La torture perpétuelle de Gaza!

Tribune libre

Suite à l'assaut meurtrier sur la bande Gaza, perpétué par les colonialistes/racistes d'Israël il y a quelques jours, des souvenirs surgissent. Des souvenirs d’il y a à peine quatre ans, ceux des horreurs et des massacres de l’opération plomb durci. L’agression israélienne contre Gaza, avait suscité une condamnation virulente de la part de la communauté internationale et par une majorité écrasante des organisations humanitaires locales et internationales; caractérisée comme une agression démesurée contre une population civile sans défense. Et pourtant, l'alibi d'Israël est celui d'un droit à l'auto-défense. Selon eux, l’offensive était nécessaire pour paralyser les roquettes provenant de Gaza par le Hamas sur le territoire juif. Mais, quel était le véritable objectif de l’attaque israélienne sur la bande de Gaza en 2008-2009? Il y a plusieurs facteurs qui entre en cause, mais ce n'est certainement pas celui d'une légitime défense. En fait, les offensives militaires d'Israël, n'ont jamais été une raison de sécurité nationale, mais plutôt motivée par l'expansion territoriale et l'intérêt pour les ressources brutes. Au début de 2008, le Hamas et Israël avait signé une trêve qui a perduré jusqu'en octobre de cette même année. Rompue, suite à l'assassinat de six militants palestiniens à la frontière de Rafah. L'opération a eu comme conséquence prévisible de nouveaux tirs de roquettes sur le territoire israélien. L'élément déclencheur des bombardements récents, semble être une caricature de celui de 2008-2009.

Suivant l'assassinat de jeunes enfants palestiniens le 8 novembre et celui d'Ahmad Al Jaba'ari, chef de l'aile armée du Hamas le 14 novembre, celui-ci riposta avec leur seul moyen de contre-offense, les tirs de roquettes artisanales. Israël, une fois de plus, avance le prétexte du droit à l'auto-défense, une rhétorique imprégnée d'une hypocrisie faramineuse! En fait, considérant le rapport de force disproportionné et son statut d'occupant militaire, Israël ne peut se prétendre en position d'auto-défense. Elle est, en tant que force occupante, toujours imputée comme l'agresseur par conséquent. Si on ne peut trouver aucune légitimité ou justification aux tirs de roquettes du Hamas, qui eux réclament une résistance à 45 années d'occupation brutale, il en est encore moins crédible d'accepter les griefs de l'État hébreu, qui elle-même, je le répète, est l'entité occupante! La Cisjordanie et Gaza sont reconnues comme étant une unité. Cependant, il n’y a pas de tirs de roquettes provenant de la Cisjordanie et pourtant, l'expropriation et le vol de terre, la construction, l'expansion de nouvelles colonies juives en territoire occupé ainsi que les assassinats quotidiens de civils palestiniens n’ont jamais cessés depuis 1948.

Au cours des derniers jours, plusieurs motifs ont été avancés pour expliquer les raisons derrières l'offensive israélienne dans la bande de Gaza. À l'approche des élections nationales, plusieurs spécialistes évoquent l'opportunisme électoral comme élément incitateur aux bombardements de Gaza. En 2008-2009, une des spéculations sur le motif de l’attaque israélienne, étaient cadrées sur les élections nationales à venir, Noam Chomsky en fait la remarque suivante :

« The timing of the invasion was widely assumed to be influenced by the coming Israeli election. Defense Minister Ehud Barak was lagging badly in the polls, gained one parliamentary seat for every 40 Arabs killed in the early days of the slaughter. »

Au niveau local, l'opportunisme électoral était considéré comme facteur à attaquer la bande de Gaza; tuer des arabes assure de plaire à la masse! Une société spartiate comme celle d’Israël, se réjouira d’une action militaire qui réaffirme la puissance de son État. Les sondages durant le conflit de 2008-2009, ont dévoilés que 91% des israéliens, ont appuyés l’offensive. Pendant que des centaines de milliers de gens manifestent leur colère et expriment leur dégoût sur les rues d'Europe et d'Amérique du Nord, en Israël le sentiment était carrément l'inverse. L'appui quasi unanime de la population israélienne, est un facteur important dans l'approche stratégique du Knesset. L’importance, c'est l’opinion publique israélienne, et non l’opinion internationale. C’est en raison de ça, que les médias israéliens n’étaient pas aussi déterminés à manipuler l’opinion nationale, mais à la refléter. Ceci n’était pas la première fois, qu’une opération militaire était entreprise pour favoriser un meilleur positionnement dans les sondages électoraux. En 1981, Menachem Begin, avait pris la décision de bombarder le réacteur nucléaire iraquien, Osirak, considérant que l'opération était un enjeu central dans sa campagne électorale, on peut assumer que ce jeu politique aurait contribué énormément à sa victoire. Pareillement, au Liban en 1996, l'opération raisins de colère, qui était une de plusieurs tentatives pour déstabiliser le Hezbollah, avait été entreprise juste avant le déclenchement des élections législatives. Alors, serait-il approprié, d’associer l’opération militaire dans la bande de Gaza à un simple stratagème électoral? Les élections en étaient certainement un facteur, toutefois, elles n’étaient pas la cause principale incitative à l'attaque. Comme le mentionne le journaliste israélien Gideon Levy :

''...En 2006, Israël était impliqué dans une guerre contre le Hezbollah libanais et il n’y avait pas d’élection durant ce temps.''

Une bonne partie de la population israélienne est consciente des conditions de vies déplorables des palestiniens. Pourtant, cette strate de la population estime que ces conditions sont tout simplement le résultat de la défaite des arabes en 1948 et 1967; les conséquences naturelles de la guerre. C'est seulement par l'acceptation de leur défaite que les palestiniens pourront rectifier leur situation pénible. Ils sont naïvement convaincus que les palestiniens aimeraient mieux continuer de lutter contre Israël que d’entamer des développements économiques et sociales. Cette pensée est certes fourbée. Aboutir à une paix équitable par la soumission humiliante de son voisin est totalement inacceptable. Les tirs de roquettes ne sont pas une continuation des guerres antérieures, mais le résultat d’une occupation actuelle, qui détruit systématiquement la vie socioéconomique des palestiniens, tout en leur arrachant leur dignité. L’ancien président américain, Jimmy Carter, a déclaré lui-même que les dirigeants du Hamas considèrent les tirs de roquettes comme le seul moyen de riposte à l’emprisonnement méthodique des gazouis par un blocus illégal, coincés entre barbelés et mer, littéralement écrabouillés par une très puissante armée qui contrôle entièrement la libre circulation et l'accès aux biens de première nécessité. Après la fin de la guerre, les roquettes ont cessés de s’abattre sur le territoire juif, le peuple israélien se réjouissait de voir que l’offensive a eu l’effet prévu. Cela justifie, selon eux, l’efficacité et la nécessité d’une rétorque militaire, d'une disproportion affairante. Pourtant, le Hamas, durant l'assaut, avait imploré la restitution de la trêve, les tirs de roquettes auraient pu être évités plus tôt, si seulement Israël avait acceptée l'armistice du Hamas. Or, elle a préféré punir une population assiéger et sans défense.

Dans le cadre du conflit israélo-palestinien, l'usurpateur israélien s'ingère dans la vie politique, sociale et économique de leurs dominés de manière récurrente accrue. Notamment, la liberté de choisir leurs représentants selon les règles élémentaires de la démocratie. Les palestiniens risquent la pénitence, s'ils osent voter de manière à nuire à l'élection du parti préféré d'Israël. À titre d'exemple : En 2007, l'élection du Hamas au détriment du favori israélo-américain, Fatah, les palestiniens ont été châtiés pour leur insolence à vouloir participer à des élections libres. Rien qu'une escobarderie, en vérité, les palestiniens n'ont jamais eu de véritables choix sauf l'option de la soumission et de l'inféodation. Au temps où le Fatah de Yasser Arafat était l'ennemi premier et l’ennemi juré d'Israël et où le mouvement séculaire national se comportait comme seul représentant du peuple palestinien, il avait été, à de nombreuses reprises, déclaré par la communauté internationale, comme une organisation terroriste, ne possédant aucune légitimité de négocier au nom du peuple palestinien avec Israël. Suivant l'accord d'Oslo en 1993, par quoi, l'OLP s'est transformé en police locale israélienne, saturé par la corruption et par les collaborateurs traitres d'Israël, est-il devenu un allié digne et un partenaire respectable pour finalement ouvrir les ''pourparlers de paix''. En 1982, les activités de l’OLP au Liban ont menés Israël à envahir le pays. Il était primordial pour Israël de détourner et détruire l'OLP, qui était à ce temps, la seule force politique capable de revendiquer un État palestinien. Le passé est un excellent indicateur du présent, l’offensive à Gaza est une approche coercitve avec des objectifs très similaires à l’invasion du Liban en 1982. Chomsky note le suivant:

« In some ways, the Gaza attacks were reminiscent of the gamble Israel took in Lebanon in 1982 when it invaded to eliminate the threat of Yassir Arafat`s forces. In 1982, as in 2008, it was necessary to eliminate the threat of political settlement. »

Après la première intifada, certains spécialistes songèrent à l’idée que le mouvement islamiste du Hamas était encouragé par Israël afin de déstabiliser, de l’intérieur, son lointain rival laïque : l'OLP. Le déclenchement de l’intifada en 1987 coïncide avec la naissance du Hamas, ce qui donne à la théorie un certain niveau de crédibilité. Gawdat Bahgat, expert en géopolitique du Moyen-Orient, fait l'observation suivante :

« In most of the 1980`s and early 1990`s Israel tolerated the rise of Islamists as counters to its, then, main enemy, the secular PLO led by Fatah and Yassir Arafat. Since then Hamas has established itself as a major player on the Palestinian stage. »

C’est une tactique coloniale classique que de diviser pour mieux régner. Le conflit entre le Hamas et le Fatah est souvent, sinon toujours, régit par la force occupante israélienne pour mieux servir ses intérêts. En effet, l’incursion en 2008-2009, est survenue un peu avant une rencontre prévue entre le Hamas et le Fatah au Caire, visant une réconciliation dans le but de forger un gouvernement unifié. Évidemment, cela ne pouvait pas être toléré. Il n’y a aucune source interne qui peut confirmer en détail la composition des planifications israéliennes pour l’invasion de Gaza. Toutefois, en observant le modèle de l’invasion, il est très intéressant de voir des similarités causales entre l'opération pilier de défense en 2012, l'opération plomb durci en 2008-2009 et l’invasion du Liban en 1982. De ce fait, on remarque une longue histoire de tentatives de détournement de processus diplomatique, en commençant par la dissuasion d’une fusion partisane palestinienne. Avec la destruction de l’OLP comme mouvement politique et social, le Hamas a repris l’initiative du Fatah et est devenu le nouveau mouvement de résistance se déclarant le véritable représentant du peuple palestinien. Le Fatah, désormais perçu par la majorité des palestiniens comme un régime répressif et submergé dans la corruption en tant que client fidèle à Israël, ne pouvait plus symboliser la lutte pour l'indépendance de la Palestine. Avec l'appui du peuple, le Hamas s’est établi en tant que porte-parole légitime et s’est développé en mouvement social profondément enraciné dans la société. Or, quand Israël s’engage à détruire l’aile sociale du Hamas, elle vise à détruire la société palestinienne. Pourquoi Israël serait-elle si intéressée à éradiquer les palestiniens? Est-ce possible qu'Israël, par sa nature colonialiste, est sadique et cruelle? En observant de près ses politiques de ségrégations (une réminiscence au régime Apartheid en Afrique du Sud) dans les territoires occupés, il serait convenable de déduire que ces actions guerrières entrepris à Gaza, ont un lien étroit avec son caractère colonialiste. L’une des caractéristiques principales du colonialisme, est l’exploitation par l'expropriation. Ceci, peut être très bien examiné, en Cisjordanie, où l'établissement de nouvelles colonies juives est en pleine croissance. Un des objectifs du projet de colonisation israélien est l'annexion des terres agricoles et les emplacements riches en eaux potables. Toutefois, il est difficile de voir la connexion, entre cette politique d’exploitation et la prison à ciel ouvert : la bande de Gaza, qui est une terre pauvre en ressources naturelles. Quoique à première vue, Gaza semble être dénué de ressources, celles qu'Israël revendique ne se trouvent pas sur le territoire terrestre gazouis, mais bien sur son territoire maritime. Depuis l’an 2000, des observateurs de diverses organisations humanitaires situées dans la bande de Gaza ont témoignés d’attaques successives par Tsahal contre des bateaux de pêche palestiniens. Ceci, dans le but de chasser les pêcheurs pour profiter des vastes réserves de gaz naturels situées sur les rives de la bande. Dans de telles circonstances, il serait parfaitement acceptable de conclure que les assauts contre Gaza sont des manœuvres militaristes en vue d’acquérir cette ressource précieuse.
Une fois encore, Chomsky fait la remarque suivante:
« Oil industry journals and the Israeli business press report that Israel’s state-owned Israel Electric Corp. is negotiating for as much as 1.5 billion cubic meters of natural gas from the marine field located off the coast of the Palestinian controlled Gaza Strip. It is hard to suppress the thought that the Gaza invasion may be related to the project of stealing these valuable resources from Palestine, which cannot take part in the negotiations. »

Donc, de dire que, l’opération avait comme objectif de déstabiliser le Hamas en vue d’anéantir sa capacité de tirer des roquettes et des missiles, qui en réalité, est une tâche impossible, à ce point, semble être factice.

Pour ce qui est du contexte régional, les assauts sur la bande de Gaza sont, sans aucun doute, reliés à un match d’intérêts politiques externes entre les différents acteurs régionaux tels : Israël, la Syrie, l’Iran, l’Égypte et le Hezbollah libanais. Durant l’offensive de 2008-2009, l'appui incontestable du Caire à ''l’autorité palestinienne'' de Mahmoud Abbas était lié au fait que le Hamas partage une affinité idéologique avec les frères musulmans en Égypte, la plus grande opposition à l'ancien gouvernement de Hosni Moubarak. Dans cette optique, l'ancien régime Moubarak s'entêtait à garder ses frontières avec Gaza fermées tant et aussi longtemps qu'Abbas n'était pas en charge du territoire. Avec le renversement du dictateur égyptien durant le printemps arabe et maintenant avec le dirigeant des frères musulmans, Mohammed Morsi, à la tête du pays, quel rôle jouera l'Égypte dans ce nouveau, mais encore similaire scénario, qui est Gaza? L'Égypte serait-elle en mesure de rompre son traité de paix avec Israël, signé en 1979 par le défunt président traitre Anwar Al-Sadat? Et depuis, a délaissé les palestiniens, seuls à résister contre le régime tyrannique à Jérusalem.

Ainsi, il ne faut pas perdre de vue d’autres éléments autrement importants. En 2008-2009, l'argument prédominant pour expliquer les motifs de l’attaque était la nécessité de rétablir la capacité de dissuasion ou la suprématie militaire d’Israël dans la région. Suite à une défaite cuisante contre le Hezbollah libanais en 2006 et de son incapacité de défier l’Iran militairement, Israël s’est senti pressé à restituer sa dominance auprès de ses voisins arabes. Israël a soulignée, à plusieurs reprises, qu'elle désire préserver son statut hégémonique et éviter la monter de l'Iran capable de contourner son influence. Ainsi, risque de devenir un compétiteur régional prépondérant. Cela semble être au niveau géopolitique une raison tangible de vouloir affaiblir le Hamas pour contrarier l'influence de Téhéran, sachant bien que l’affiliation entre l’Iran et le Hamas existe. Le Hamas est souvent décrit comme : ''le Hamas soutenu par l’Iran'', qui est dévoué à la destruction d’Israël. De la sorte, Israël perçoit le Hamas comme l'extension d’une présence iranienne sur ses frontières. Au cas où il y aurait une confrontation directe avec le régime des Mollahs, Israël veut s’assurer qu’aucune agression ne soit perpétuée sur son territoire par une force armée proxie-iranienne. En tout cas, cela est la version israélienne de l’argument. Cependant, en faisant une simple révision historique, on remarque, que le Hamas n'était pas une création iranienne, mais aurait vu le jour suivant des années de subventions monétaires et une politique de laissez-faire de la part du gouvernement israélien. D'ailleurs, attendu la divergence au niveau de l'idéologie religieux, il est peu probable, même invraisemblable, que le Hamas, un mouvement islamiste sunnite soit une élaboration du régime chiite iranien.

Les événements qui ont suivis la défaite du Tsahal au Liban en 2006, l’État hébreu, se sentant désespéré a cherché à engager les américain dans une guerre contre l’Iran qui décapiterait conjointement le Hezbollah et le Hamas, tout en mortifiant ses belligérants pour enfin s'enraciner comme la seule puissance (seconde après les États-Unis) incontestable dans la région. En dépit de l’insistance israélienne, une attaque américaine contre l’Iran ne s’est jamais occasionnée. La situation économique précaire des États-Unis ne permettrait pas, pour l'instant, de s’aventurer dans une autre guerre extrêmement dispendieuse. En conséquence, le degré, par lequel Israël peut encore exercer sa coercition militaire est remis en question. En ce qui concerne la Syrie, son intérêt demeure encore la restitution du Golan annexé par Israël suite à la défaite de la guerre 1967. Israël tente inéluctablement de s'infiltrer dans le conflit syrien afin de pouvoir mettre en place des forces qui lui serviront comme prétexte à de futurs conflits. On peut voir clairement, au cas où, le régime de Bashar Al-Assad succomberait aux terrorismes des salafistes; comment ceux-là pourraient facilement être présentés comme épouvantails islamistes pour l'avenir. Présentement, ils reçoivent l'appui d'Israël sans contestation quelconque. Demain, ils deviendront des ennemis jurés, une manière très astucieuse de promulguer et d'étaler les guerres et la violence au Moyen-Orient pour des années à venir. La Syrie de Bashar Al-Assad finance et arme le Hamas dans sa résistance à l’occupation sioniste et il en sera de même avec les salafistes de l'armée libre syrienne. Israël, malicieusement, reproduit sa politique d'accommodement envers les islamistes. Elle aide les extrémistes religieux à détruire ses adversaires laïques pour se trouver, par la suite, avec des fanatiques tartufes qui veulent sa destruction.

Finalement, elle est, elle-même, source de son insécurité et de sa possible destruction. Israël en finira par connaître l'ironie qui aura mené à son anéantissement. L'approche guerrière de l'État hébreu, semble correspondre avec son désir inéluctable d'en finir avec le peuple indigène de l'ancienne Palestine, pour finalement achevé sa vision du Grand Israël. Une tâche non seulement impossible, mais qui peut inversement contribuer à l'auto-destruction de l'État juif. Pendant ce temps, les Palestiniens vivent à chaque jour la réalité de leur non-existence. Réfugiés, occupés, affamés et bombardés, leurs conditions pitoyables seront, pour toujours, la cause originale et déterminante d'une paix irréalisable.


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3 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    25 novembre 2012

    Monsieur Eid Harb,
    Permettez-moi de revenir un instant afin de préciser ma pensée.
    Plus haut, j'ai écrit que sur toutes les tribunes libres, il faut décrier cet autre crime de l'État sioniste contre l'humanité. J'aurais dû ajouter que ce crime de guerre est la poursuite acharnée du génocide palestinien. Les négationnistes sionistes seront jugés par l'histoire. En effet, tôt ou tard, l'histoire du monde ne se résumera plus au soi-disant génocide (selon certains historiens respectables) le plus médiatisé dans une version dogmatisée.

  • Archives de Vigile Répondre

    25 novembre 2012

    Monsieur Eid Harb,
    Je remercie sincèrement Vigile de publier votre excellente analyse du récent carnage, aussi sauvage que criminel, du régime sioniste d'Israël contre les palestiniens. Sur toute les tribunes libres, il faut décrier cet autre crime de l'État sioniste contre l'humanité. Ce régime barbare d'apartheid est une honte pour toute l'humanité.
    J'espère qu'un Québec souverain se dissociera complètement, et sans équivoque, de l'appui inconditionnel accordé par le Canada à ce régime raciste et sanguinaire.
    Permettez-moi d'ajouter un lien en complément pertinent d'information crédible à votre analyse:
    http://www.youtube.com/watch?v=as2hgwZ7TAQ&feature=related

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    25 novembre 2012

    Cartes illustrant 50 ans de nettoyage ethnique du territoire de la Palestine par les sionistes :
    THE LAND GRABBERS STRIKE AGAIN
    http://www.veteranstoday.com/2012/11/18/the-land-grabbers-strike-again/
    .....
    JCPomerleau