Car… on a marché sur le Québec
2 octobre 2010
Oh ! que j'ai aimé vos propos..
Car devant le trop de semblant doublé d'une perversité, s'il y a, il n'y a conséquemment que la saine et sainte colère ainsi qu'un Acte empreint d'une clarté à pouvoir poser afin d'aspirer à un possible repos de l'âme dans l'affirmation de sa croyance ou vérité afin d'assurer sa subsistance.
Si l'on a marché sur le Québec.. il y faut une démarche au Québec : une dé-marche, une che-marche, une démarche de Che cad un voeu de marche différente afin de sortir d'un immobilisme caractéristique de l'effet pervers.
Un acte radical parfois s'impose, même si difficile, et à poser à chaque fois qu'une vérité ou une liberté se voit outrageusement ou malicieusement malmenée à répétition en vue d'intérêts particuliers.
Aucune fin ne pourra jamais justifier certains moyens, de mon point de vue..
Une psychiatre : offrant ses hommages au couple Bellemarre, en ces temps peut-être de provocation mais de recherche d'une vérité mise sur la place publique et souvent difficile à établir.. et qui marquera probablement nos institutions pour un certain temps. Mais peut-être également dans une vision autre en vue d'un meilleur temps que celui des intérêts particuliers dans une logique par trop moïque au détriment de la valeur parfois de la bonne marche de nos institutions qui ne peuvent assurer leur bon fonctionnement que si elles parviennent par elles-mêmes à s'affranchir de certains mécanismes délétères à prendre en compte. Mécanismes qui dépendent trop souvent soit d'un ordre marchand établi ou de celui d'une jouissance de pouvoir institués au détriment de l'être commun, individu ou peuple.
Suzanne Caron