Je crois que notre ami Barberis veux me dire et nous dire qu'il a lu Victor Hugo. Grand bien lui fasse et soit dit en passant, même mon petit-fils de 12 ans a lu Victor Hugo. ( C'est pas rien Barberis, 12 ans ! Et tu sais quelle école il va Barberis... hein ? Notre -Dame !!! Oui monsieur, Notre-Dame dans l'Ouest, professeur. Je dis pas ça pour me vanter mais... )
Eh bien je l'en remercie parce que je ne savais pas que c'est ce cher Victor qui, le premier, utilisa ou même inventa cette expression. Moi, j'ai pogné ça dans une chanson. La prochaine fois si ça se trouve, je vais dire à tout l'monde que « femme varie» est de Victor Hugo, et que je connais Barberis-Gervais.
Et non, je ne suis pas surpris que tu préfères le jugement d'Andrée Ferretti au mien, c'est une femme admirable, un peu... comme ça, si tu veux mais bon, et comme ont pu le contater aussi les lecteurs de Vigile, il m'arrive de me gourrer sur les détails. Si j'étais peintre par exemple, je serais plutôt genre impressionniste, préférant ce qui se dégage globalement d'un tableau que les petit détails. Idem pour mes textes. Et puis, pour tout dire, ça m'emmerde les longues recherches.
Chacun son truc. Pour ce qui est de cette « Lettre à mon ami Vigile», tu as tout faux Barberis. La lucidité commande de défendre le PQ à l'occasion et de le critiquer violemment en d'autres accasions si cela devient nécessaire. Et je ne défends pas nécessairement le PQ, je m'insurge contre cette idée folle qu'a eu notre ami Bernard de vouloir le détruire. On ne détruit pas un outil, même s'il ne sert plus beaucoup. On sait jamais.
Encore une fois, tu mélanges tout, Barberis, et en ce sens, tu es ton principal ennemi. Tu veux tellement bien paraître que tu montes sur tes ergots chaque fois que tu te sens menacé ou ridicule, étirant le cou, et là, comme un vieux coq de basse-cour, tu nous pousse des cocoricos à nous boucher les deux oreilles.
Et c'est pas tout ça. J'ai lu hier pour la politique énergétique, Martine Ouimet, quelles tourniquets elle exécute, cette fille ! Réduction de 25 % des GES +pétrole sale de l'Alberta, qu'à peu près personne ne veut parce que trop polluant, + Anticosti + Fort Harry peut-être on verra..., tout ça enrobé d'euphémismes et de super consultations pop avec une pointe de tarte aux pommes.
Mes bons amis Vigiliens, on est pas sorti de l'auberge. Peut-être que Victor Hugo pourrait nous aider.
André Vincent
Victor Hugo, Barberis-Gervais et la politique énergétique
En référence aux commentaires de Barberis-Gervais dans son dernier message sur Vincent Marissal
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13 commentaires
André Vincent Répondre
9 juillet 2013@ Nicodème,
Vous êtes un homme de sagesse et de paix, cher Nicodème. Merci de votre commentaire.
Ave
André Vincent Répondre
9 juillet 2013Dernier commentaire à mon ami Barberis,
« ... J'espère qu'André Vincent a eu sa leçon et gna-gna-gna...» la teigne qui revient encore et toujours,alors qu'on parlait de tout autre chose. C'est le dernier commentaire que je t'adresse Barberis. Je te souhaite un bon été, la plage,le sable chaud... et le silence.
Surtout le silence.
AVe
Nicodème Camarda Répondre
9 juillet 2013Ha ha ! J'aime bien votre plume monsieur Vincent, il en émane un bel humour et un bel esprit, c'est franc! Ni trop léger ni trop lourd. Votre plume, eh bien, elle se lit toute seule et je le dis par respect pour monsieur Barberis-Gervais que j'aime bien lire aussi. Dans le grand débat des idées et des positions "que l'on aime ou que l'on déteste" Vigile ne serait pas Vigile sans l'apport des deux esprits. Même si mon coeur et ma vison des choses penchent plus de votre côté monsieur Vincent cela n'enlève rien à monsieur Baberis-Gervais. En fait, vous avez raison quand vous dites qu'il est parfois son pire ennemi mais il est aussi, d'un autre côté, le défenseur des positions "que l'on aime détester et dénigrer"; Pas facile d'être déchirer entre deux excellents auteurs. Mais je m'élève au-delà du débat et en toute sympathie, en toute admiration, je leur dis deux fois merci d'être là !
Merci à eux !
Archives de Vigile Répondre
9 juillet 2013Même la Suède se meurt de ses progrès sociaux.
Elle a connu de fortes émeutes dernièrement.
Elle n'est pas le Paradis sur Terre tant vanté.
Je prédis la demande d'asile politique d'un Suédois nommé Silvanus Rot dans quelques années.
Archives de Vigile Répondre
9 juillet 2013Le spécialiste de l’île Bizard est de retour pour supplier le penseur suédois de revenir écrire sur Vigile. Ils ne peuvent se passer de Sylvain Racine qui est un anti-Marois notoire et invétéré.
Quant à la question des égos qui est une autre façon de dévier du sujet, quant tu es attaqué personnellement tu es obligé de te défendre. C'est ce que j'ai fait. Ce ne serait pas arrivé si Vigile avait appliqué sa politique éditoriale. J'espère qu'André Vincent a eu sa leçon. Je lui pardonne ce moment d'égarement et d'irritabilité. La prochaine fois, qu'il conteste ce que j'écris au lieu de me traiter d'attaché de presse du Parti québécois et autres quolibets moins aimables.
Je suis sûr que nos "débats" trop personnalisés ont indisposé les lecteurs qui aimeraient bien que les opposants se respectent et se concentrent sur le sujet de la discussion et cessent de faire des procès d’intention ou des attaques personnelles, ce qu’on appelle des attaques "ad hominem".
robert barberis-gervais, 9 juillet 2013
André Vincent Répondre
8 juillet 2013@ Sylvain Racine,
Je me demande bien ce que vous avez à détester à ce point les baby boomers, ça vire à l'obsession dans certain cas. Je précise que je suis à cheval entre la gang du Refus Global et celle du baby boom.
Et je me demande aussi ce que votre génération a tant fait pour le Québec pour critiquer ainsi tout ce qui a été fait avant elle, je parle ici de la gang de L'Acceptation globale,cette génération X bien nommée...à part tout accepter justement, vous raser le coco, planter une paire de lunette soleil dessus, vous procurer un attaché case,un costard à 1000,00$ et passer à autre chose, comme vous dites.
Mais le pire Sylvain Racine, c'est quand vous dites « Au moins, je me console en me disant "maudit que j’ai tu ben faite de quitter cette province soumise et à quatre patte, puis sans ambition par dessus le marché !" C'est ce qui s'appelle cracher sur le perron en partant. Ignoble !
Il y a des gens ici qui sont incapable de ne plus se battre contre leur dépendance, et ne te leurres surtout pas, si tu crois t'en tirer avec ta pirouette européenne, tu te trompes grandement :
Ça fait mal longtemps la mort d'un peuple.
André Vincent
Jean-Pierre Bélisle Répondre
8 juillet 2013@Sylvain : ça doit bien faire cent fois que tu menaces de quitter et tu reviens toujours. À l’image d’une certaine proportion de Québécois face à l’indépendance, me semble bien... la preuve bien vivante que ce n’est pas une question de génération.
Alors reviens je te prie! Nous aurons au moins quelque chose à lire de plus sérieux et rafraîchissant que les collisions de gros égos, leurs ridicules batailles d’oreiller et leurs flagellations au mouchoir.
Archives de Vigile Répondre
7 juillet 2013Je ne veux pas casser votre party, mais moi j'en suis venu à la conclusion, en lisant Vigile, et en constatant que les babyboomers sont bien davantage comme Barberis-Gervais (des fanfans qui s'accrochent au PQ Marois) que jamais le Québec ne deviendra un pays. Too bad!
J'avais promis de cesser d'écrire des articles sur Vigile, promesse que je tiens depuis un bon moment, et maintenant ceci devrait aussi être mon dernier commentaire et ma dernière présence sur Vigile.net. Il faut passer à autre chose.
Au moins, je me console en me disant "maudit que j'ai tu ben faite de quitter cette province soumise et à quatre patte, puis sans ambition par dessus le marché!"
Ma génération mérite mieux, mais je me console en Europe! Ça ne me donnerait rien d'être au Québec, il y aurait toujours trop de fanfans péquistes pour tuer, poignarder mon rêve. C'est maintenant un cauchemar, un cauchemar où, thanks god, I am not part of it any longer. Vous avez gagné Barberis-Gervais.
Bonne chance aux prochaines élections. Écrivez-moi si jamais Pauline Marois est encore première ministre, ça pourrait m'intéresser.
Archives de Vigile Répondre
6 juillet 20131- Suite à ses commentaires insignifiants, j'ai envoyé à s.sauvé un courriel. C'était un courriel personnel qui lui était adressé à lui et à lui seul. Il le cite aujourd'hui sur la Tribune libre. Je ne lui avais pas donné l'autorisation de le faire. A chacun d'apprécier le procédé. M. s.sauvé ne fait pas de différence entre un texte public publié en commentaires sur la Tribune libre et un courriel personnel où je lui dis le fond de ma pensée. Cela permet d'apprécier son jugement...et son éthique. Et de se poser une question sur Vigile qui publie un courriel privé sans l'autorisation de son auteur.
2- Je crois qu'André Vincent va cesser de m'appeler "mon ami Barberis". Il y aura ainsi un peu moins d'hypocrisie en ce bas-monde. Quant aux mots gentils par lesquels il termine sa diatribe, je me demande quelle est la cause exacte de sa mauvaise humeur. A moins que son "vieux con" au fond soit amical car c'est difficile de saisir les méandres de son émotivité. Prenez bonne note que Vigile accepte que l'un de ses collaborateurs les plus assidus soit traité de "vieux con" et demandez-vous pourquoi. Car comme dirait Cyrano de Bergerac, ce sont des mots que je m'adresse à moi-même mais je n'admets pas que n'importe qui me les serve.
C'est le temps des fraises. Profitons-en.
robert barberis-gervais, 7 juillet 2013
p.s. Correction: à la fin de son texte, il critique Martine Ouellet, ma voisine de Longueuil et une amie de ma fille Manon, et non Martine Ouimet.
Archives de Vigile Répondre
6 juillet 2013J'ai passé une journée assommante et, avant d'aller me coucher, je suis allé voir ce qu'il y avait de nouveau sur Vigile. J'ai lu ce texte d'André Vincent et les réponses de cet inimitable Barberis-Gervais et je dois dire que j'ai bien rigolé. Quelle prétention que de dire que je suis traumatisé par son doctorat en lettres, ha ha!, quelle blague. J'aurais plutôt envie de dire qu'il a un doctorat es insultes. Lecteurs de Vigile, avez-vous remarqué qu'il est le seul à recevoir ce qu'il applique aux autres, Toutes les discussions oiseuses ont rapport à ce docte personnage...docte, enfin ce qu'il prétend.
Ce n'est pas facilement croyable mais il peut écrire de bons textes s'il y met l'effort, il l'a fait dans son dernier écrit mais à cause de son esprit chicanier de mauvais aloi, ça finit toujours par de la bisbille, sans parler de sa détestable habitude d'utiliser le tutoiement pour abaisser ceux qui ne sont pas de son avis. Pas très doctorant ces manières de faire.
En attendant, il ne faudrait pas que M. Barberis-Gervais cesse d'écrire, ça fait du bien de rigoler quelquefois. Pauvre Mme. Marois!
Ivan Parent
André Vincent Répondre
6 juillet 2013Je vais peut-être te surprendre Barberis,mais il y a une dizaine d'années, Andrée Ferretti m'a généreusement fait parvenir trois de ces livres, dont « Le Parti Québécois : Pour ou contre l'indépendance,une plaquette que j'ai devant moi présentement.
Je n'ai jamais comparé Denise Bombardier et Andrée Ferretti en tant qu'écrivaine,ce serait grossier de ma part, mais bien à cause de son commentaire qui me semblait avoir un petit côté Mère Supérieure, ce qui n'est pas du tout la même chose. Elle m'aimait bien à l'époque,mais tu sais comment c'est, la vie...
Sur Facebook Barberis, j'ai réussis à changer mon avatar alors que sur Vigile, je n'y suis pas arrivé alors je me suis dis tant pis, ça va faire chier Barberis. Pour ce qui est de de ton privilège de victime sur Vigile, pauvre petit,snif, permets-moi de te dire que tu courres apès à toute allure, avec détermination et passion.
Et après, tu te demandes pourquoi tu emmerdes le monde. Aussi,en guise de correction,je n'ai jamais dit « coeur de femme varie bien fol qui s'y fie»,j'ai simplement évoqué « femme varie», comme ça, sans insister, mais peu importe.
Je crois que le mieux présentement serait de ne plus se causer pour un temps,on va finir par emmerder le monde. Si ce n'est déjà fait.
Une dernière chose toutefois :s'il est un commentaire qui justifierait malgré tout ces échanges, c'est bien celui de Ougho, appuyé en cela par S Sauvé. Je cite de mémoire : Ce qu'il faudrait présentement au PQ serait un tableau noir,une craie,et un René Levesque. J'applaudis à deux mains à cette proposition.
Encore faudrait-il un René Levesque au bout de la craie,ce qui ne semble pas facile à trouver présentement.
AVe
P.S. Que tu sois un vieux con est une évidence Barberis, mais ne te crois surtout pas obligé de nous le montrer.
Je vais tenter de faire de même.
Stéphane Sauvé Répondre
6 juillet 2013...des attaques ad hominem vous dites ?
Votre commentaire en fut un de trop. Je vous invite à appliquer vos recommandations à vous-même, et je vous assure, on en sortira tous gagnant.
La missive courriel que vous m’avez transmise cette année (voir plus bas) est loin d’être honorante pour un homme qui se dit respectueux des autres. Je n’avais pas cru bon y répondre auparavant, mais votre commentaire m’y force un peu. Je suis navré si sa publication vous blesse, tel n’est pas mon intention.
Relisez (ce fut transmis cette année) :
Alors, non, le commentaire censuré de Vigile à votre intention n’était pas haineux, et non, je ne veux pas vous lyncher. Je vous crois un homme intelligent qui peut aider madame Marois à mieux se tirer d’affaire. Mais pour l’heure, vous faites le contraire et c’est bien dommage.
____
Note à l’éditeur de Vigile :
Si vous décidez de censurer le présent commentaire, je vous inviterais à ce moment-là, de retirer le texte de M. Vincent et le commentaire de M. Barberis-Gervais. Ils ne contribuent en rien à la réflexion stratégique pour nous donner un pays. J’ai placé le courriel plus haut pour qu’une prise de conscience puisse être prise sur cette question d’attaque personnelle.
Archives de Vigile Répondre
6 juillet 2013Vincent, en te lisant, j'ai me suis dit: "Tiens, une salade niçoise" qui est une salade de haricots verts, pommes de terre, tomates, oeufs durs, anchois, thon et olives. Je préfère le saumon ou la truite. Question de goût.
Par curiosité, Vincent, je suis allé visiter ta page Facebook. Et là j'ai tout compris. Y pas de doute, tu es à la recherche d'une certaine originalité. La fraise dans la bouche ça manque un peu de simplicité… et même d'authenticité, cette authenticité que tu recherches désespérément. Je n'ai rien contre l'émotivité pourvu que ça ne fasse pas perdre le nord politique.
Analysons la métaphore filée du coq qui culmine en trompette avec "le vieux coq de basse cour qui pousse des cocoricos". J'en rirais si je ne percevais un certain mépris. (Le mépris, je connais: un de mes livres s'intitule: "La fin du mépris".)
Je monte sur mes ergots quand on m'attaque ad hominem comme tu l'as fait dans ton commentaire à mon texte sur Marissal. Pour ceux qui ne l'auraient pas lu, apprenez que le grand indigné par profession m'a traité de gigolo de la réclame qui essaie de lui vendre un char usagé ou une balayeuse usagée et un attaché de presse de MON parti le PQ. Que je suis un prétentieux et un imposteur qui prétend faire de la grande analyse politique alors que je n'écris que pour vendre ma salade (non niçoise) pro-péquiste et pro-Marois.
Je suis un privilégié de Vigile. Je suis un de ceux qui a à subir souvent ce genre d'injures ou de hargne qui est contraire à la politique éditoriale de Vigile qui est supposée être contre les attaques ad hominem et les procès d'intention, politique dont il est fait une application sélective.
Vincent, je reconnais ta compétence au moins sur une chose: l'interprétation de tes écrits passés, présents et à venir. Je prends donc bonne note de tes mises au point.
Mais si tu veux continuer à m'appeler ton ami comme tu le fais ici (notre ami Barberis), cesse de m'insulter par coq interposé. Et va jeter un coup d'oeil sur les romans d'Andrée Ferretti. Tu cesseras alors de la comparer à Denise Bombardier car ses deux derniers romans sont remarquables ce qui n'est pas le cas de "l'Anglais" de la chroniqueuse du Journal de Montréal qui est un navet.
Quant à Victor Hugo, je te livre un secret de fabrication. Tu mets sur google la citation "Coeur de femme varie Bien fol qui s'y fie et tu tombes immédiatement sur la référence. Je fais ça pour faire chier les gens comme toi qui tombent dans le panneau à chaque fois le pire étant Ivan Parent qui est traumatisé par le fait que j'ai un doctorat en lettres. C'est mon petit côté Foglia… Ton petit fils en sait peut-être plus sur Victor Hugo que moi et je ne m'en vante pas: c'est que à un moment donné je me suis mis à beaucoup lire les auteurs québécois.
Mais je te recommande quand même Montaigne, Julien Gracq, Céline et Marguerite Yourcenar. Comme lectures de vacances.
robert barberis-gervais, 6 juillet 2013