Comment réagissent les immigrants?

Loi 14 :Le peuple refuse d'imposer sa culture

COmment voulez-vous que les autres ethnies nous suivent?

Tribune libre


Lorsque j'entends tous ceux qui sont contre la loi 14 c'est qu'ils ont
pour la plupart des intérêts pour les groupes anglophones.
J'ai vu le pauvre Stéphane Gendron à V défendre l'intérêt des anglophones évidemment c'est une partie de son électorat pour sa mairie d'Huntington donc on comprend que c'est pour gagner des votes qu'il prône l'anglais alors qu'on se souviendra qu'il était un membre du PQ au début de sa carrière qui avait commencé avec Jean Garon.
Il semble qu'en vieillissant on oublie la patrie pour l'argent. C'est normal pour les opportunistes.
Mais moi je me pose une question comment convaincre les gens venusde d'autres pays l'utilité et l'obligation de parler français si nous mêmes les Québécois ne voulont pas imposer notre langue au travail,à l'école, etc...?
Moi comme immigrant je ne suivvrai jamais un peuple de mous qui a peur de s'imposer Pourquoi apprendre leur langue s'ils ont peur de l'imposer même majoritaire?
Si la volonté de s'imposer n'est pas là moi je choisirais la culture anglophone qui n'a pas peur d'enlever des services aux francophones alors que le nombre ne le justifie pas dans les autres provinces.
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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2013

    «Moi comme immigrant je ne suivvrai jamais un peuple de mous qui a peur de s’imposer Pourquoi apprendre leur langue s’ils ont peur de l’imposer même majoritaire ?»
    Il y a une grave faute d'appréciation que nous répétons par rapport à notre situation de provinciaux au sein du Canada.Il faut regarder la réalité par le bon bout pour comprendre : Acceptons de nous définir tels que nous le sommes : une minorité francophone canadienne assujettie au Québec à la fraction québécoise de la majorité canadienne. Tout le discours linguistique qui parle de NOUS comme une majorité est selon moi une projection fantasmée de la réalité que nous vivons objectivement. Une gros bluff qui se répète autour d'un parlement provincial. On a le discours de la majorité mais pas les moyens. Dans le cadre légal du Canada nous sommes partout une minorité, point barre.