La GRÈCE, L’Italie et L’Espagne, trois pays qui vivent sous le joug des financiers. Les habitants de ces trois pays, assistent quotidiens à l’effritement de leur société. Et lorsqu’un politique tente de se tenir debout devant cette oligarchie, il se fait indiquer la porte de sortie et ils le remplacent par un pion au service des financiers (Italie). Lorsque j’aborde le sujet avec les gens, les seuls points qu’ils ont retenus ; que les Grecs ne payent pas leurs impôts et qu’ils avaient des conditions de retraites exorbitantes. Ah, jalousie quand tu nous rends aveugles. Incapable de mettre en doute la légitimité de la fameuse dette. Les GRECS n’enlèveront rien dans leur assiette, mais les financiers ça c’est autre chose.
Depuis quelques siècles, les gouvernements ont adopté une pratique questionnable pour permettre le développement de leur société. Qui consiste à emprunter auprès des investisseurs par le biais des banques et des marchés financiers, en échange d’obligation qu’ils s’engagent à rembourser avec des intérêts. Pourtant dès 1928, même bien avant, le gouvernement américain avait été sensibilisé sur le danger potentiel, que constituent ces fameuses obligations. En effet, Henry Ford et Thomas Edison, deux richissimes personnages qui ont créé leur entreprise avec de l’huile de bras, racontaient au sujet de ces fameuses obligations.
C’est-à-dire, sous l’ancienne manière, chaque fois que nous voulons augmenter la richesse nationale, nous sommes forcés d’augmenter la dette nationale.
C’est ce qu’Henry Ford veut empêcher. Il pense que c’est stupide, et je le pense aussi, que pour le prêt de 30 millions $ de son propre argent, le peuple des Etats-Unis soit obligé de payer 66 millions $ — le montant total à payer avec les intérêts. Des gens qui n’ont pas levé une pelle de terre ni contribué pour une seule livre de matériel vont ramasser plus d’argent des Etats-Unis que le peuple qui a fourni les matériaux et le travail.
C’est ce qui est terrible avec l’intérêt. Dans toutes nos importantes émissions d’obligations, l’intérêt à payer est toujours plus gros que le capital. Tous nos grands travaux publics coûtent plus de deux fois le coût réel. Tout le problème est là. (1) Dire que certains au Québec sont outrées que l’asphalte nous coûte 25% plus cher qu’en Ontario, mais reste muet sur cette réalité si bien expliquer par M. Edison et M. Ford.
Pour le commun des mortels on retrouve le même principe d’écrit ci-haut avec les prêts hypothécaires, je n’invente rien prenez votre relevé de prêt et consultez-le, intérêt vs. Capital. Quel est le rapport à terme ? Pour ceux et celles qui sont en location, c’est encore pire. Car s’il désire emprunter pour quelques raisons que ce soit de manière raisonnable, ils n’ont aucune valeur marchande. Même si la plupart d’entre eux payent bien leur loyer. Donc leur argent s’envole complètement en fumée et n’a aucune valeur dans l’économie fictive, mais le logement est un besoin essentiel et l’argent qu’ils se sont procuré ne pousse pas dans les arbres.
Quand il y parvienne, paye des taux d’intérêt élevé, car ils sont à risque. Et le plus beau pour les banques, ce sont elles qui décident des taux d’intérêt appliqué, en usant de leur influence sur la banque du Canada, elles ont le monopole. Aujourd’hui les taux d’intérêt sont bas, car l’économie est fragile. Mais certains se rappellent d’une époque où l’on était riche et payait jusqu’à 20% d’intérêts sur notre hypothèque. L’économie de marché accomplie bien son rôle naturel, de maintenir les gens dans l’ignorance. En nos offrants une multitude de produits, qui ne cessent de progresser. Mêlant la plupart des gens, et même si l’on consulte un représentant de services financiers, il est aussi mêlé que nous à travers tout ce dédale. Mais de nos jours qui sans soucis, c’est la manière de faire et voilà tout ! Sauf en quelques rares occasions entre deux bières, lors d’un élan de sagesse, qu’on a tôt fait d’oublier en callant une autre bière. S’enivrant de notre propre résignation.
Poursuivons la réflexion de M. Thomas Edison : «Si notre nation peut émettre une obligation d’une valeur d’un dollar, elle peut émettre un billet d’un dollar. L’élément qui fait que l’obligation est bonne est le même qui fait que le dollar est bon. La différence entre l’obligation et le dollar est que l’obligation permet aux prêteurs d’argent de ramasser 2 fois le montant de l’obligation plus un 20 pour cent additionnel, alors que l’argent mis en circulation ne paye que ceux qui ont directement contribué à la construction du barrage de quelque manière utile…
«Il est absurde de dire que notre pays peut émettre 30 millions $ en obligations, et pas 30 millions $ en monnaie. Les deux sont des promesses de payer, mais l’un engraisse les usuriers, et l’autre aiderait le peuple. Si l’argent émis par le gouvernement n’était pas bon, alors, les obligations ne seraient pas bonnes non plus. C’est une situation terrible lorsque le gouvernement, pour augmenter la richesse nationale, doit s’endetter et se soumettre à payer des intérêts ruineux à des hommes qui contrôlent la valeur fictive de l’or.»(1)
Simple logique n’est-ce pas ! Si nous utiliserions le modèle proposé par M. EDISON et M. FORD, cela n’aurait pas empêché le développement de notre société. Et cela permettrait au gouvernement d’avoir en quelque sorte, les deux mains sur le volant pour mettre en application les stratégies nécessaires pour la continuité de notre développement, autre que par la simple exploitation de nos ressources. Qui s’avère en fait la seule alternative pour l’augmentation du PIB. Un autre personnage important de la vie politique américaine, désirait mettre un terme à cette pratique. Il s’agit de JFK, en 1963 signât l’ordre Présidentiel 1110. Qui fût proposé au sénat américain à l’époque et depuis les évènements tragiques que nous connaissons tous, accumule la poussière aux archives du sénat. Voici un extrait du livre le Grand procès des Banques. (2)
Il s’agit d’un cartel de Banquiers internationaux qui ont choisi de monopoliser par la force et la corruption, deux business qui devraient toujours en quelques circonstances rester des prérogatives des états ; L’émission des monnaies nationales, le financement des dettes publiques, et d’un troisième qui n’aurait jamais du exister : le business de la guerre.
Leur but dans un premier temps était d’amasser d’immenses fortunes, mais depuis qu’ils n’arrivent plus à compter leurs richesses, il s’est transformé en la nécessité de ruiner tout le monde, nations, entreprises et individus, pour pouvoir imposer leur gouvernement mondial ! L’exemple que j’ai décrit avec l’hypothèque et le logement entre dans la deuxième phase. Poursuivons :
J’avais perçu depuis avant l’élection Présidentielle, le risque que représentait ce Cartel des Banques, et je m’étais fixé pour objectif, de contrer leurs ambitions et de libérer les Etats-Unis du terrible fléau qu’il représentait.
Dès 1963, en signant l’ordre Présidentiel 1110, j’avais donné le pouvoir au gouvernement américain, de frapper sa propre monnaie. Je lui avais aussi donné le pouvoir de financer la dette publique en créant l’étalon argent, sous forme de souscription nationale. (2)
La menace d’un écroulement des structures économiques est bien fondée, même Madame Lagarde, un exemple d’intégrité. À qui je ne vouais pas de talent d’actrice, présidente des FMI (fins manipulateurs internationaux) oups pardonnez ce lapsus FMI (fonds monétaire international). Nous dit la larme à l’œil, que rien ne va plus (Risque d’orage) (3). Certains accusant les méchants barons de la drogue, d’être à l’origine de cette déconfiture économique. En gonflant les chiffres avec leurs argents sales. Peu être, mais je pense qu’on a déjà lu suffisamment sur le sujet, pour prétendre que les maîtres d’œuvre de cet organigramme, sont présents à la même table.
En 2008, le gouvernement américain et canadien a renfloué les banques. Depuis ce temps nous assistons presque quotidiennement, au dévoilement de scandale financier. HSBC et le blanchiment de l’argent de la drogue, manipulation du LIBOR, manipulation du prix du pétrole. (4) Est-ce seulement parce que certaines personnes ont découvert en eux, une certaine prise de conscience ? Ce qui les pousserait à parler un peu plus. Je suis sceptique, ça ressemble plus à une stratégie de manipulation de masse bien orchestrée. La deuxième étape des banksters atteints, on passe à la troisième, décrit dans le texte de JFK, le nouvel ordre mondial. Ce qui laisse présager une restructuration complète du système monétaire internationale dans un court laps de temps, soyez vigilants voulez- vous ? N’acceptez rien de moins que la domination complète et totale de l’économie réelle, en rayant de la carte la fictive, notre bien-être à tous en dépend. Et ne vous laissez pas distraire par la menace d’une Troisième guerre mondiale qui m’apparaît plus comme un leurre, qu’une certitude. Face à la menace d’un réveil de la population, qui revendique de plus en plus, un retour du facteur principal de toute société digne de ce nom l’humain. Ce phénomène est présent dans le cœur des peuples du monde entier.
Depuis l’abolition la loi Glass-Steagall de Franklin Roosevelt, nous avons traversé quoi, sept ou huit crises financières. Vous avez perdu combien dans cette économie fictive ? Quel est votre vrai pouvoir d’influence sur votre investissement dans cette économie fictive ? Ce n’est rien ! En comparaison des milliers de travailleurs qui eux ont perdus, leurs besoins essentiels qu’ils se procuraient par le biais de leur travail. Et pour la plupart d’entre eux leur seul crime, vouloir subvenir à leurs besoins de manière honnête et cela demeure le seul moyen de survivre. Belle philosophie non ! À croire que l’on devrait tous commencer à faire des magouilles nous aussi, car on nous fait souffrir parce que nous sommes honnêtes. Lorsqu’une société en est rendue à valoriser les bas instincts négatifs, plus que les positifs. Je pense qu’il y a péril en la demeure et qu’un retour du balancier s’impose de par lui-même.
Je ne suis pas juriste, mais je sais que lorsqu’on peu faire la preuve des intentions malhonnêtes des accusées, on les déclare coupables ! Je n’ai cité que trois personnes dans mon texte, mais je pourrais en ajouter plusieurs autres. Qui élaborent tous des preuves de la magouille centenaire des investisseurs, mais le tribunal du peuple ne les poursuivra pas en justice. Pour la simple et bonne raison, qu’une majorité d’individus, vivent principalement de cette économie fictive. La crainte de perdre tous leurs acquis et l’honneur bafoué en reconnaissant la superficialité de ce dont il croit, l’emportera sur leur soif de justice. En vivant dans cette économie fictive, ils ont perdu toute conscience d’une réalité de toujours entre l’humain et la terre. Que nos ancêtres possédaient, lorsqu’ils étaient en contact avec elle pour survivre, la complicité nécessaire entre eux, basé sur le respect. Je terminerai volontiers ce texte avec quelques, conscients je suis mais je préfère aller boire une petite bière. Conscient, je suis que si la très grande majorité des citoyens ne désirent pas abolir l’économie fictive, nous assisterons à l’avènement du nouvel ordre mondial sans y participé. Et qu’ils ne mettront jamais en doute la légitimité de cette dette. Bonne Journée !
J’oubliais ! Quel rapport y a-t-il entre la Grèce et l’athéisme ? Le simple fait de prétendre que l’on ne croit en rien, oblige par le fait même une croyance. C’est juste que les différentsconcepts proposés par les religions traditionnelles ne nous conviennent plus. Donc nous adhérons à un autre concept et l’économie fictive en est une partie importante. Les GRECS ont toujours eu une approche particulière face au NÉO-LIBÉRALISME, est-ce simplement due aux dieux de l’Olympe, qui leur soufflait aux oreilles de se méfier de cette nouvelle doctrine qui se dessine à l’horizon, ayant au sommet de cette vénération la richesse individuelle ? Et même la plupart d’entre-nous, qui dénonçons toutes les aberrations que l’on vit quotidiennement, n’en avons pas pris conscience. L’humanité est passée du polythéisme vers le monothéisme au cours de son histoire, et maintenant nous passons graduellement du monothéisme vers autre chose et l’argent est au cœur de cet autre chose. Ce qui explique en partie l’absence d’implication réelle de la grande majorité de la population des pays occidentaux, qui vénère tant leur petit acquis de l’économie fictive ! Et tant que cette prise de conscience ne sera pas acquise, et que l’on n’identifiera pas cet autre chose. Le peuple ne réalisera pas l’urgence d’agir, car cela demande un examen de conscience en profondeur de nos croyances et pourrait mettre en péril notre compte de banque si durement acquis ! Bonne Journée !
(1) Sous le Signe de l’Abondance, de Louis Even
(2) Le Grand Procès des banques (2011) Ben Peri
(3) Risque d’orage http://www.vigile.net/Risque-d’orage
(4) Et si le prix de l’essence, comme le Libor, avait été manipulé par les banques ? | Atlantico
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5 commentaires
Archives de Vigile Répondre
30 juillet 2012@Francis Déry
Le gars qui a de l’argent, parce qu’il l’imprime lui-même, décide arbitrairement, unilatéralement, d’imposer aux gouvernements un intérêt sur l’argent qu’il leurs prête, l’intérêt réalisée avec le temps qui passe, le temps qui cour, un postulat que l’oligarchie à imposer sans demander l’avis du peuple, un postulat purement arbitraire, je pourrais dire que ce gars est en conflit d’intérêt, il possède l’argent, il l’imprime, en plus il décide de la valeur qu’elle aura, alors, ceux-ci (le 1%) ne créent rien de concret matériellement, c’est en cela qu’on parle de prédation, on crée de l’argent à partir de rien. Dans ce système, le gars qui a de l’argent, fait de l’argent sans rien faire, mais celui qui n’en a pas, son avoir ne croît pas. Le riche, avec le temps, deviendra de plus en plus riche, son avoir explosera, et le pauvre, par rapport au riche, deviendra de plus en plus pauvre, son avoir tendra vers le zéro. Le riche, avec le temps qui passe, laissera courir son argent, s’assoira sur son derrière, son argent sera dormante, et produira de l’argent virtuel, elle ne contribuera pas à générer concrètement, économiquement, dans une économie réelle, des biens et des services, et si elle le fait, comme c’est le cas sur cette terre, alors, c’est un vol, de l’argent noire, de la prédation, qui fut créé à partir de rien, à partir du vent, à partir d’un postulat arbitraire imposé au peuple. Avec le temps qui cour, le 1% possèdera tout sur cette planète, il possèdera même le 99%. Cette logique économique qui est la nôtre pour l’instant va dans le sens du riche oligarque. Il faut, inverser le processus, changer la logique, l’équilibrer ensuite, le stabiliser. Dans ce système-là, on doit d’abord cesser d’appliquer un intérêt à l’argent qui cour, avec le temps qui passe, en plus, l’argent dormante du riche qui ne circule pas dans cette économie doit être imposée. De cette façon, il y aura une pression, pour remettre l’argent en circulation, pour deux raisons, on ne pourra plus l’accumuler en vue de retirer des intérêts, en plus, si on le fait, elle sera imposée. À ce moment-là, l’argent servira réellement les peuples, le riche comme le pauvre, avec le temps, il n’y aura plus de riche, ni de pauvre, tout le monde en aura suffisamment pour bien vivre.
Archives de Vigile Répondre
29 juillet 2012La perte de valeur de la monnaie avec le temps se nomme l'inflation. Elle peut être nécessaire parce que les échanges de biens ou services ne sont pas égaux. Il y a donc un endettement créé dans une certaine partie, et une créance dans l'autre partie. Un trouble du modèle économique si le déséquilibre reste croissant. D'où la nécessité d'accroître la masse monétaire, c'est à dire l'inflation. On pourrait assimiler le concept de l'inflation à celui de l'entropie en mécanique statistique.
Le temps a une valeur. C'est l'intervalle qui permet d'effectuer des activités ou travail. L'Homo Economicus se doit d'optimiser son emploi du temps pour produire plus de valeurs ou valoriser sa société/son environnement.
Archives de Vigile Répondre
27 juillet 2012À Peter et Francis Déry...
Deux excellentes réflexions. Continuez!
Archives de Vigile Répondre
26 juillet 2012Ford fut un grand homme. On opposera à ses remarques qu'il fut admiré par Adolf Hitler qui conservait son portrait.
Aussi Ford a dit des protocoles des Sages de Sion que si l'authenticité restait douteuse, ils expliqueraient beaucoup de mystères dans l'Histoire récente.
Pour l'adoration de la Monnaie, ce n'est pas nouveau. Dans la cour du Temple, Jésus a chassé les changeurs. Il était prescrit que les offrandes à YHWH devaient se faire en monnaie d'argent ou d'or, et que les sacrifices par holocauste devait être des animaux purs, sans taches, sans maladies et sans difformités. Le Temple les fournissaient via une activité marchande.
Puisque les monnaies du temps étaient marquées à l'effigie d'un dieu tutélaire qui assurait la protection de la valeur de la pièce via des malédictions aux contrevenants, ou via celle de l'Empereur de Rome dont la fonction est divinisée par le Sénat (les pièces étaient produites dans le temple de la déesse Moneta), elles ne pouvaient être offertes à YHWH, un dieu jaloux qui ne tolère le rappel des autres dieux. Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Et à Dieu ce qui appartient à Dieu. Le temple utilisait sa propre monnaie en or et en argent. Il y avait donc une activité de change devant le Temple, ce qui relève de l'activité bancaire.
Ne soyez pas sceptique devant une troisième guerre mondiale.
Les financiers ont provoqué la deuxième parce que le régime d'Hitler avait utilisé un subterfuge pour relever l'Allemagne sans provoquer d'hyperinflation et en se passant des banques. L'URSS avait continuer à rembourser les banques étrangères quitte à affamer le peuple.
Aujourd'hui, l'Iran est la cible parce qu'il rejette le pouvoir de ces banques en refusant l'usure monétaire et une banque centrale qu'ils contrôleraient. L'Iran refuse aussi de gober les mensonges de la Seconde Guerre Mondiale.
La Grèce fut poussée à l'endettement par Goldman-Sachs.
Nul doute qu'il y a de la valeur à acquérir pour que les banquiers agissent ainsi. Dans le cas de la Grèce, on pensera aux gisements potentiels de pétrole et de gaz en mer Égée. L'équivalent de l'île Anticosti.
Pour contrer la stratégie des banques, il faut développer l'autarcie personnelle (qui passera par la décroissance volontaire), et développer les échanges par troc. Ce qui pourrait amener la création d'une "monnaie" pour un réseau de troc spécifique. La monnaie étant un étalon de valeur qui sert de métrique. Le problème surgit lorsque des échanges entre clubs de troc deviennent désirables. Autrement, un individu voudrait faire partie de plusieurs réseaux de troc et il deviendrait polymonétisé.
Archives de Vigile Répondre
26 juillet 2012/…Incapable de mettre en doute la légitimité de la fameuse dette. Les GRECS n’enlèveront rien dans leur assiette, mais les financiers ça c’est autre chose…/
/…Et lorsqu’un politique tente de se tenir debout devant cette oligarchie, il se fait indiquer la porte de sortie et ils le remplacent par un pion au service des financiers (Italie)…/ (ou bien il se fait zigouiller par les oligarques et leurs sbires, agences secrètes ou hommes de main…)
Le principe même d'économie a été faussé voilà bien longtemps, faussé par deux évènements majeurs. On a attribué une valeur à l'argent, une valeur au temps par rapport à l'argent. Tout système d'échange, tout système de progression de l'être humain, ou tout système vivant par ailleurs, qui fait intervenir la notion de temps, par rapport à l'argent, est une hérésie, est une erreur. Bien évidemment, ce système a été bâti par des forces dites oligarchiques qui cherchaient, et qui cherchent encore, à assujettir toute la vie à leur volonté et à leur vision. Nombre de personnes aujourd'hui se rendent compte que cette économie-là est faussée.
Bien évidemment, il ne sert à rien de vouloir trouver des nouveaux modes de fonctionnements et des modèles économiques, quels qu'ils soient, tant que ces deux paramètres de valeur de l'argent et de temps de l'argent ne sont pas supprimés totalement de notre mode de fonctionnement.
Les flux générés à l'heure actuelle sont des flux sans supports, ces flux se dirigent dans un seul sens, qui est l'appropriation de toute la planète.
Et personne, aucun être humain, n'est de taille pour lutter contre cette aspiration des forces adverses. Nous aurions beau, et vous auriez beau présenter la finalité d'un tel système qui est le néant, l'anéantissement, vous auriez beau montrer, démontrer la réalité de cette fin que cela n'y changerait rien pour ceux qui ne veulent pas voir plus loin que leurs objectifs égoïstes.
Pour l’instant contentons-nous de prendre conscience de la futilité du temps, et de la valeur attribuée à l'argent.
Le temps de l'argent est une façon de parler qui attribue au temps une valeur, mais je veux dire par là, de la notion d'usure, de la notion d'intérêt, de la notion de temps qui court, de temps qui accumule, la notion de temps qui fait échouer et s’écrouler des pays entiers.
L'argent n'a pas de temps, l'argent n'a pas de valeur. Il y a sûrement des lois, au sens mathématique du terme, des modèles à mettre en œuvre pour corriger cet abus ! Un jour, bientôt, demain, ça presse, certains êtres humains formuleront intelligemment ces lois pour notre monde en crise. C'est la seule façon conforme, logique et aimante, de corriger les déséquilibres du temps de l'argent et de la valeur de l'argent, de les remplacer par les notions de justice et de justesse par rapport à la valeur, par rapport au temps. En aucun cas, le temps ne peut avoir de valeur par rapport à l'argent, bien au contraire. Le temps ne devrait pas renchérir l'argent mais amenuiser l'argent.
Dans ces circonstances là, tout argent qui serait immobile, ne verrait pas sa valeur augmenter mais sa valeur diminuer. Il n'y aurait donc plus d'intérêts apportés, il y aurait donc des intérêts défalqués et il y a une loi à trouver là.
Il suffit, en quelques sorte, de remplacer un plus par un moins et un moins par un plus. À partir du moment où certaines consciences verront le non-sens de leur système économique, il leur sera très facile de le comprendre et de le mettre en équation…
Attribuer une valeur et du temps à l'argent est contraire au temps qui passe et à la valeur du temps. On ne peut pas s'enrichir avec le temps qui passe. On ne peut s'enrichir qu'avec le temps qui est passé.