elle a laissé des gens louches dans la caisse de centaines de millions de dollars, et il est arrivé ce qui est arrivé.»
—Jean-François Lisée
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/812764/societe-immobiliere-quebec-siq-monique-jerome-forget-reax-plq-allegations-fraude-jean-charest