Jacques Sapir: "On sait qu'Hillary Clinton est bien la représentante du Big business. On sait que Wall street et Hollywood soutiennent Hillary Clinton."
Jacques Sapir: "Bien sûr, Donald Trump peut utiliser sa fortune personnelle, mais on voit bien aujourd'hui qu'il se situe largement un cran en-dessous de ce que peut récolter Hillary Clinton."
Denys Pluvinage: "La loi américaine est très claire: les étrangers n'ont pas le droit de financer directement des partis ou des candidats à une élection. […] En revanche, il existe de nombreux circuits parallèles qui permettent de financer un candidat de façon totalement anonyme."
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