Une étude surprenante a commencé à circuler dans les milieux indépendantistes ces derniers jours. Elle est si exhaustive et si rigoureuse qu'on peut difficilement en contester les conclusions. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur l'icone PDF ci-dessous
De 2002 à 2003, deux entreprises de sondages liées à Power, CROP et SOM ont produit des sondages contenant de telles aberrations qu'on ne peut les expliquer qu'en concluant qu'il s'agissait d’une stratégie visant à favoriser l'élection du Parti Libéral du Québec.
Cette opération s'est déroulée en quatre temps :
UN : Faire monter l'ADQ dans le sondage (p. 2 : 43 %, ) , un an avant l'élection de 2003 dans le but de la rendre plus attrayante pour le recrutement de candidats de prestige. L'objectif étant de gruger le vote francophone du Parti Québécois
DEUX : En 2003, faire monter le Parti Québécois (p.3 : 39 %) pour convaincre Bernard Landry qu'une fenêtre s'ouvrait pour un renouvellement de mandat majoritaire (Document, p. 3, : « Le Premier ministre compte profiter de la fenêtre inespérée dans les sondages (...) Devant les chiffres des sondages CROP, il salive littéralement, dit-on »
TROIS : Durant la campagne électorale (p.4 : début, PQ + 11 % sur le PLQ), soudainement les sondages annoncent une chute marquée du Parti Québécois ( p.4 : fin de campagne: PLQ + 13 % sur le PQ) .
QUATRE : Cette chute des appuis du Parti Québécois dans les sondages va avoir son effet durant la campagne (une multitude de commentateurs et analystes cherchaient les raisons pourquoi le Parti Québécois était en telle perte de vitesse.).
Cette étude exhaustive des différents sondages de CROP et SOM couvrant la période 2002-03 laisse apparaître des écarts si marqués sur ceux de Léger qu'on ne peut que conclure que ces aberrations statistiques visaient à influencer la dynamique politique plutôt que de refléter fidèlement et passivement l'opinion publique.
Un cas patent de manipulation réussie de l'opinion publique.
Vers la fin de l'étude, vous verrez la liste de la vingtaine de comtés que cette manipulation a permis de faire basculer du PQ au PLQ, et vous comprendrez pourquoi les élections générales nous donnent de plus en plus l'impression de ne se dérouler que dans quelques comtés.
Le scrutin de 2014 n'a pas encore fait l'objet d'une étude similaire, mais lisez bien ce commentaire qu'on retrouve sur le site de Radio-Canada à la veille de l'annonce du scrutin :
Alors qu'à Québec le gouvernement Marois exclut le scénario d'élections au mois de mars, un nouveau sondage de la firme CROP gonfle les voiles du Parti québécois qui récolterait, selon les sondeurs, 40 % des intentions de vote.
La prochaine fois que vous prendrez connaissance des résultats d'un sondage, demandez-vous si son commanditaire n'aurait pas un intérêt quelconque dans l'utilisation qu'il en fait, et si cet intérêt pourrait être tel qu'il aurait pu être à son avantage d'en fausser les données et l'interprétation.
À plus forte raison s'il s'agit d'un sondage CROP/La Presse ou SOM/Le Soleil.
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24 commentaires
Marc Huber Répondre
21 décembre 2016Bravo!
Par contre, je ne comprends pas qu'on puisse traiter de sondages sur les ondes de médias ou dans les journaux sans avoir vérifié et approuvé la méthode.
Archives de Vigile Répondre
14 septembre 2015Je me suis toujours méfié des sondages. Tant qu'à moi je les interdirais durant les périodes électorales car comme on peut voir ils peuvent occasionner certaines manipulations. Si les gens ont besoin de sondage pour mettre leur croix sur un bulletin de vote à mon avis ils devraient s'abstenir de voter. Le meilleur outils pour choisir ses représentants à l'assemblée nationale demeure le programme électoral de chaque parti !!!!!!
Jean-Claude Pomerleau Répondre
20 juin 2015De l'influence des sondages selon CROP :
«Les mauvais sondages entraînent les mauvaises nouvelles qui entraînent les mauvais sondages», laisse entendre le vice-président de CROP, Youri Rivest.
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201506/19/01-4879655-sondage-crop-leffet-duceppe-la-vague-mulcair.php
JCPomerleau
Jean-Claude Pomerleau Répondre
19 mai 2015La manipulation de l'opinion publique
http://www.toupie.org/Textes/Manipulation_opinion_publique.htm
JCPomerleau
Archives de Vigile Répondre
17 mai 2015Yvon Sessayé:" C’est toujours alarmant quand le gouvernement applique une loi rétroactivement, et c’est encore plus alarmant quand il le fait pour effacer ses traces »
La Commissaire Suzanne Legault sera aux Coulisses du Pouvoir sur ICI Radio-Canada Télé à 11hres(AM) dimanche 17-05-2015
''Le gouvernement fédéral s'attaque à un droit fondamental lorsqu'il tente de soustraire rétroactivement les données du registre des armes à feu de la Loi sur l'accès à l'information pour éviter des représailles à la Gendarmerie royale du Canada, selon la commissaire à l'information du Canada dans une entrevue aux Coulisses du pouvoir.''
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/politique/2015/05/16/003-suzanne-legault-acces-information-registre-c-59.shtml
Archives de Vigile Répondre
15 mai 2015
Marc LapierreMarc Lapierre a bien raison: "Ce n’est pas la parole de Blaney avec son sourire narquois dans un "scrum" qui vas empêcher le CST d’enquêter sur ceux qui veulent changer l’intégrité des frontières canadiennes."
Après l'enquête, les services secrets canadiens feront quoi ?
Une raffle dans les chaumières pour enfermer les indépendantistes ? Par mesures préventives, les placer dans des camps de réforme ? "No limit" mes amis. No limit.
Deux gouvernements criminels devant nous, celui de Harper et Couillard/Charest. Aucune loi pour eux, toutes les lois contre nous.
Tirez vos conclusions.
Et pour ceux qui ne sont pas encore convaincus, éclairez vos lanternes ici:http://www.ledevoir.com/politique/canada/440204/acces-a-l-information-ottawa-efface-un-delit-par-une-loi-retroactive
Peter Russell, professeur en sciences politiques à l’Université de Toronto et spécialiste des questions de gouvernance.
Archives de Vigile Répondre
14 mai 2015Cela fait 25 années que je suis activement politisé et déjà au début de ma vingtaine j'avais identifié les stratégies de Crop et Som. Pour faire simple, à la veille des élections ou au début des campagnes électorales, les sondages Crop surestiment systématiquement le PQ et sous-estime le PLQ. Cela a comme effet de fouetter les troupes libérales (qui se croient en perte de vitesse) et de ramollir les troupes péquistes.
À mi-campagne ou après le débat des chefs, les sondages Crop donnent les deux partis nez à nez. Enfin, deux jours avant le vote ils sortent un dernier sondage donnant une large avance aux libéraux (afin de ramasser les indécis et les non-politisés qui se rangent massivement du côté du potentiel gagnant).
Cette dynamique a toujours été respectée lors des campagnes à deux partis. Maintenant, avec la CAQ et les idiots utiles de QS, ils ont raffiné leurs stratégies mais la tricherie est toujours d'actualité. Après tout Gesca est le client de Crop et on sait qu'en affaires "le client à toujours raison". C'est encore plus facile puisqu'il n'y a pas d'ordre professionnel des sondeurs avec un syndic pour enquêter ou une loi encadrant leur travail.
Pourtant le PQ ce n'est pas une cabane à patates, ils ont les moyens d'en faire des sondages à l'interne. Ils ont même accès à des grands spécialistes comme Drouilly et Cotnoir. Dans ces conditions on se demande pourquoi diable ils tiennent compte des données de l’ennemi, donnés qui sentent l'intox à plein nez?
Le problème de certains péquistes c'est de voir l'enjeu de l'indépendance nationale comme une joute politique comme une autre. Des fédéralistes ils ne parlent pas d'ennemis mais bien d'adversaires. Pourtant, ceux d'en face sont prêts à aller jusqu'au bout pour gagner, même jusqu'au meurtre. Que ce soit un bouffon, un déséquilibré ou non, le fait est que l'ennemi usera de violence le moment venue, quand il n'aura plus rien à perdre. Ils contrôlent notre porte-feuille depuis 1763. Ils ne nous rendront pas notre argent sans réagir et ça le PQ ne semble pas le comprendre. Chaque jour dans le monde éclate des conflits pour bien moins que ça.
Il y a une grande part de naïveté chez nos élites péquistes et j'espère que PKP sera plus parano que pas assez. Surtout au niveau sécurité et des technologies de l'information. N’oublions pas qu'Ottawa vient de légaliser l'écoute et la surveillance de tout citoyen indépendantistes avec C-51. Ce n'est pas la parole de Blaney avec son sourire narquois dans un "scrum" qui vas empêcher le CST d'enquêter sur ceux qui veulent changer l'intégrité des frontières canadiennes.
Claude Girard Répondre
14 mai 2015Attention. On prend peut-être l'effet pour la cause. Les sondages reflètent surtout la manipulation des médias. Voyez: à un an du scrutin, les médias (surtout RC et LaPresse) «spinnent»l'ADQ, quelques mois avant, Landry et le PQ, puis le PLQ pendant en n'oubliant pas d'agiter le bonhomme sept heures du référendum. À peu de choses près, même affaire en 2014. Je crois que les sondages ne font que refléter cela même s'il est vrai qu'ils renforcent à leur tour la manipulation des médias collabos.
Marcel Haché Répondre
14 mai 2015Tous les chefs péquistes furent des chefs faibles. Cela ne signifie pas du tout qu’ils sont et qu’ils auraient été des individus faibles. En fait, je crois qu’ils ont tous été des individus forts, mais des chefs faibles.
S’ils avaient été des chefs « forts », jamais, par exemple, le « mystère Québec » ne serait apparu. Et ce n’est pas avec un « programme » que les indépendantistes auraient pu s’épargner un tel « mystère », c’est avec des « politiques » fortes lorsqu’ils étaient au gouvernement. Des politiques fortes par des chefs forts !
Le P.Q. aura encore un tout nouveau « programme », qu’une équipe déterminée s’emploiera à faire connaître. Pas loin d’une perte de temps !
Plutôt le Pouvoir sur les vraies affaires, puis des politiques fortes, contraignantes, c’est-à-dire un Redressement National. De cela, un Redressement National, le P.Q. n’en a pas le début du commencement de la compréhension, encore moins la volonté. Il n’a qu’à voir la faiblesse des candidats qui se sont opposés et qui s’opposent encore à P.K.P.
C’est dans la « gouvernance » elle-même, dans les « politiques » du gouvernement, c’est là et nulle part ailleurs que réside la possibilité de retourner l’opinion public comme on retourne une crêpe. Et cela inclut le « mystère Québec » !
P.K.P. pourrait être notre premier chef « fort »…et notre dernière chance.
Michel Blanchette Répondre
13 mai 2015Robert Bertrand bravo! J’abonde dans votre sens à 100%!
Archives de Vigile Répondre
13 mai 2015M. Bernard Landry a déjà participé à une conférence du Groupe Bilderberg. Et en effet, il admirait M. Paul Desmarais. Il est donc très envisageable que M. Landry soit un autre pion dans toute cette affaire, même si ça semble étrange à première vue.
Stéphane Sauvé Répondre
13 mai 2015
Richard LeHirC'est ce "faux" respect des anciens bonzes du PQ pour l0552es fédérastres de service qui a mené le PQ à sa perte.
Si PKP ne rentre pas, c'est le PQ qui signe son arrêt de mort. Punto.
________
J'ai du respect pour Landry mais ce dernier a sous estimé les forces (ou la tricherie) des feds, à un point tel où auj. on en fait encore les frais. Bernard Landry est à des milles en avance sur les Bouchard, Johnson, Boiclerc et Marois de ce monde, ces derniers ayant été les idiots utiles des fédéralistes». Les faits rapportés par Pomerleau le confirme une fois de plus.
Jean-Claude Pomerleau Répondre
13 mai 2015@ Denis Thériault.
Le Clan Desmarais souhaiterait l'élection de PKP, parce qu'il représenterait une
« proie facile ».
PKP met en cause la main mise sur l'État par le régime libéral, des intérêts immenses sont en jeux, entre autres ceux du Clan Desmarais.
PKP est le seul qui a le centre de gravité pour assumer les 3 rapports de forces que supposent la cause : politique, économique et médiatique.
Ces lignes de forces sont apparues clairement au moment de la nomination de PKP sur le CA d'Hydro-Québec :
http://service.vigile.quebec/Un-milliardaire-patriote
Avec PKP à la direction , le Parti Québécois, dans sa culture et mouture des 40 dernières années, n'existera plus.
Et c'est ce nouveau parti dirigé par PKP qui fait peur au Clan desmarais, et il ont raison d'avoir peur.
JCPomerleau
Jean Gilles Répondre
13 mai 2015Ce qui a, surtout, fait perdre Bernard Landry: la sortie malencontreuse de la belle-mère Parizeau, en Mauricie, la veille du débat télévisé.
En plein débat, Charest a rappelé les propos de Parizeau à un Landry abasourdi et décontenancé. Ce dernier n'était pas au courant.
Landry s'est fait mette knock-out au débat. A partir de là, Charest a repris le dessus dans la campagne.
Archives de Vigile Répondre
12 mai 2015La même sorte de sondage bidon qui catapulte maintenant PKP en tête des sondages pour la course à la chefferie du PQ. Desmarais veut voir PKP à la tête du PQ parce qu'il sera une proie facile pour les Libéraux, permettant à ceux-ci de prolonger leur règne.
Archives de Vigile Répondre
12 mai 2015D'où la peur de voir PKP faire la même chose. Mais loin de moi de penser que des politiciens autres que les conservateurs-libéraux utiliseraient un tel stratagème. Comme ils savent que c'est LEUR ARME, ils ne voudraient pas voir qu'un adversaire puisse y accéder. De là leur hantise de voir PKP arriver à forces égales.
Ça rappelle une certaine vague orange sur le Québec cette manipulation des sondages...
@ Richard Le Hir Répondre
12 mai 2015Et dire que Bernard Landry, sur les ondes de Radio-Canada, était apparu au côté d'André Pratte à l'émission TLMEP de Guy A. Lepage dans la foulée du décès de Paul Desmarais pour évoquer avec chaleur la mémoire de cet « ami » qu'il est allé jusqu'à qualifier de « grand homme » !
Il s'était vertement offusqué que Vigile s'en étonne.
Naïf, Bernard Landry ? Et s'il ne l'est pas, qu'est-il alors ?
Archives de Vigile Répondre
11 mai 2015@gaston.
Vous avez entièrement raison!
C'est un peu bizarre.
....à moins que que quelqu'un proche de Landry ait poussé pour se fier a CROP qu'on aurait vanté comme le plus sûr...?
Archives de Vigile Répondre
11 mai 2015Les partis politique ne commanditent-ils pas eux-mêmes leurs propres sondages?
Je peux comprendre que CROP puisse influencer l'opinion publique, mais je trouve inconcevable qu'un parti politique établisse ses stratégies en se basant sur des sondages d'un autre, particulièrement de CROP.
Si le PQ a fait une telle chose, autant dire que le pays est perdu.
Archives de Vigile Répondre
11 mai 2015Parmi les outils que l'on doit se donner pour éviter, ou tenter d'éviter ce genre de fraude, il nous faudra un loi sur les sondages inspirée de la loi Française avec obligation de publier qui est le commanditaire, quelles sont les questions posées, etc etc. :
Archives de Vigile Répondre
11 mai 2015Ayoye.Je commence à comprendre l'importance des sondages internes des partis politiques.
Mais je n'en reviens pas.Pour faire pareilles escroqueries,faut vraiment mépriser les gens et être convaincu de pouvoir rouler dans la farine ceux et celles croient encore en la démocratie.
Y a-t-il matière à aller en cours avec cette étude?
C'est à en perdre toute son innocence.
François Gauthier Répondre
11 mai 2015Sondages CROP ?
Je ne suis qu'un simple militant souverainiste, n'ayant jamais eu un rôle d'influence... Mais, voilà environ 30 ans que je ne fais pas confiance aux sondages de CROP.
Si les élites du PQ ont été assez sottes pour y faire confiance, alors elles ont trahi la confiance de leurs militants, là comme dans tant d'autres choses.
Archives de Vigile Répondre
11 mai 2015Cette information me rappelle une télé série britanique diffusée à RADIO-CANADA au début des années 90. Le titre était "un coup d'état très convenable"(a very British coup). On y voyait un propriétaire de journaux qui dictait littéralement les sondages qui accompagnaient les articles chocs contre le gouvernement qu'il détestait. Ne dit - on pas que la réalité dépasse la fiction?
Robert Bertrand Répondre
11 mai 2015Il est bien possible que l'analyse présentée soit des plus satisfaisantes pour un niveau de connaissance rapide.
Une entreprise qui veut réussir se donne les moyens d'y arriver. Elle y met le travail et le talent pour atteindre le succès.
Un parti politique n'est pas fait autrement.
Pour réussir il faut bien s'entourer et s'assurer constamment de ne pas se faire jouer, ne pas se faire manipuler par les sondages, par les médias, par les aléas de la température environnante.
Si on se laisse porter que par des sondages pour prendre le pouvoir, on ne vaut pas cher comme leader d'un parti politique.
Je ne comprends pas que le parti Québécois qui était au pouvoir n'avait pas de programme complet pour les cent, pour les deux cents prochains jours après avoir été élus. Il faut pouvoir vendre ce programme.
Sur quel programme se faisait-on élire autant sous l'élection de Bernard Landry ou de Madame Marois ? Un cafouilli majeur sans saveur.
Dites-moi un peu quelle équipe formait le groupe de Madame Marois ? Elle a fait un discours de dissolution pour aller -- seule -- en quittant son monde ébahi sur place et s'acheminer d'un pas qui ne permettait aucun échange vers le Lieutenant-Gouverneur.
Si on ne fait pas une analyse sérieuse de la situation, c'est une garantie d'un fiasco.
Le Pays du Québec se fera avec UNE ÉQUIPE qui a un travail à faire. Cette équipe, tous ses membres, doit savoir ce qu'il adviendra s'ils sont élus.
Il faut savoir parler de ce qui tient lieu de son programme et non pas seulement de SA personne.
Pas de programme qui se tienne pour 100, 200 et 300 jours, on n'aura pas de Pays.
Un Pays ne se fait pas seul. Il se finalisera avec tous les membres de l'équipe qui se présente qui parlera d'une seule voix parce qu'ils seront au courant pour la suite des choses. La confiance dans les personnes choisies de l'équipe est fondamentale. N'entre pas dans l'équipe qui veut pour mieux se faire arnaquer.
Il nous faut des personnes sur qui compter et s'assurer de leur fidélité au programme.
On ne fera pas un Pays dans le désordre et juste sur une tête de pipe.
Les manipulations se réalisent parce qu'on laisse toute la place aux personnes extérieures et que de l'intérieur, il n'y a rien de valable, ou si peu, à présenter.
Une équipe, un programme déterminé dans le temps suivant la prise du pouvoir.
Le travail d'ensemble est prioritaire. Faut-il se parler avant, et ne former QU'UN autour d'un plan bien établi, bien structuré.
Il faut avancer dans l'ordre.
Le Pays, ce n'est pas un jeu. C'est du sérieux et on a besoin de tout son monde pour travailler ENSEMBLE.
Comment se fait-il qu'on en soit encore à dire des choses aussi essentielles et aussi fondamentales ?
Au plaisir d'échanger.