Avertissement : dans cet article, nous faisons nôtres les précisions sur l’expression « les juifs » à la page 15 du livre de l’abbé Olivier Rioult, La question juive. Synthèse aux Éditions Saint-Rémi : « L’expression “les juifs” caractérise l’idéologie juive sans pour autant englober toutes les individualités juives. L’expression “les juifs” ne désigne donc pas tel ou tel juif ni tous les juifs, mais elle désigne ce qui leur est objectivement commun, ce qui les définit officiellement, socialement, religieusement, c’est-à-dire le judaïsme. »

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Selon l’activiste israélien, Urin Avnery, du journal en ligne, Counterpunch (livraison du 25 juin 2018), « les enfants juifs apprennent dès leur plus tendre enfance qu’ils sont le peuple choisi par Dieu. Inconsciemment, cette idée s’ancre dans leur esprit pour la vie, même si un grand nombre d’entre eux deviennent de parfaits athées. […] Nous sommes spéciaux. Il y a les Juifs, et il y a les autres… (1) ».

Or, à cause de cet impératif religieux, le peuple choisi par Dieu, dirigé de main de maître par ses rabbins, se sent obligé, noblesse oblige, de faire « progresser » l’humanité, voire de « réparer » le monde selon un concept de la Kabbale d’Isaac Louria appelé, tikkoun olam ou la « réparation du monde » en Hébreux (2)(3).

Pourquoi faudrait-il réparer le monde, se demande, Jacques Attali, un éminent économiste, conseiller de plusieurs présidents français, Dieu est là pour ça, s’il y a réparation du monde, c’est que Dieu a décidé de ne plus le faire, donc ça ouvre des perspectives vertigineuses et il faut avoir lu et compris quelque chose dans Louria au moins pour pouvoir réfléchir sur ce sujet, donc, ça renvoie la responsabilité de la condition humaine, et en avant-garde de la responsabilité humaine, la responsabilité juive. Nous sommes seuls, et Auschwitz nous la répété, pour tous ceux qui ne voulaient pas l’entendre, la réparation du monde c’est nous et personne d’autre. Je pense que cette mission renvoie fondamentalement à l’attente juive, c’est “nous sommes là pour réparer le monde”. (4)  

Bernard Henri Levy, le faiseur de guerres milliardaire, ne jure lui aussi que par le tikkoun olam :

Non plus sauver le monde. Encore moins le recommencer. Mais juste le réparer, à la façon dont on répare les vases brisés. Il est très beau, ce mot de réparation. Il est modeste. Il est sage. Mais il est aussi vertigineux. C’était celui d’Isaac Louria, bien sûr. Il ne dit plus, ce concept de réparation, la nostalgie d’un corps plein ou d’une pureté perdue, il ne rêve plus d’un vase d’avant la brisure ou d’un vase dont on hallucinerait qu’il n’a jamais été brisé. Il ne véhicule rien qui ressemble à de l’eschatologie ou de la théodicée. Il nous parle du présent. Du présent seulement. (5)

C’est aussi cette obligation de reconstruire le monde à son image qui motive, Barbara Lerner Specter, la fondatrice de l’Institut européen pour les études juives en Suède :

Il y a une résurgence d’antisémitisme parce qu’à ce stade de son évolution, l’Europe n’a pas  encore appris à être multiculturelle. Et je pense que nous [les juifs] ferons partie des efforts qui seront mis en œuvre pour réaliser cette transformation absolument nécessaire. L’Europe ne sera plus composée des sociétés monolithiques du siècle passé. Les juifs seront au centre de ce bouleversement. C’est une transformation majeure pour l’Europe. Ils vont passer au mode multiculturel, et nous les Juifs serons détestés à cause du rôle central que nous aurons joué. Mais sans cette transformation et sans notre leadeurship, l’Europe ne survivra pas. (6)

En d’autres mots, ce ne sont pas les terroristes, la lutte des classes ou les ambitions financières, pétrolifères, agricoles ou pharmaceutiques des multinationales qui font l’histoire, mais les idées, les croyances et les préjugés, notamment ceux du peuple élu par Dieu pour réparer le monde.

Selon la mystique juive, la création de l’univers est un accident ayant produit un grand désordre que seul le peuple juif a le pouvoir de réparer en hâtant par des actions d’ordre politique et militaire la venue en Terre sainte de son Messie.

L’historien des religions et politologue, Youssef Hindi, du groupe de recherche indépendant, Stategika, l’auteur du livre, Occident et Islam. Sources et genèse messianiques du sionisme de l’Europe médiévale au Choc des civilisations, résume le tikkoun olam par le terme « messianisme actif » qui se distingue de « l’attente messianique » une forme de messianisme modéré consistant à favoriser la venue du Messie strictement par la prière et la bonne conduite (7).

Au XVI^e siècle, le messianisme actif, né au XIII^e siècle dans la tête du rabbin, Moïse Nahmanide (1194-1270), s’est intégré comme une vérité à la doxa juive. Ainsi, depuis ce temps, une majorité d’élite juive comme Bill Gates, Marc Zuckenberg, Georges Soros, Jacques Attali, Bernard Henry Levy et Barbara Specter, travaille, inlassablement, du matin au soir, directement ou indirectement par le biais de leurs alliés et de leurs supplétifs non-juifs, à la réalisation de cette utopie messianique (8)(9) née dans l’imagination fertile d’une poignée d’illuminés comme Moïse Nahmanide, Abraham Aboulafia, Solomon Molcho, Isaac Louria, Sabbataï Tsevi et Jacob Frank (10).

L’instrument privilégié de cette quête d’un monde unifié sans frontières et sans nations est la franc-maçonnerie. Cette société secrète fondée sur les principes ésotériques du judaïsme kabbalistique est une émanation du système des corporations qui existait en Europe depuis des siècles. Bien qu'il y ait eu de véritables guildes pour de vrai tailleurs de pierre et de maçons, la franc-maçonnerie spéculative dont il est question n'a pas grand-chose à voir avec la taille de pierre ou le travail de maçon. Elle a adopté le symbolisme des tailleurs de pierre, entre autres, la pyramide, le tablier, l’équerre et le compas, comme un indice subtil de son véritable objectif, la reconstruction du 3^e Temple de Salomon à Jérusalem, l’un des buts ultimes du sionisme (11)(12)(13)(14).

Ces symboles sacrés de la franc-maçonnerie sont d’ailleurs présents entre autres sur les billets de un dollar américain, au Louvre et dans l’édifice de la Cour suprême d’Israël qui deviendra, si tout se passe comme prévu, la Cour suprême du monde (voir à ce sujet, Covid-19… demain à Jérusalem !)

Afin de faire avancer leur projet, les juifs embrigadent certains non-juifs riches, puissants et influents qu’ils estiment pouvoir servir leur cause. Ils les font entrer dans leur giron et les endoctrinent avec leur idéologie mondialiste du Nouvel Ordre Mondial, dont le « Grand Œuvre » est le véritable mandat juif du tikkoun olam : reconstruire le monde selon ses désirs.

Les États-Unis, l’Europe occidentale, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le pape François, Black Lives Matter, les antifas, le B’nai B’rith, le CRIF, la LICRA, l’ADL, l’AIPAC, le Groupe Bilderberg, la Commision Trilatérale, le Council of Foreign Relations, l’ONU, l’OMS, le GIEC, ect., de même que la Société Fabienne, que l’auteur québécois Guy Boulianne a si bien décrit, sont des émanations parmi d'autres du projet kabbalistique.

Toutes ces organisations veulent en effet reconstruire le monde selon leurs désirs, mais ce qu’ils ne disent pas, par contre, c’est que ces désirs sont principalement ceux du judaïsme, la locomotive qui tire tout ce beau monde vers la gouvernance mondiale.

George Washington et de nombreux autres pères fondateurs des États-Unis ont été initiés et endoctrinés dans cette doctrine, de même, depuis lors, que de nombreux présidents européens et américains, y compris Donald Trump, l'un des lauréats du trophée de l'Arbre de la vie (15), qui dans la kabbale symbolise notamment l’univers qu’il faut réparer en resserrant ici et là les quelques Sephiroth qui se sont dévissés en route.

Le jeu politique de M. Trump est désormais clair : un mélange de nationalisme civique et sioniste. Tout son entourage est d’ailleurs composé exclusivement de kabbalistes juifs comme son gendre, Jared Kushner, et d’évangélistes sionistes comme Trump lui-même, Mike Pompeo et Mike Pence. Il s’est fait élire sous de fausses prétentions en faisant croire aux Blancs américains de la classe moyenne qu’il était leur homme, alors qu’il est plutôt en ordre d’importance, l’homme des juifs, des oligarques, de la classe d’affaires et des minorités.

Ce qui se prépare en d’autres mots, si jamais ce projet insensé abouti est une sorte de plantation où les non-juifs, métissés, abrutis par le consumérisme et pas assez intelligents et puissants pour renverser le rapport de forces, seront les esclaves des juifs et de leurs alliés pour l’éternité. Comme le dit en effet le célèbre grand rabbin d’Israël, Yossef Obadia, dans le judaïsme, seuls les juifs sont humains ; les non-juifs, les goyim, sont des sous-hommes qui n’existent que pour servir les juifs (16).

Disons pour terminer que les kabbalistes semblent, pour le moment, divisés en une faction mondialiste libérale représentée par Georges Soros, et une faction nationaliste pure et dure représentée par Benyamin Netanyahou, mais il ne faut pas s‘y tromper. Ces deux camps semblent en effet se faire la guerre, mais si leur projet politique d’hégémonie mondiale aboutissait, ils laisseraient tomber leurs différences et deviendraient copains comme cul et merde.

En résumé, les juifs et leurs vassaux non-juifs qui s’inscrivent dans ce projet kabbalistique sont responsables de bien des malheurs. « Est-il possible, a dit Voltaire, que l’esprit humain ait été assez abruti pour imaginer des superstitions si infâmes et des fables si ridicules. […] Je ne serais point étonné que cette nation ne fût un jour funeste au genre humain. »

Faisons-leur un appel à la raison avant qu’il ne soit trop tard : arrêtez vos folies des grandeurs et vos manigances ; arrêtez de nous casser les pieds avec l’égalitarisme, le déni de la réalité raciale, vous n’y croyez même pas vous-même puisqu’en Israël, votre pays de cocagne, vous faites exactement le contraire ; lâchez-nous le moineau avec les chambres à gaz et les 6 millions, la clef de voute de vos « espérances planétariennes », selon le néologisme du prolifique écrivain français, Hervé Ryssen ; arrêtez de vouloir détruire la merveilleuse diversité raciale, ethnique, religieuse et culturelle que le Bon Dieu a créée ; et arrêtez, nous vous en conjurons, de détruire la civilisation chrétienne de race blanche comme vous êtes en train de le faire métaphoriquement dans le tableau en début de texte, MEURTRE RITUEL, de Giovani Gasparo.

Faites-le, et nous, les chrétiens de race blanche, seront les premiers à faire la paix, mais ça prendra du temps, car nous n’avons pour vous que mépris. Afin de réaliser votre utopie, au cours des dizaines de révolutions que vous avez fomentées, la plus sanglante étant la révolution bolchévique de 1917 (17) ; au cours des deux guerres mondiales du siècle passé dans lesquelles vous avez joué un rôle décisif (18) ; et au cours des  guerres sans fin que vous livrez au Moyen-Orient (19), vous avez assassiné indirectement par le biais de ceux que vous mobilisez à cette fin, des centaines de millions de braves gens sans le moindre remords, car pour vous le peuple élu de Dieu, ces hommes dans la force de l'âge, ces femmes, ces enfants et ces vieillards que vous avez sacrifiés sur l’autel de vos ambitions lourianiques ne sont pas plus importants que du bétail.

Références

1. Urin Avnery (livraison du 25 juin 2018). Journal en ligne, Counterpunch.

2. Youssef Hindi (2016). Occident et Islam. Tome I : sources et genèses messianiques du sionisme de l’Europe médiévale au choc des civilisations. Sigest.

3. Tikkoun olam. Wikipédia. L’encyclopédie libre [en ligne].

4. J. Attali - économiste - D. Horvilleur - rabbin de la communauté MJLF (2012). Le judaïsme, une religion de la distinction. Peuple élu, peuple électeur. Akadem, le campus numérique [en ligne].

5. Tikkoun olam. Wikipédia. L’encyclopédie libre [en ligne]

6. Watt Tyler (8 janv. 2015). Barbara Lerner Specter. Jews behind immigration into Europe. YouTube.

7. Youssef Hindi. Ouvrage cité.

8.  Hervé Ryssen (2005). Les espérances planétariennes. Baskerville.

9. Pierre Hillard (2014). Chronique du mondialisme. Éditions Le Retour aux sources.

10. Youssef hindi. Ouvrage cité.

11. Maurice Pinay (2019). Deux mille ans de complot contre l’Église. Éditions Saint Rémi (nouvelle édition).

12. Mgr Delassus (2018). La conjuration anti-chrétienne. Le temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Église catholique. Éditions Saint Rémi (nouvelle édition)

13. Abbé Olivier Rioulx (2019). De la question juive. Synthèse. Éditions Saint-Agobard.

14. Johan Livernette (2010). Le complot contre Dieu. Le mondialisme démasqué. Éditions livernette.

15. Adam Green (2019). Trump's Kabbalah 'Tree of Life' Award. Know more news, https://www.youtube.com/watch?v=jrJW5A7ruLM

16. Lazar Berman (9 octobre 2013). 5 of Obadia Yossef’s most controversial quotations. The Times of Israel. https://www.timesofisrael.com/5-of-ovadia-yosefs-most-controversial-quotations/

17. E. MIchael Jones (2019). L’esprit révolutionnaire juif et son impact sur l’histoire du monde. Éditons Saint-Rémi.

18. Thomas Dalton, PhD (2019). The Jewish Hand in the World Wars. Castle Hill Publishers.

19. John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt (2007). Le lobby israélien. La découverte.