La France d’après le coronavirus pourrait être une France qui rejette le mondialisme imposé par nos « élites bien-pensantes » depuis des décennies. Tout le monde constate, avec la pandémie, que la mondialisation n’est pas forcément heureuse. Ce virus venu de Chine a, d’ores et déjà, provoqué la mort de plus de 26.000 Français. Nous découvrons ainsi que l’ouverture des frontières n’est pas sans danger. Nous apprenons également que des médicaments essentiels sont fabriqués en Chine. Les Français sont donc dépendants des Chinois concernant leur santé.
De plus, les mondialistes au pouvoir, en France, ont donné un bel exemple de leur hypocrisie. Ils ont prétendu que les masques ne servaient à rien, pour cacher le fait que l’État avait détruit son stock stratégique lors du précédent quinquennat. Maintenant, nos gouvernants expliquent qu’il faut mettre des masques pour le déconfinement.
Nos dirigeants ne défendent pas les intérêts des Français. La chloroquine a été placée, en 2019, « sur la liste II des substances vénéneuses » (AFP), alors qu’elle est commercialisée depuis des décennies. Elle est, désormais, réservée aux médecins hospitaliers pour les cas les plus graves, alors que le professeur Raoult a déclaré qu’elle est efficace au début de l’infection. Comment justifier une telle décision ? Des lobbies seraient-ils intervenus ?
On constate que la préférence étrangère règne au sommet de l’État. Le Président jupitérien, au milieu d’un discours destiné aux Français, a fait la proposition d’annuler la dette des pays africains pour les aider. Ces annulations doivent évidemment se faire sans contrepartie. Si c’est bien pour les Africains, cela devrait être bien pour les Français. Pourquoi Emmanuel Macron ne demande-t-il pas une annulation des dettes de l’État français sans contrepartie ? Pourquoi les Africains passent-ils avant les Français ?
L’Histoire est de nouveau en marche. Un choc comparable à Mai 68 est en cours. L’imprévu est advenu, le sort en est jeté et la destinée de la France n’est plus écrite à l’avance. Certains rêvent encore de la création d’un État mondial pour régler une crise globale. Mais tout le monde a constaté que les États-nations défendent d’abord leurs intérêts en période de crise, y compris les pays membres de l’Union européenne. La propagande mondialiste est prise en défaut.
Les masques sont tombés : les dirigeants actuels sont au service d’une idéologie mortifère pour les Français. Le bon sens dicte aux Français de changer le cours de l’Histoire de leur patrie millénaire. L’avenir appartient aux patriotes car ils sauront protéger leur peuple des dangers extérieurs.