L'aveuglement des féministes québécoises

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Les féministes gagneraient à être plus sélectives dans le choix de leurs portes-parole





 


 


Vous avez vu la nouvelle ? En Arabie saoudite, une femme a été arrêtée parce qu’elle s’était photographiée sans voile.


En Iran, des femmes se font jeter de l'acide au visage si elles ne portent pas comme il faut le voile, obligatoire selon la loi nationale.


Ajout: En France, les femmes se font refuser l'accès dans des cafés musulmans.


 


Et pendant ce temps-là, que font nos féministes locales ?


 


Elles continuent à défendre bec et ongle le port du voile, du tchador, ou du niqab.


 


Le 27 novembre dernier, Manon Massé était à Tout le monde en parle. Voici ce qu’elle avait à dire à propos du débat sur la laïcité et les discussions autour du port du tchador.


 


« Mais on est tanné que ce débat là se fasse sur le dos des femmes et de ce qu’elles portent. On est tanné de ça. Comme parti féministe, vous nous comprendrez là. Comment se fait-il que chaque fois qu’on rentre dans ces débats-là on fait référence aux vêtements portés par les femmes musulmanes ? Non pas que à Québec solidaire on ne reconnaît pas qu’il n’y a pas des peurs légitimes au Québec qu’il n’y a pas de la radicalisation qu’il faut prendre soin (sic), mais l’exclusion crée des terreaux de radicalisation. « 


 


 


Alors que c’est le contraire. C’est le port des vêtements conservateurs qui est un signe d’exclusion des femmes !


 


Elle dénonce des hommes qui s’opposent à un symbole d’oppression de la femme plutôt que de denoncer le système même qui force les femmes à se voiler !


 


Elle dénonce les hommes québécois qui s’opposent au voile plutôt que de denoncer les imams et les ayatollahs qui envoient aux femmes le message que si elles ne sont pas voilées elles sont des putes.


 




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