Richard Martineau et Jonathan Trudeau confrontent ce pédéraste en ondes

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Le relativisme mène aux pires dérives

Richard Martineau et Jonathan Trudeau de CHOI Radio X ont appelé en ondes Jean Simoneau, un pédéraste assumé, et cela donne un moment de radio plutôt particulier.


C’est Martineau qui a reçu une lettre de cet homme. Ce dernier avance que, selon des études scientifiques, la pédérastie n’est pas une déviance, mais bien une orientation sexuelle au même titre que l’homosexualité.


Ils ont finalement décidé de lui lâcher un coup de fil pendant leur émission Martineau-Trudeau.


VOICI QUELQUES CITATIONS MARQUANTES DE L’ENTREVUE


Richard Martineau (R.M.) : «Monsieur Simoneau, vous êtes vraiment sérieux? Vous croyez qu’un enfant de 10 ans avec un bonhomme de 75 ans... il n’y a aucun problème avec ça?»


Jean Simoneau (J.S.) : «Ce n’est pas ce que j’ai dit» 


Jonathan Trudeau (J.T.) : «Vous avez écrit une lettre à mon collègue Richard et on a lu des extraits de vos écrits.»


J.S. : «Il ne faut pas transformer ce que je dis. Je dis que, pour respecter l’évolution des enfants, on devrait s’assurer de leur possibilité... Il y a toute une question d’éducation que je parle aussi avant. Je ne parle pas que l’enfant ait des relations à 10 ans. Je n’ai jamais dit ça de ma vie.» 


R.M. : «"La pédérastie peut être une expérience tout aussi positive pour le jeune que pour le vieux si on cesse d’en faire une montagne." Vous l’avez écrit ça.»


J.S. : «Ça l’a été fait... c’est qu’un moment donné, un enfant, ce n’est pas la majorité, mais ça peut arriver dans certains cas, où un enfant qui est très renfermé, qui rencontre un individu et que ça lui permette de se transformer... C’est une chose qui peut arriver. C’est pas une chose qui arrive tout le temps...»


J.T. : «En violant un jeune enfant, ça va lui permettre de se tranformer... Ça se peut!»


J.S. : «Il n’est pas question de violence. Quand on parle de viol, il y a violence.»


R.M. : «Il n’y a pas de consentement chez un enfant de 10 ans, 11 ans. Ça n’existe pas le consentement.»


J.S. : «Vous prenez une ligne à travers tout un livre. Il faut lire le livre au complet. Un moment donné, il est question d’éducation.»


J.T. : «Essayez de me dire comment, dans un livre au complet, je vais comprendre que la pédérastie, on aurait tous avantage à ne pas en faire si grosse montagne que ça dans le fond. C’est une expérience qui va être agréable ou vite oubliée par un enfant.»


J.S. : «C’est tout simplement parce que le développement au niveau de ce que l’on voit de la sexualité actuellement, on en fait que du mal comme ça a toujours été dans les années 1950. En réalité, c’est à peu près la chose la plus extraordinaire qui existe dans la création.» 


R.M. : «Est-ce que vous avez déjà eu des relations sexuelles avec des enfants?» 


J.S. : «Euh. Je n’ai pas à répondre à cette question.»


R.M. : «Clairement, oui.»


J.T. : «Clairement, oui, parce que ce n’est pas théorique, vous écrivez de votre vécu. Vous pensez vraiment, M. Simoneau, qu’un enfant qui ne se débat pas ou qu’il n’y a pas de violence, ça ne peut pas être un viol? Un enfant de, je ne sais pas moi, 12 ans qui pèse 80 livres versus un adulte qui en pèse 200... qui a autorité sur lui, qui le manipule, qui va jouer dans des zones inconnues de sa vie, de son intimité... Vous pensez que s’il n’y pas de violence, ce n’est pas un viol? Vous pensez que ce n’est pas un viol?»


J.S. : «Je n’ai jamais dit que je ne pensais pas que c’était un viol. Je dis simplement qu’au lieu de voir... la sexualité comme c’est là, on voit ça d’une façon strictement négative. Le problème, c’est que tu ne le veuilles ou non, tu viens au monde avec une sexualité. Tout le monde est sexué. Un moment donné, c’est aussi la question de respecter le développement...» 


J.S. : «Dans les années 1960, j’avais passé un semaine dans une clinique pour savoir si, effectivement, je pouvais être dangereux parce que ça me faisait peur cette affaire-là. On m’avait dit, à ce moment-là, que de toute façon, je ne serais jamais dangereux pour un enfant, mais que la société serait toujours un danger pour moi. [...] La majorité des gens si tu dis que t’es pédéraste, c’est évident que tu vas te faire cogner la gueule, tu vas te faire battre et tout ça.»


J.S. : «Je vous conseille très fortement de lire mon livre. Vous allez voir que ce n’est pas si pire que ça. Je finis par comment je vois qu’on devrait avoir l’éducation sexuelle, l’importance du consentement. Je ne suis pas le salaud qu’on voudrait me faire passer tout le temps.»


J.T. : «Monsieur Simoneau, vous êtes un salaud et un sacrament de gros pervers!»