MONDIALISME

Voyage au bout de la diversité

Le mythe Nelson Mandela, un produit de la niaiserie occidentale

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Tribune libre

À l’instar du grand rédempteur de l’humanité, Martin Luther King, le messie adulé de la nouvelle religion de la diversité qui sévit actuellement en Occident, Nelson Mandela, le sauveur de l’Afrique du Sud, était en réalité une « taupe communiste », un terroriste pur et dur déterminé non pas à libérer les Noirs sud-africains du joug des Blancs, mais à détruire le capitalisme et à remplacer le gouvernement sud-africain blanc par une dictature communiste noire. (1).


C’est désormais chose faite, mais le résultat est décevant, pour dire le moindre. La combinaison communisme-racisme-multiculturalisme est triplement mortelle. En réalisant son utopie post-nationale, Nelson Mandela, « ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en “archange de la paix” » a en effet plongé son pays dans un océan de conflits raciaux, de crimes et de ruine économique, affirme l’historien spécialiste de l’Afrique, Bernard Lugan (2). À cause de lui, l’Afrique du Sud n’est plus un pays du premier monde, mais un pays de merde comme tous les autres pays de ce continent maudit condamné à croupir dans sa médiocrité (3).



Pouvait-il en être autrement, constate Bernard Lugan, quand depuis 1994, la “Nouvelle Afrique du Sud” s’est construite sans tenir compte de la réalité ? La “Nation arc-en-ciel” [surnommé ainsi pour son multiculturalisme], paradis post-apartheid, moderne version de la “société sans classes” qui était postulée naître de la fin du régime blanc est en effet vite apparue comme un “miroir aux alouettes”. Produit de la niaiserie occidentale, ce dernier a interdit de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation, mais une mosaïque de peuples différents rassemblés ou juxtaposés par le colonisateur britannique. Des peuples dont les références culturelles sont étrangères et même irréductibles, les unes aux autres. (4)



À la suite de ce manque total de vision, les gros investisseurs sont partis en amenant avec eux la plupart des élites blanches qui faisaient fonctionner le pays. Les infrastructures se sont effondrées. Le chômage est passé de 5 % à plus de 25 %, voire 40 % dans certains secteurs. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions vivaient de l’aide sociale, et ça ne s’est guère amélioré depuis. Les Noirs étant favorisés en toutes circonstances, la main-d’œuvre blanche non qualifiée qui n’a plus accès au travail vit dans des bidons-villes. La corruption est omniprésente ; les coffres de l’état sont pillés par les fonctionnaires et les politiciens véreux qui pullulent dans le nouvel eldorado africain (5).


Johannesburg, le joyau de l’Afrique est devenu la capitale mondiale du crime. Les émeutes et le pillage des grands magasins sont tellement fréquents que les médias, blasés, n’en parlent même plus. Dans ce qui reste des quartiers bourgeois des Blancs, on se barricade et on s’arme jusqu’aux dents, tellement les violations de domicile, les cambriolages avec violence et les meurtres sont fréquents (6).


Et c’est sans parler des viols : 40 000 par année uniquement à Johannesburg, viols en solitaire ou en bande organisée (jackrolling) de tout ce qui bouge, femmes, grand-mères de 90 ans en chaise roulante, petits garçons, fillettes et bébés de sexe féminin. ces derniers sont particulièrement convoités, car dans le pays de cocagne du « vivre ensemble », on pense que le seul moyen de se guérir du VIH (SIDA) est d’avoir un rapport sexuel avec une vierge. Résultat : environ 10 % des viols commis dans tout le pays sont perpétrés sur des enfants de moins de trois ans (7).


En outre, depuis que le pays est dirigé par un gouvernement racialement majoritaire et totalement insensible aux droits des minorités, la chasse aux fermiers blancs qui font manger le pays est ouverte ; pas une journée ne s’écoule sans qu’ils soient piégés, attaqués, torturés, assassinés ou laissés pour morts, écorchés vifs dans l’eau bouillante ou les membres débités à la hachette. Selon Ernst Roets d’Africaforum, un groupe qui défend les droits de la minorité afrikaner, « les victimes ont été agressées avec des perceuses électriques, des chalumeaux et de l’eau de Javel, ce qui indique un élément racial. Seules les familles d’agriculteurs blancs ont subi de tels niveaux de violence, jamais les victimes noires. (8) »


En 2017, il y a eu 433 incidents, en hausse par rapport aux 342 incidents de l’année d’avant. Ces attaques implicitement mandatées par le gouvernement s’inscrivent dans une volonté de se débarrasser des Blancs. Le communiste Julius Malema et l’ancien président Jacob Zuma ont en effet exacerbé un sentiment anti-blanc en appelant publiquement à tuer les Blancs et à exproprier leurs fermes sans indemnisation (9).


«Tuez le Boer, tuez le blanc », aimait chanter Mandela avec son ami lithuanien, Yossef Mashel Slovo, dit Joe Slovo, présent dans l'image en début de texte, membre éminent de la tribu de Jacob ayant transmis le virus du communisme aux Africains (10). Les camarades les ont pris au mot. De ce côté-là, on peut dire sans se tromper que la révolution fut un franc succès.


Mais les Blancs ne sont pas les seules victimes d’atrocités. Windy Mandela, l’ex-femme de Mandela, présente dans l'image en début de texte, en sait quelque chose. Durant la période de l’apartheid, lorsque l’African National Congress (ANC), le mouvement dirigé par son mari, cherchait à renverser le gouvernement, Windy avec sa bande de « footballeurs » pratiquait sur les traitres à la cause, le necklacing, une technique d’assassinat relativement répandue dans la Nation arc-en-ciel que les mondialistes aiment donner en exemple, mais qu’ils ne visitent jamais (11). Voici le mode d’emploi : 1) enroulez la victime d’un fil barbelé afin de l’immobiliser ; 2) mettez-lui autour du cou un pneu, comme un collier ; 3) remplissez d’essence l’intérieur du pneu ; 4) puis allumer. La chair sur le visage qui s’enflamme fond et dénude l’os ; la victime meurt brûlée vive dans un long supplice.


On ne serait pas du tout surpris en lisant cela d’apprendre qu’à la fin d’une dure journée de necklacing, Windy et ses camarades se goinfraient de Noirs BBQ, question de reprendre des forces. Le cannibalisme chez les sauvages a toujours été populaire. Les despotes Idi Amin et Jean-Bédel Bokassa étaient des amateurs notoires de chair humaine (12). Dans la presse africaine, des cas de cannibalisme sont d’ailleurs régulièrement rapportés (13). En Afrique du Sud, il faut le savoir, ce n’est pas interdit de manger des êtres humains, mais il est interdit par contre de vendre ou d’entreposer de la viande humaine (14)(15). Une nuance que les adeptes de la diversité apprécieront.


C’est le même scénario au Zimbabwe (l'ancienne Rhodésie du Sud), le fief de feu Robert Mugabe, le dictateur en poste pendant 37 ans (1980 à 2017). En bon communiste qu’il était, lui aussi devait transformer son pays en Jardin d’Éden. Mais il n’a réussi qu’à le transformer en enfer. Des fermiers blancs, les Noirs en ont tués et dépossédés des centaines pour reprendre les terres qu’ils leur avaient soi-disant volées. Mais incapables de gérer une exploitation agricole moderne, les guerriers noirs de la justice sociale ont vite fait faillite. Les champs sont tombés en friche. La famine a frappé. Sans l’aide alimentaire des pays riches, ils seraient tous morts de faim. À court d’idées, ils ont même essayé de faire revenir les Blancs pour mettre de l’ordre dans leur pays ravagé par la révolution. Mais quel Blanc serait assez fou pour retourner vivre dans un pays où le racisme anti-blanc est endémique (16) ?


Et puis, plus près de chez nous, quasiment à notre porte, on a tendance à l’oublier, la révolution a aussi sévi à Haïti. Ce n’était pas des communistes comme tels qui se sont révoltés contre le pouvoir en place, mais c’est tout comme. En 1804, donc, dans la foulée de Robespierre et de la Terreur de 1793, les Haïtiens dirigés par Toussaint Louverture, le Mandela-Mugabe de son époque, se sont affranchis  des colons français qu’ils ont violés, torturés, suppliciés et assassinés par milliers.


Mais sans les Blancs qui avaient fait de cette île un véritable paradis, la première République noire du monde s'est transformée dans le temps de le dire en cauchemar. Les exploitations agricoles, les somptueuses villas, les palais majestueux, les beaux bâtiments administratifs, les routes et les ponts que les colons blancs avaient construits pour durer mille ans sont vite tombés en ruine faute d’entretien et de savoir-faire.


Deux cent ans après la Terreur, les Haïtiens, libérés du joug des Blancs oppresseurs et enfin libre de leur propre destin, stagnent encore dans leurs taudis, leurs poubelles et leurs égouts à ciel ouvert. La seule solution qu’ils ont trouvée à leur décripitude chronique, c’est l’immigration. Après chaque tornade, chaque famine et chaque coup d’État, ils nous submergent comme une vague de fond. Ce n’est pas de leur faute, pardonnez-leur, ils ne savent pas faire autrement, leur pays étant probablement le plus dysfonctionnel sur la surface de la Terre (17).


Références


1. Bernard Lugan (2013). Nelson Mandela : l’icône et le néant. L’Afrique réelle.


2. Ibid.


3. Ilana Mercer (2012). Into the Cannibal's Pot: Lessons for America from Post-Apartheid South Africa. Stairway press.


4. Bernard Lugan (juillet 2017). Jacob Zuma peut-il survivre au Gupta Gate.


L’Afrique Réelle, n° 91.


5. Bernard Lugan (mars 2014). Afrique du Sud, la question raciale. L’Afrique réelle, no 51.


6. Lauren Southern (2018). Farmlands. YouTube.


7. Ilana Mercer. Ouvrage cité.


8. Ibid.


9. Jane Flanagan, Cape Town (31 janvier 2019). White farmers tortured with drills and blowtorches, Afrikaner rights group claims. The Times.


10. David Duke (2015). Le grand secret du communisme. Free Speech Press.


11. Stefan Molyneux (2 avril 2018). The Bloody History of Winnie and Nelson Mandela, South Africa Cries. YouTube.


12. Suzanne Daley (4 décembre 1997). Winnie Mandela's Ex-Bodyguard Tells of Killings She Ordered. The New York Times.


13. Kiselev (16 septembre 2019). No, We Won’t Become Cannibals Here in Russia! Liberalism Has Gone Too Far! Vesti sur YouTube.


14. Jeff Wicks (21 aoüt 2017). KZN man tells police he's 'tired of eating human flesh’. Times of South Africa.


15. Ilana Mercer. Ouvrage cité.


16. Robert Mugabe. Wikipédia. L’encyclopédie libre.


17. Kevin MacDonald (2010). Haiti the quintessential dysfunctional society. Occidental Observer.


 


 


 


 


 


 


 


 



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