2016 (1/2): de Cologne à Berlin

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Autrefois, quand on parlait de Cologne, c'est d'eau de Cologne qu'il s'agissait





L’année 2016 a commencé à Cologne, avec les agressions sexuelles massives contre les femmes.


On s’en souvient, dans la nuit du Nouvel an, on a répertorié plusieurs centaines d’agresseurs, qui étaient pour la plupart des «réfugiés» et des immigrants clandestins.


En fait, ils se sont comportés comme une force de conquête s’emparant des femmes pour faire comprendre qu’ils étaient les nouveaux maîtres.


L’événement a bouleversé à bon droit le commun des mortels en Occident. L’immigration massive ne représente donc pas qu’un grand flux de bonheur?


Islamisme


Certes, on le savait depuis très longtemps. Mais cette fois, il est devenu à peu près impossible de le cacher.


L’année 2016 s’est aussi terminée en Allemagne, mais cette fois, à Berlin, avec le terrible attentat au camion-bélier contre un marché de Noël.


Celui-là est tout frais à notre mémoire.


Des Berlinois se préparaient à fêter Noël. On devine la musique, on devine la joie, on imagine les parents, on imagine les enfants.


Un islamiste en camion les a écrasés.


L’attentat a été revendiqué par l’État islamique, encore une fois.


D’Orlando à Bruxelles, de Nice à Berlin à Saint-Étienne-du-Rouvray, l’islam radical s’est invité en Occident et a frappé des lieux symboliques.


Une boîte gay, un aéroport, un rassemblement lors d’une fête nationale, un marché de Noël et une église. En fait, aujourd’hui, n’importe qui est visé. Du badaud au président, chacun porte une cible sur le front et peut mourir en entendant Allahu Akbar!


On nous dira peut-être que 2016 avait commencé en novembre 2015, avec les attentats du Bataclan, ou en janvier 2015, avec les attentats contre Charlie Hebdo, et ce serait rigoureusement exact.


Il n’en demeure pas moins que cette année, nous nous sommes presque habitués à ces carnages.


Qu’est-ce qu’une semaine sans attentat? Une anomalie. Du moins, dans l’esprit public.


Et après cela, on en veut au commun des mortels de se méfier de l’islam radical et de l’immigration massive.


On lui en veut de demander une meilleure protection des frontières et de reprocher à ses élites à la Angela Merkel une forme de négligence criminelle.


On connaît les slogans creux des belles âmes. «La diversité est une richesse»! «Célébrons nos différences»! «L’islam est une religion de paix»!


Ces slogans, aujourd’hui, exaspèrent comme jamais la population qui a l’impression de vivre sous une étouffante propagande.


De Cologne à Berlin, c’est un même phénomène global qui se déploie: une agression multiforme contre le monde occidental.


Déni


On accuse ceux qui mettent en garde contre cette guerre ne disant pas toujours son nom de verser dans la paranoïa. Ou encore, d’alimenter le populisme.


En gros, on culpabilise l’Occidental moyen de se sentir agressé, et on l’accuse de toutes les phobies possibles. On connaît les deux principales: la xénophobie et l’islamophobie.


Souvent, nos élites tentent de dissimuler les événements, pour ne pas «stigmatiser les minorités». Quand le peuple découvre qu’on le méprise aussi ouvertement, il se tourne vers de nouveaux leaders.


J’en parlerai dans ma chronique de demain.




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