[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8a...
[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]
[Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.
La soue nationale
Exploiter la maladie d'un élu, sabrer la rémunération d'un autre: telle est la politique au Québec ces temps-ci. Tout est permis. L'Assemblée nationale est devenue étable. La soue nationale.
C'est la plus déprimante leçon de notre histoire politique, de Taschereau à Charest en passant par Duplessis, Bourassa, Lévesque et Landry: en matière d'éthique politique, tous les partis se valent.
Des candidats de moindre qualité ont-ils été privilégiés en raison de leurs accointances libérales ou des pressions des collecteurs de fonds du PLQ ?
Si la démarche de Marc Bellemare n’est pas facile à comprendre, celle du premier ministre ne l’est pas non plus.
N'empêche, les allégations de M. Bellemare sont suffisamment étayées pour soulever des doutes sur l'intégrité du gouvernement en matière de financement, et en particulier sur l'intégrité du premier ministre lui-même.
Soyons logiques: on ne peut pas soutenir que le Québec s'anglicise alors que le nombre d'anglophones diminue.
Le budget Bachand a lancé un débat qui sera certainement animé: comment doit-on financer la croissance rapide des dépenses de santé?