M. Camille Laurin, comme ministre d'État au Développement culturel dans le premier gouvernement du Parti québécois élu en 1976, il a guidé l'adoption de la loi 101, qui établit le français comme seule langue officielle de l'État québécois.
M. Jacques Parizeau, comme ministre des Finances du Québec, il a été l'architecte de la politique économique du gouvernement de René Lévesque. Il a présidé à l'émergence d'un capitalisme québécois francophone qu'il a appuyé en instaurant notamment le Régime d'épargne-actions et en permettant la création du Fonds de solidarité de la FTQ. Sous un précédent gouvernement, il a été l'un des principaux acteurs de la création de la Société générale de financement (SGF) en 1962 et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) en 1965.
Bref, le Québec francophone qui se sent mieux à cause d’eux, et un Québec plus heureux et un Québec heureux a moins le goût de se sortir de sa situation…logique, me semble, mais ça va à l’encontre de l’idée de M. Gilles Duceppe qui croit que l’amélioration de la place du Québec dans le Canada ne réduit en rien son goût pour la souveraineté par sa phrase préférée : LA POLITIQUE DU PIRE EST LA PIRE DES POLITIQUES. Qui a raison ?
On attendant avec impatience le nouveau livre de M. Parizeau, notre De Gaulle québécois : La souveraineté, : hier aujourd’hui et demain qui sera lancé la semaine prochaine.
Jacques Parizeau et Camille Laurin
Architectes du Québec francophone
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