Référendum d'initiative populaire

Quels sont les États qui pratiquent cette option et qui sont paralysés par elle?

Paralyser l'État



Cette idée est fondée sur une prémisse fausse. On soutient que dans notre système parlementaire, un gouvernement majoritaire peut agir à sa guise, que le premier ministre a tous les pouvoirs et peut faire fi non seulement des critiques de l'opposition, mais de la volonté populaire. Or, l'histoire et l'actualité démontrent le contraire. (...) Grâce à ces référendums, les Québécois pourraient imposer à leur État toutes sortes de mesures populaires, mais néfastes. Pourquoi pas le gel permanent des tarifs d'électricité? La diminution des allocations d'aide sociale?

Référendum d'initiative populaire

De l'importance de définir les modalités



Au Québec, la question nationale est au coeur du débat entourant le RIP. Il semble irréfléchi de croire que ce mécanisme puisse servir à l'accès à l'indépendance du Québec. Effectivement, l'indépendance va au-delà d'un référendum gagnant: elle consiste également en l'ensemble des actions adoptées par un gouvernement posant les jalons d'une reconnaissance internationale et d'une négociation avec le Canada.

Référendum d'initiative populaire

Le compromis



Depuis dix ans, l'idée circulait dans les cercles péquistes. En 2002, le ministre à la Réforme des institutions démocratiques, Jean-Pierre Charbonneau, l'avait mise en avant, mais son projet avait fait long feu. Ce week-end, le conseil national du Parti québécois lui a redonné vie, inscrivant le référendum d'initiative populaire à son programme. La chose n'est pas encore acquise. Il faudrait que le PQ prenne le po...

La sagesse populaire



Hier, libéraux et caquistes se sont simplement demandé sur quelle planète vivait le PQ. Si cela ne suffit pas, ils se feront un plaisir d'évoquer l'exemple californien et d'imaginer les scénarios les plus cauchemardesques. Mieux vaudrait mettre les choses au clair.