De la pertinence de Vigile.net auprès d’une nation démissionnaire
7 août 2008
Tant qu'il y a un souffle, il y a de la vie! Combien de fois celui que l'on croyait à l'article de la mort s'est-il remis à vivre intensémemt pour finalement enterrer la plupart de ceux qui appréhendaient sa mort.
Méfiez-vous de l'eau qui dort : Elle peut être beaucoup plus tumulteuse que ce que vous pouvez en croire au point que la méprise peut conduire à la noyade!
Le plus mince des ruisseaux peut se transformer en un des pires torrents à l'occasion d'une tempête. Et il arrive souvent que la tempête couve sans signes avants-coureurs pour éclater soudainement avec une force inouie.
Nous n'avons droit ni au découragement, ni au désespoir, ni à l'abandon. C'est d'ailleurs ce qui a fait jusqu'à date la force de notre peuple: L'ACHARNEMENT!
"Son père qui marchait près de lui, sur le guéret, le voyant hors d'haleine, lui dit: Repose-toi." -"Non avait répondu le jeune homme, un sillon coupé en deux est un sillon qui risque de ne pas être droit"( "Certaines paroles, certains gestes annoncent un caractère: toute sa vie Jean Bérubé serait serait l'opiniâtre qui aurait horreur des tâches à demi faites, qui voudrait mener jusqu'au bout son coup de charrue.") (rapporté par Lionel Groulx dans un texte en 1932, dont je n'ai plus le titre, et qui faisait reférence aux personnages d'un roman de nos vieux auteurs québécois, dont je n'ai plus les noms , ni celui du roman, ni celui de son auteur.
Tant qu'il y aura des combattants, la guerre ne sera pas finie et s'il advenait que nous soyons "Les derniers des Mohicans", et bien...tant pis: Nous aurons fait ce que nous devions faire!