Le web menace par Trudeau

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Une législation inquiétante

Web menacé : le projet du gouvernement Trudeau 2.0 d’assujettir les sites internet à la délivrance d’un permis représente un danger majeur pour la liberté d’expression.


Le danger provient du caractère indéfiniment élastique du terme de propos haineux qui fera vraisemblablement partie des critères d’attribution des permis. La secte politiquement correcte nous a habitués à une définition extrêmement large de ce terme, qu’elle applique à quiconque diverge de son idéologie et s’écarte le moindrement dans ses propositions de l’interprétation la plus extrême des chartes de droit. Ainsi, toute personne proposant de protéger l’identité ethnique des Québécois de souche, de limiter l’immigration ou le port public de signes religieux se voit traitée de raciste haineux, quiconque souligne que l’extension illimitée des droits sexuels a des incidences néfastes du point de vue démographique est traité d’homophobe ou de transphobe haineux, etc. etc.


Il n’y a pas de doute que le gouvernement Trudeau se fondera sur la doctrine politiquement correcte lorsqu’il s’agira de définir les critère d’attribution des permis, car il partage la même idéologie, la seule différence se retrouvant dans le degré de virulence des propos. A l’époque où le gouvernement Trudeau avait adhéré en catimini au traité de l’ONU sur les migrations, il avait cherché à nous faire croire que celui-ci n’avait aucun caractère contraignant, même si l’un de ses engagements était de lutter contre les opposants à l’immigration.


Dans l’attribution des permis aux sites internet, on peut être sûr que ceux qui proposent de limiter l’immigration seront refusés, de la même façon que le gouvernement Trudeau a refusé, il y a quelques années, de donner des subventions pour emplois d’été aux organismes qui refusaient de se déclarer en faveur d’un accès illimité à l’avortement.


Fédération des Québécois de souche

Pour la reconquête de notre peuple