Un putsch! Où ça?
10 février 2012
Qualifier "l'affaire Duceppe" de putsch relève de la pure fabulation! Dans toute cette affaire, Gilles Duceppe a très bien senti qu'un vent de popularité soufflait en sa faveur pour prendre la direction du PQ et, en tant que politicien honnête, il aurait attendu, n'eût été des événements qui l'ont contraint à se retirer de la scène politique active, la tenue d'un congrès au leadership pour manifester ses véritables intentions.
À mon sens, quand on se met à créer des mises en scène "sordides" pour redorer le blason de l'héroïne, c'est que la dite "héroïne" commence à manquer de talent pour continuer de jouer son rôle de façon adéquate...en bref, on entre dans le monde de la fantaisie burlesque du méchant "bonhomme sept heures" qui, avouons-le, ne fait plus peur à grand monde!