Le plurilinguisme individuel et l'unilinguisme de l'État.
4 avril 2012
Vous dites:
"Je suis de ceux qui ont toujours aimé l’étude des langues. C’est l’étude du latin et du grec durant mon cours secondaire qui m’en a donné le goût."
Eh bien figurez-vous que moi aussi, M. Méthé, j'ai bien aimé l'étude du latin et du grec durant mes études classiques! Et, savez-vous pourquoi? C'est tout simplement parce que ces langues anciennes m'ont permis, à travers les thèmes et les versions, d'améliorer mon esprit de synthèse et d'analyse...en français!
En ce qui a trait au reste de votre argumentaire, sachez que le Québec devra toujours se montrer vigilant sur les nécessaires défense et promotion du français sur son territoire sans quoi il est appelé à disparaître au profit de "beaux principes utopiques" qui, en bout de ligne, nous conduiront vers l'assimilation progressive et pernicieuse de la langue du dominant!