Dernière chance pour la France, disent-ils ? Non… pour eux !

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France d'abord !

Le constat de la situation est trop évident. Il est inutile de perdre du temps à le commenter. Les brûlots qui menacent la nation crèvent les yeux des aveugles qui ne veulent pas voir : le terrorisme islamique, le chômage, l’immigration continue, le gâchis financier. Face à la situation catastrophique de notre pays (six millions de chômeurs, six millions de pauvres précaires, dix millions d’étrangers en voie d’intégration), la comédie du camouflage par la diversion n’a plus d’effet anesthésique (la réforme régionale, la COP21, les mesures placebo pour l’emploi, l’imbroglio juridico-politique de la révision constitutionnelle). Or, ce qui importe désormais, c’est l’avenir ou la survie de la France qui, après s’être longtemps courbée, peut disparaître dans le magma mondialiste.


Notre pays ne peut plus donner le spectacle du « ver qui se tortille à la recherche de sa tête » (Albert Camus). Un programme gouvernemental s’impose par la force des choses : redresser l’État, son autorité, son impartialité implique de déchirer le voile des faux-semblants, de dire enfin la vérité sous la forme d’un audit économique et financier établi par la Cour des comptes, d’attaquer les causes de nos maladies et non les effets, de changer les comportements arrogants des dirigeants, des médias, des candidats récidivistes, de remettre les partis politiques à leur place, c’est-à-dire en deuxième ligne pour laisser libre le choix du peuple, arrêter le flux des immigrés et réformer le droit du sol. Mais on ne peut plus rien attendre de la campagne qui se prépare comme une foire d’empoigne, animée par les discours de « com’ », par les primaires des primates, et par les mêmes figurants d’un théâtre d’ombres.


Quelques mesures emblématiques pourraient transformer l’état de l’opinion : supprimer le retour du ministre sur son siège de député, imposer l’inéligibilité de tout élu condamné, charger les magistrats de la Cour des comptes de délivrer périodiquement les informations marquées d’un label officiel (concernant la démographie, l’immigration, le chômage, la délinquance, les déficits), imposer une cure d’ascétisme aux pouvoirs publics en réduisant drastiquement le coût de fonctionnement de l’État, en commençant par la suppression d’une partie des ministères, du Conseil économique, environnemental et social, des organismes publics faisant double emploi, etc., reconstituer l’administration de l’État et des collectivités locales, selon l’exigence du mérite, du « talent et de la vertu » (déclaration de 1790).


Aujourd’hui, nos concitoyens, abasourdis et enfumés, se demandent comment sortir de l’impasse, en étant persuadés qu’ils n’ont qu’un seul choix : soit laisser tourner en rond le carrousel des politiciens, soit se réfugier dans l’abstention. Or, même si l’issue est étroite, il va falloir l’exploiter. Le rassemblement des patriotes, amoureux de la France, peut favoriser la constitution d’un nouveau bloc de gouvernement pour compléter les 30 % qui ont choisi non pas un parti politique mais le rejet des professionnels impénitents.


Des personnalités proches de Debout la France (Dupont-Aignan), de Faire France (Chevènement) et d’autres ayant rompu la chaîne du parti, plutôt que de jouer à part leur petite musique, devraient contribuer à faire évoluer et réformer la formation nationale qui sert seulement jusqu’à présent à fixer la colère des Français et la haine des médias paniqués.


Il faut inventer une alternance sans précédent pour mettre en place l’équipe hors partis d’une Union nationale mettant en œuvre le seul programme « France d’abord », pendant la durée nécessaire au salut public.



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