Justin Trudeau: la honte

Notre premier ministre se fout de l’attentat islamiste à Berlin...

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Pee-Wee Trudeau : «Il est bien beau, bien divertissant, bien compatissant. Mais Dieu qu’il est vide...»






Il aura fallu attendre 72 heures pour que le premier ministre du Canada daigne commenter du bout des lèvres l’attentat terroriste islamique à Berlin.




Trois jours.




Et quand je dis «commenter», je suis généreux, j’enjolive la réalité.




Ce que Justin Kumbaya Trudeau a dit est le minimum syndical.




«Ajd j’ai offert nos condoléances à la chancelière Merkel­­ pour l’attentat terroriste de Berlin. Le Canada est solidaire de l’Allemagne», a-t-il écrit sur Twitter.




Sur Twitter, calvaire!




Même pas un discours officiel! Ou un communiqué!




Juste 140 caractères, pour un attentat majeur qui visait l’une des plus grandes capitales au monde!




Il a même dû écrire «Ajd» au lieu d’«Aujourd’hui», tellement il manquait d’espace!




MON AMI FIDEL




Par contre, lorsque Fidel Castro («Mon ami Fidel», comme le chantait Robert Charlebois) a passé l’arme à gauche, notre Justin national a réagi tout de suite, et longuement, en plus.




On parle ici d’un dictateur qui a foutu des homosexuels, des journalistes et ses adversaires politiques en prison...




Un tyran crève la bouche ouverte? Justin Kumbaya Trudeau réagit dans la minute et multiplie les louanges sur le disparu.




Un terroriste islamiste profite des célébrations de Noël pour écraser des innocents sous un camion?




Justin Kumbaya Trudeau attend trois jours pour envoyer un tweet.




Et il n’a même pas le courage de nommer le mot «islamiste».




Comme si cet attentat avait été commandité et exécuté par des bouddhistes, des raëliens ou des pentecôtistes!




Allo?




«La Terre appelle Justin Trudeau! Où êtes-vous, Justin Trudeau?»




LA CULTURE DU VIOL




Remarquez, ce n’est pas la première fois que la gogauche ferme les yeux sur des exactions commises par leurs «amis idéologiques».




Pensez aux féministes qui ont dénoncé­­ la «culture du viol qui règne au Québec».




Quand des migrants ont agressé sexuellement des centaines de femmes à Cologne l’année dernière, ces mêmes féministes n’ont rien dit – nada, niet, pas un mot.




Dénoncer la «culture du viol» des mâles québécois, pas de problème, on fonce, on y va, on ne ménage pas nos mots!




Mais dénoncer la culture du viol des réfugiés en Allemagne?




Voyons, vous n’y pensez pas? C’est du racisme! De la xénophobie! De l’islamophobie­­!




Même chose pour notre valeureux premier ministre qui se dit «féministe» («Parce qu’on est en 2015»), mais qui appuie la ségrégation sexuelle pratiquée dans les mosquées en saluant «les sisters» assignées au poulailler, en haut.




Quelle hypocrisie.




Quelle mascarade.




LE CORBEAU ET LE RENARD




Le Canada ressemble à un p’tit gros sans grâce qui se retrouve fiancé à un top model.




Au début, il est subjugué, hypnotisé. Il n’en revient pas qu’une personne aussi belle couche avec lui.




Mais après un certain temps, la magie n’opère plus. Comme le renard de la célèbre fable, le p’tit gros s’attend à ce que le ramage du corbeau soit à la hauteur de son plumage...




C’est ce qui est en train d’arriver avec Justin.




Il est bien beau, bien divertissant, bien compatissant.




Mais Dieu qu’il est vide...




 



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