L’information sensationnaliste sur la pandémie COVID-19, diffusée en boucle par les médias de masse est à prendre avec beaucoup de précautions. 

De fait, comme l’explique, Guy Boulianne, l’auteur du livre, La société Fabienne, cette information basée sur « une étude alarmiste (telle qu’elle est désignée par France 24) de l’OMS (Organisation mondiale de la santé) n’a rien de bien objectif puisqu’il s’agit d’une institution qui est directement liée à l’Organisation mondialiste et communiste des Nations Unies (ONU), dont sont issus les agendas 21 et 2030 de la dépopulation mondiale. »

La panique actuelle émane d’un expert des modèles prédictifs de l’Imperial College de Londres du nom de Neil Ferguson. Il prédisait 500 000 morts en France et 2 millions au USA. Il recommandait de confiner la population pendant 18 mois. Ces prévisions ont été établi sur la base des premiers chiffres qui lui parvenaient de Chine. Or, les chiffres fournis par les autorités chinoises ont été divisés par dix. Il n’y a pas eu 80 000 personnes contaminées, mais 800 000, ce qui baisse considérablement le nombre de cas graves et de décès. Les prédictions de Ferguson étaient donc basées sur de faux chiffres dès le départ. Comme il prévoyait que les hôpitaux seraient incapables de gérer un tel engorgement, il recommandait le confinement général de la population afin de réduire la transmission du virus et ainsi, d’éviter l’engorgement des hôpitaux.  

Depuis cette bourde monumentale, Neil Ferguson prévoit que le taux de mortalité sera 96 % moins élevé que ses prédictions alarmantes du début.

Le Pr Didier Raoult, Directeur de l’Institut hospitalo-universitaire  Méditerranée Infection, expert mondial en matière de maladies transmissibles donne une interprétation de cette pandémie beaucoup plus réaliste que celle des médias :

Un autre spécialiste allemand, le Dr Wolfgang Wodarg, a par ailleurs démystifié les statistiques mensongères de l'Italie sur le taux de mortalité de la maladie :

Selon les résultats d’une nouvelle étude de l’Université Oxford publiée par le Financial Times, ce virus serait aussi dangereux sinon moins que le virus de la grippe classique. 

Le nouveau coronavirus pourrait déjà avoir infecté beaucoup plus de personnes au Royaume-Uni que les scientifiques ne l’avaient estimé précédemment – peut-être jusqu’à la moitié de la population – selon la modélisation des chercheurs de l’Université d’Oxford.

    Si les résultats sont confirmés, ils impliquent que moins d’une personne sur mille infectée par le Covid-19 devient suffisamment malade pour nécessiter un traitement hospitalier, a déclaré Suintera Gupta, professeur d’épidé-miologie théorique, qui a dirigé l’étude. La grande majorité développe des symptômes très légers, voire aucun. 

    La modélisation du groupe d’Oxford sur l’écologie évolutionniste des maladies infectieuses indique que Covid-19 a atteint le Royaume-Uni à la mi-janvier au plus tard. Comme de nombreuses infections émergentes, il s’est propagé de manière invisible pendant plus d’un mois avant que les premières transmissions au sein du Royaume-Uni ne soient officiellement enregistrées à la fin du mois de février. 

Il faut oser le dire : ce n’est pas le virus qui tue, ce sont les pathologies chroniques qui rendent une infection au SARS-CoV-2 potentiellement fatale à certains patients déjà lourdement touchés par ces maladies de société, alors qu'il est bénin pour les personnes en bonne santé.

Dix experts de haut niveau donnent leur avis sur l'ampleur de cette pandémie.

L'ampleur de la pandémie actuelle est dérisoire comparée à celle des autres pandémie au cours de l'histoire.

En résumé, cette pandémie existe bel et bien, mais sa gravité a été massivement exagérée par les médias, l'OMS et des « experts » bouffons comme Horatio la « tartelette », un mondialiste onusien mis en place par Jean Charest.

En d'autres mots, l'ampleur perçue de cette pandémie est l'œuvre de l'élite mondialiste - dont font partie, Greta Thunberg, Horatio Arruda, l'OMS, l'ONU, l'UNICEF, le GIEC, le FMI, Greenpeace, le FMN (WWF), Big Pharma et les oligarques, etc. - et de ses suppôts les médias de masse.

Des propos sur la peur repris par Henry Kissinger lors d'une réunion du groupe Bilderberg à Evian, France, le 21 mai 1992 :

Les Américains seraient aujourd’hui scandalisés si des troupes de l’ONU entraient à Los Angeles pour rétablir l’ordre, mais demain, ils seront reconnaissants. C’est particulièrement vrai, si on leur dit qu’une menace de l’extérieur, vraie ou fausse, menace leur existence même. C’est à ce moment-là que tous les peuples de la terre se joindront aux autorités mondiales afin de les délivrer de ce mal. L’inconnu est la seule chose que les hommes redoutent. Si ce scénario se présente, ils abandonneront volontiers leurs droits individuels si en échange leur gouvernement mondial garantit leur bien-être.

Une peur qui favorisera la mise en place de mesures d’urgence, voire de guerre, et idéalement du point de vue des mondialistes, la constitution éventuelle d’une gouvernance mondiale de type autoritaire, voire tyrannique : élimination de l'argent liquide et de l'épargne, fermeture des réseaux sociaux et des médias alternatifs, suppression des droits individuels, surveillance de la population par la robotique et la géolocalisation (Agenda 21-30), politique de délation et camps de rééducation, vaccination forcée et implantation d'une puce d'identification sous la peau, police de surveillance mondiale, etc.

D'ailleurs plusieurs personnalités mondialistes demandent qu'un gouvernement mondial soit constitué sur le champs afin de gérer la pandémie:

Gordon Brown et Tony Blair, 

deux socialistes fabiens notoires 

Pour Bill Gates, le principal financier de l'OMS, seul un gouvernement mondial est en mesure de gérer cette pandémie 

Empêcher la réélection de Trump

L’autre objectif qui va de pair est d’empêcher à tout prix la réélection de Donald Trump, l’ennemi juré des mondialistes qu'ils n'ont pas réussi à destituer par la collusion russe et le « scandale » ukrainien. À cette fin, les médias notamment américains mais pas seulement essayent par tous les moyens de salir sa gestion de cette crise sanitaire et de remettre en question ses compétences.

C’est surtout les médias corrompus qui essaient de me pousser à fermer le pays le plus longtemps possible dans l’espoir que cela nuira à ma réélection. Le peuple veut retourner au travail le plus vite possible. Nous serons plus forts que jamais. (traduction libre du tweet de Trump)

Le grain de sable que les mondialistes ne prévoyaient pas

Malheureusement pour les mondialistes, et heureusement pour nous, il existe un médicament efficace à 90 %, voire à 100 % contre cette maladie, la chloroquine. Ce médicament providentiel peut tuer dans l'œuf cette pandémie, au grand dam des élites mondialistes et de l'OMS qui font tout en leur pouvoir pour empêcher son utilisation. 

Selon le prof. Didier Raoult, ce médicament doit être administré en début de maladie lorsque les symptômes sont encore légers. Il est inutile dans les cas très avancés, car le virus n'est plus présent à ce stade.

Je vous renvoie à mes deux articles sur le réchauffement climatique :

Les ours polaires sont en pleine forme

L’origine du brasier