Le PQ, avec à son bord le capitaine Marois, ses adjoint(e)s et plusieurs mousses qui savent naviguer avec un très léger penchant à bâbord, me semble être le seul capable de prendre la mer fédéraliste en furie qui nous sépare du pays chanté par nos artistes, le pays du Québec.
Le bateau du très provincial PLQ Charest ne veut pas aller de l’autre bord, celui de Québec solidaire penche trop a bâbord et celui de l’ADQ, à tribord. Pour ce qui est des Verts, ils me semblent l’être un peu trop sur les bords.
Afin de mettre toutes les chances sur son bord, embarquer me semble vouloir dire : Prendre sa carte de membre du PQ et contribuer, selon son énergie et ses moyens, de toutes les façons pour aider ce parti, à la place de tenter de le couler sur la place publique, à chaque fois que ce parti fait ou ne fait pas une action qui n’est pas de son goût ou qu'il n'y arrive pas assez vite.
Conseiller à l’interne OUI, avoir plus de chefs que d’indiens, NON, pas bon. Le PQ est là pour trouver et tracer le chemin, à travers les écueils fédéralistes, placés sur son chemin. Simple et pas trop fatigant.
Embarquer dans le seul solide bateau
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé