Conflits d'intérêt à l'Hôtel de ville

Tant que la moitié des montréalais...

Tribune libre

Conflits d'intérêt à l'Hôtel de ville: tant que la moitié des montréalais préfèrent...
(réaction à un article du journal Metro d'aujourd'hui)
Regardez le résultat des dernières élections municipales: est-ce que nous n'avons pas que ce que nous méritons ? Des courtiers et des entrepreneurs au dessus de tout soupçon parce qu'ils seraient ''inactifs'', ou qu'ils ne font que l'administration et non le développement … Ben voyons donc ! Y a-t-il (à part M le Maire...) des montréalais assez naifs pour gober ça ???
Le problème est bien plus profond, comme on l'a vu aux élections. Tant que la moitié ouest de l'ile et St-Léonard préfèrent refaire confiance à l'administration la plus corrompue des dernières décennies, plutôt que la terrifiante perspective de voir à l'hôtel de ville quiconque pourrait avoir l'idée saugrenue de vouloir redonner au français la place qui lui revient (Montréal n'est-elle pas la ''première ville francophone des Amériques'' ?), Montréal n'est pas sortie de l'auberge ! (ou du yatch …)
Benoit St-Jean
Montréal

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Benoit St-Jean, B.a.a, A.c.i.

Conseiller en commerce et développement international





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    27 janvier 2010

    Ceci n'est pas une exégèse, mais je pense que Louise Harel n'aurait rien fait pour le Français, pas plus qu'elle n'a voulu brasser la cage au sein du PQ. D'où tenez-vous ce fantasme qu'il serait arrivé un revirement pour le français avec Louise Harel à Montréal ? D'où tenez-vous ce fantasme qu'il est arrivé quelque chose pour le français au sein du PQ au pouvoir hormis la loi 101 premier cru ? Non, vraiment, dites-moi ? Je rêve, vite, dites moi une seule chose que le PQ a faite pour la langue française par la suite ?
    GV
    PS : Moins de fantasme, plus de réalisme politique serait bienvenue.