François A. Lachapelle Répondre

Merci Fernand Therrien pour ce portrait de Philippe Couilard, notre Premier ministre.  Il est impérieux de scruter la tructure mentale et affective de ce personnage depuis qu'il occupe une poste de guide pour les Québécoises et les Québécois.

Depuis que je scrute ce personnage politique, je suis faciné par sa facilité de nous regarder hypocritement, comme portant un masque.  J'estime que c'est le masque de tout fédéraliste canadien qui a réalisé l'ampleur et le possibilité du désastre de " la destruction du beau Canada " lors du référendum volé du 30 octobre 1995.  Le ministre libéral Jean-Marc Founier est un alter égo de Philippe Couillard comme bien d'autres.

Le référendum volé à Jacques Parizeau et aux Québécois fait encore trembler les fédéralistes.  Les fédéralistes avec l'argent du gouvernement central à Ottawa sont financièrement puissant et cherchent chaque jour à terrasser l'idée de l'indépendance du pays du Québec.  

Le malheur, c'est que les Québécois, pacifistes et de bonne entente avec tous et toutes, se laissent faire, attirés par les reflets du matérialisme ambiant.

D'autre part, j'ai une grande réserve envers votre phrase, je cite:  " Couilllard connaît parfaitement les stratégies de destruction de l’Union Européenne et tente de les appliquer au Québec ". Si vous parlez ici de politiques néo-libérales, cela peut avoir du sens.  Mais il y a pire à Bruxelles tout en percevant l'ombre de l'Allemagne et des États-Unis.

 J'espère que vous réalisez que la Commission européenne de Bruxelles est justement une destructrice des différentes nationalités de l'Europe.  C'est ce que le multiculturalisme canadien (art. 27 de la constitution de Trudeau père) fait à la culture distincte du Québec en la noyant parmi toutes les cultures qui se trouvent dans les baggages de nos immigrants qui ne s'intègrent pas aux valeurs du Québec.  L'Union canadienne fait tout pour annoncer que le Québec est une province comme les autres.  Pour le Québécois qui est fier de ses racines, de sa culture, de son histoire, de ses ancêtres, le Québec n'est pas une province comme les autres.  Il nous faut le Pays du Québec pour exprimer clairement nos racines.

De manière vicieuse et idéologique, Philippe Couillard nie les possibilités nationales du Québec au profit du Canada, son maître mais notre marchand d'esclaves.  Seul l'argent et les emplois représentent une valeur pour Couillard.  D'ailleurs, pour quelqu'un qui connaît le CV de Couillard, l'argent est le filon de sa vie.

Yves Corbeil Répondre

Ah oui, une dernière pour Couillard et son sinistre scolaire.

Les taxes qui vont rembourser, est-ce que je vais avoir un chèque moi aussi en tant que locataire. Parce que mon proprio me dit toujours que ses taxes ont augmenté quand il me donne une augmentation qui dépasse le % suggérer par la régie.

Ce beau cadeau profitera à combien de gens qui sont vraiment dans le besoin, le vrai besoin, pas celui ou ils ont fait des mauvais choix de dépenses, parce qu'ils ne dépensent pas trop, trop mettons le monde dans le besoin.

Déni quand tu nous tient, tu nous tient solide et pour soulager notre conscience on fait une tite guignolée pour soulager la misère du peuple puis on est bon pour une autre année à s'occuper de nos vraies affaires.

Merci à tous ceux qui donnent du temps à l'année longue pour soulager leurs prochains.

Yves Corbeil Répondre

Vivre dans le déni

Le déni est partout dans notre société, il manque des travailleurs partout dans la province et les entrepreneurs sont prêts à faire du recrutement sur le marché mondial pour des emplois à un salaire de crève la fin dans le contexte économique d'aujourd'hui, manque de cammionneurs à un salaire de misère pour les heures travaillées et les conditions, manque de main d'oeuvre dans les magasins pour vendre des cossins au salaire minimum, même chose en restauration et dans plusieurs autres emplois de services. Comment se fait-il qu'avec 50000 nouveaux arrivants chaque année on comble pas les besoins de ces jobs de crève la fin.

Des sous doué pour combler ce besoin, ça s'importe-tu? Et que fera-t-on pour combler les besoins de ceux qui ont une instruction quand nos ne créons rien ou si peu. On ne pourra pas être des vendeurs de richesses naturelles indéfiniment pour subvenir à nos moyens surtout quand la demande est en baisse. Des plans Nord et maritime ça paraient bien en campagne électoral mais ça donne pas grands emplois dans le concret après.

Pour la saison des festivals du pauvre, c'est ici.

http://blogsimplement.blogspot.ca/

J'y ai goûté à cela et je peux vous dire que c'est la chose la plus huniliante que quelqu'un peut vivre. Un sans voix qu'on garde cacher avec un panier et un esti de beau sourire.

On ne peut vraiment pas faire mieux?

Yves Corbeil Répondre

Merci M.Therrien,

Tellement d'accord avec vous et moi non plus je ne suis pas complotiste. J'espère vraiment que cette fois-ci il en a vraiment trop fait pour qu'une majorité se retourne contre ce parti après quinze années de destructions massives des mesures sociales que nous avions décidé de se doter au lieu d'autres fioritures économiques qui laissent en plan les plus vulnérables qui dans la majorité des cas ne l'ont pas demandé.

Cette semaine se déroule la mascarade qui me fait tellement vomir à chaque année, la guignolée. Bien oui la parade des favorisés qui se font séché les dents pour ramasser des cannes pour les pauvres. Quel mascarade honteuse quand avec des politiques équitables on pourrait réglé le problème en grande parti. Ensuite, l'investissement le plus profitable pour toutes sociétés comme la nôtre, ses enfants, tous ses enfants, leur bien-être, leurs éducations et leurs sécurités. Même ici, nous avons failli à la tâche comme société. Failli à la tâche parce que nous n'avons pas su nous tenir debout face au nivellement par le bas du système d'éducation de nos enfants. Je vais vous épargnez tous le reste qui est dysfonctionnels dans notre société.

Pour en finir avec la guignolée, faudrait peut-être se poser la question, c'est qui le pauvre dans une société qui favorise l'individualisme au détriment du collectif. Un jour, j'en doute quelqu'un chez nous mettra fin aux classes dans la prise de décisions des mesures sociales. Et pour en venir aux immigrants, est-ce qu'on prends vraiment les bonnes décisions pour arimer ceux-ci à notre société et est-ce qu'on évalue en amont la possibilité que certains ne puissent jamais s'arrimer à l'occident, ni à la francophonie.

Y.Corbeil