Paradoxes
Libéral : Qui est favorable aux libertés individuelles, à la liberté de penser, à la liberté politique. Ceci est la définition principale du mot libéral, petit Larousse illustré 1991 en page 568, ça n’a jamais été mon parti soit dit en passant.
Je me demande si cette édition du petit Larousse était disponible partout en province, c’est à croire que le mot libéral n’a pas la même définition pour tout le monde, surtout en politique Québécoise par les temps qui courent, même par le passé.
John James Charest, né le 24 juin 1958, ici même au Québec, avait peut-être en sa possession un dictionnaire anglais car, il semble ne pas avoir la même définition du mot libéral, que tout le monde, en ce qui concerne les libertés individuelles, il semble penser que c’est pour lui seul, il se croit libre d’agir à sa guise en se foutant carrément du peuple Québécois.
Pour ce qui est de la liberté de penser, il pense que la meilleure solution pour lui est d’accorder un mandat au juge Michel Bastarache qui a trait seulement à la nomination des juges au Québec, une commission à œillères, pour qui nous prend-il ? La liberté politique, bien voilà, il s’en sert à son avantage, se prend-il pour un grand illusionniste qui veut dévier notre attention de toutes les autres magouilles flagrantes de son organisation politique ?
Serait-il possible qu’il reste en lui un peu trop de parcelles de l’ancien parti progressiste conservateur du temps où il le dirigeait, se pourrait-il que les membres de son parti soient sous son hypnose pour le protéger de la sorte ?
Nous, Québécois, que sommes-nous aux yeux de cette organisation, identifions-nous et ça urge au plus haut point.
Christian Lambert
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