André Pratte

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    [une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]

    [Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.




La soue nationale

De salaire et de Slinky

Exploiter la maladie d'un élu, sabrer la rémunération d'un autre: telle est la politique au Québec ces temps-ci. Tout est permis. L'Assemblée nationale est devenue étable. La soue nationale.

De Taschereau à Charest... en passant par Duplessis

C'est la plus déprimante leçon de notre histoire politique, de Taschereau à Charest en passant par Duplessis, Bourassa, Lévesque et Landry: en matière d'éthique politique, tous les partis se valent.

Où est le scandale?

Des candidats de moindre qualité ont-ils été privilégiés en raison de leurs accointances libérales ou des pressions des collecteurs de fonds du PLQ ?

Le mystère Bellemare

Si la démarche de Marc Bellemare n’est pas facile à comprendre, celle du premier ministre ne l’est pas non plus.

Des allégations graves

N'empêche, les allégations de M. Bellemare sont suffisamment étayées pour soulever des doutes sur l'intégrité du gouvernement en matière de financement, et en particulier sur l'intégrité du premier ministre lui-même.

Un peu de recul

Soyons logiques: on ne peut pas soutenir que le Québec s'anglicise alors que le nombre d'anglophones diminue.

Qui paiera?

Le budget Bachand a lancé un débat qui sera certainement animé: comment doit-on financer la croissance rapide des dépenses de santé?