L'acteur Will Smith aurait-il giflé l'humoriste Mike Ward?
2 avril 2022
Lorsque que je parle de la confusion des idéologies qui s'entrechoquent et qui paralysent le jugement, on a eu à la cérémonie des Oscars un exemple parfait: après l'agression impulsive de l'acteur Will Smith qui a carrément perdu le contrôle de lui-même.
Personne dans la salle n'a osé réagir. Tous se demandaient si son geste violent devait être considéré comme acceptable, un cas d'honneur à défendre, selon les nouveaux critères woke et Blacklivesmatter en vigueur.
Aucun invité ne semble être sorti par protestation contre le geste malheureux. À peine quelques-uns ont osé crier chou à l'arrière. Ceux qui étaient assis autour de Will Smith sont restés sagement à leur place. Tous les récipiendaires qui sont montés sur la scène par la suite ont passé l'esclandre sous silence, comme si rien ne s'était passé. On aurait dû rappeler qu'on n'était pas dans une arène de boxe.
Même le service de sécurité sur place n'a pas osé agir, ni même tenté de l'expulser sous bonne garde.
Comme on le voit, la force de ces idéologies mortifères paralyse notre capacité de jugement, et nous empêche de réagir normalement, d'évaluer la situation selon nos critères habituels, et en bout de ligne de faire preuve de tout sens critique, ce qui s'avère être le but visé.
Le petit jeu de la victimisation cautionne des actes répréhensibles qui deviennent désormais permis. Les minorités savent habilement s'en servir pour requérir traitements de faveur et compensations financières en tout genre. Tout cela n'est qu'odieuse manipulation et doit être combattu.
Cette paralysie se voit confirmée par la police du Québec qui affirme ne plus pouvoir procéder à l'arrestation de malfaiteurs noirs ou maghrébins pour ne pas être accusés de racisme.
La société doit se débarrasser de l'influence d'idéologies minoritaires radicales et dangereuses.