Lettre ouverte à Patrick Bourgeois
23 février 2009
Félicitations à vous Madame Hébert,
Votre intervention première a permis de déclencher un dialogue qui n'existe pas avec le Parti Québécois. Donc, c'est entre les partisans du Pays du Québec qu'il nous faut se parler et trouver une direction qui pourra faire le plus grand concensus possible pour l'assumer soi-même le Pays et le faire accepter par les autres.
Un point sur lequel tout le monde ne veut pas se l'avouer mais qui est essentiel de bien saisir. Cela a rapport avec notre Assemblée nationale du Québec. Je mets en évidence ce qui devrait pratiquement nous assommer tous. On ne veut pas en parler parce que c'est trop gros !
Je le dis à vous Madame, mais je le dis à tous ceux qui veulent bien lire les propos tenus dans cette séquence.
Même des lois votées à l'unanimité de l'Assemblée nationale auraient-elles gagnées cette bataille ?
Des paroles ! Des paroles ! Et encore des PAROLES !
Qu'elles sont les conséquences que vous avez offertes suite aux votes à l'unanimité de l'Assemblée nationale depuis que vous en faites des votes à l'unanimité ?
AUCUNE. RIEN. NIET.
N'est-ce pas que l'on est rendu plus loin. N'est-ce pas l'intention des propos que l'on tient ici, d'aller plus loin ?
Si l'Assemblée nationale des 125 éluEs ne réussi pas à faire changer les questions qui nous intéressent, qui donc pourra le faire ?
L'ADQ, le PQ, le PI, le PV, Québec solidaire mis ensemble avec le PLQ... ça ne réussi pas !
N'y a-t-il pas un défaut en quelque part ?
Nous tous qui travaillons, à notre échelle, pour le PAYS DU QUÉBEC, travaillons-nous dans le vide absolu ?
L'Assemblée nationale des 125 éluEs n'obtient pas les changements aux petites lois et on voudrait faire passer une LOI déclarant l'Indépendance ?
Faites-moi signe si vous avez une solution.
La seule solution, c'est le RÉFÉRENDUM a bonne majorité idéalement. Au moins, un référendum gagnant.
Est-on sur le bon chemin pour y arriver ?
Robert Bertrand, rédacteur,
Québec un Pays