Le Bernie Madoff du climat enfin démasqué

Comment tromper le public en cachant des données

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Tribune libre

Les thèses du célèbre documentaire sur le réchauffement climatique, Une vérité qui dérange, film ayant valu un prix Nobel en 2006 à Al Gore et au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), sont l'invention de Michael Mann, un climatologue véreux, de renommée internationale, intervenant au sein du GIEC, une émanation de l’Organisation des Nations unies (ONU) [1].


Son graphique en forme de bâton de hockey (Figure 1), publié pour la première fois en 1998 dans la revue scientifique Nature [2], était la vedette du rapport sur le climat de l’ONU (2001) qui s’est traduit par une mobilisation massive de militants écologiques déterminés à en découdre pour sauver la planète [3].


En s’appuyant sur les modélisations informatiques de l’équipe de Michael Mann, l'affairiste Al Gore — dont la fille est mariée à l'héritier de la fortune bancaire internationale de Jacob Schiff, un représentant de l'empire financier Rothschild [4]— prévoyait, en effet, une catastrophe imminente d’envergure biblique. Il prédisait aussi que ce serait la fin de l’humanité si l’on ne mettait pas en place d’ici 10 ans, en 2016 donc, un gouvernement mondial pour combattre ce fléau inédit.


Les prédictions de Al Gore semblaient parfaitement justifiées, car cette courbe en forme de bâton de hockey montre, en effet, que la température atmosphérique de l’Europe, là où s’est amorcé l’usage des hydrocarbures durant la révolution industrielle, est montée en flèche après plus de 1000 ans de stabilité, et que cette hausse de température aussi soudaine qu’inédite ne pouvait être due qu’à l’activité humaine, notamment à la production de CO2, cette molécule « climatocide » que la jeune militante écologique Greta Thunberg prétend voir à l’œil nu [5].





Or, depuis que l’arrière-petite-fille du célèbre banquier Lionel Walter Rothschild, fils du premier baron Rothschild [6] a vu, de ses propres yeux, le CO2 dramatiquement illustré par la courbe de Michael Mann, elle est convaincue comme beaucoup que la crise climatique est une crise globale, la plus grande crise jamais affrontée par l'humanité : « Nous ne pouvons pas sauver la Terre sans nous unir [7] », se lamente la star des réchauffistes climatiques menée de main de maître par Luisa-Marie Neubauer-Rothschild du groupe écologiste One Foundation, une organisation non-gouvernementale (ONG) financée par le chanteur Bono, Bill et Melissa Gates ainsi que le réseau Open Society du prédateur financier George Soros, l'un des mentors de Justin Trudeau [8].


Mais, pour produire le fameux graphique en forme de crosse de hockey qui ignore l'optimum médiéval, Mann et son collègue fraudeur Jacoby ont « oublié » de prendre en compte les données qui ne confirmaient pas l'explosion climatique du Moyen-Âge. Heureusement, les archives ont été mises au jour et la fraude a été dévoilée : dix sites d'observation ont été retenus et 26 cachés (Figure 2) [9].



Le GIEC (ONU) faisant autorité dans ce domaine, la majorité des climatologues et des médias se sont alignés de facto sur ses fausses conclusions. Ce qui veut dire, pour résumer, que le consensus scientifique dans ce cas précis n’a aucune valeur, car il n’est pas fondé sur des faits réels et sur une méthode et des arguments scientifiques, mais sur un mensonge.


Références







[1] John O’sullivan, Climate fraud justice: Dr. Tim Ball defeats Michael Mann’s climate lawsuit, Signs of the Times, August 23, 2019.




[2] Michael E. Mann, Raymond S. Bradley et Malcolm K. Hughes, “Global-Scale Temperature Patterns and Climate Forcing Over the Past Six Centuries”, Nature, avril 1998.




[3] Bilan 2001 des changements climatiques : Rapport de synthèse, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), Organisation des Nations unies.




[4] Michael Collins Piper, The New Babylon. Those Who Reign Supreme, American Free Press, 2009, pp. 166, 169, 189.



[5] Benoît Rayski, “Moronism also pollutes. Better than Joan of Arc: Greta Thunberg sees CO2 with the naked eye!” Atlantico, June 25, 2019.




[61]  Politikus, « Les Rothschild mettent-ils fin à leur projet ‘Israël’ ? », Réseau International, 28 novembre 2023.




[7] New York: “Listen to the science Mr. Trump,” France 24.




[8] "George Soros is backing Greta Thunberg. Behind the world famous 16-year-old climate activist, there is a liberal oligarch and a globalist movement," Free West Media, April 24, 2019.




[9] 31. Steven McIntyre, "Discovery of Data for One of the “Other 26” Jacoby Series," Climate Audit, December12, 2023.






 



 



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