MONDIALISME

L'Afrique interdite

La vérité sur l'esclavage et la colonisation

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Tribune libre

Que ce soit clair dès le départ, aucun Blanc de souche européenne n’a à se sentir coupable des méfaits allégués de la colonisation et des horreurs de l’esclavage. Les mondialistes ont faussé l’histoire de ces évènements historiques afin de culpabiliser, et par conséquent, neutraliser l’instinct de survie de la race blanche qu’ils sont déterminés à rayer de la carte par le multiculturalisme, le métissage et la submersion migratoire.


Malheureusement, ce sale travail de culpabilisation et de tétanisation est la plupart du temps effectué par des Blancs, à prime abord sincères et bien intentionnés, mais mal informés, voire motivés par un puissant besoin de se faire du capital social et/ou financier. L’angélisme culpabilisateur bruyamment affiché permet en effet aux m’as-tu-vu de la coterie des pelleteux de nuages de supplanter moralement leurs congénères, et par le fait même, de les dominer.


Comme le dit en effet l’éminent virologue et prix Nobel, Frank Mcfarland Burnet, cité par Laurent Obertone dans La France interdite. La vérité sur l’immigration, « ces hypocrites manifestations d’amour accompagnent toujours “une course au pouvoir”. “Sauver” quelqu’un, pleurnicher sur son sort, s’émouvoir des malheurs d’autrui, c’est augmenter sa propre valeur sociale. Donc, acquérir de la respectabilité, de la notoriété et du pouvoir (1) ».


Les minorités en général ont tout intérêt, elles aussi, à accuser les Blancs de souche européenne de tous les péchés du monde. Comme l’a montré le biologiste évolutionniste, Kevin Macdonald, d’un point de vue strictement évolutionniste, le dénigrement tous azimuts de la majorité blanche leur donne un avantage compétitif certain, surtout que les Blancs par nature ont la fâcheuse tendance à se laisser manger la laine sur le dos (2). L'individualisme forcené, l'altruisme suicidaire et la compassion pathologique comptant, en effet, dans les circonstances actuelles, parmi les plus grands handicaps des Blancs, les minorités les plus habiles à sentir la bête affaiblie n'ont aucun mal à s'imposer.


Dans cette optique, voici les principaux arguments que les Africains en général utilisent pour culpabiliser les Blancs afin d'obtenir un avantage quelconque ou pour justifier leur marginalisation sociale et leur stagnation économique, aussi bien dans leur pays d’adoption que dans leur pays d’origine :



L’Afrique […] considère qu’elle a été marginalisée par l’évolution historique, déclare la vice-présidence du Sénégal […] Son appauvrissement provient des effets cumulatifs de 300 ans d’esclavage, de 100 ans de colonisation, et depuis l’indépendance, de la domination économique qui se traduit par l’exploitation de ses ressources et du travail de ses populations par des prix en perpétuelle tendance historique à la baisse. (3)



En gros, donc, selon l'historien spécialiste de l'Afrique, Bernard Lugan, si l’Afrique actuelle ne va nulle part, c’est beaucoup parce que « les nations négrières blanches l’ont vidée de ses forces vives, avant de bâtir leurs révolutions industrielles sur les profits de l’esclavage, puis de piller le continent par l’exploitation coloniale (4) ». Un constat relevant bien sûr de la fantaisie. Nous allons voir pourquoi en commençant par la douloureuse question de l’esclavage, un sujet hautement passionnel et explosif qui attise non seulement la haine des Noirs envers les Blancs, mais plus grave encore pour nous les Blancs, la haine des Blancs envers leur propre race.


La vérité sur l’esclavage


Le « commerce d’ébène » qui ne date pas d’hier ne fut pas une invention diabolique de l’Europe et des Blancs. Lorsque la Traite négrière européenne a débuté au 16e siècle, ce sont en effet les Noirs eux-mêmes qui capturaient d’autres Noirs pour venir les vendre aux négriers blancs. Ces derniers, sauf exception, ne pénétraient jamais à l’intérieur des terres. Ils venaient sur la côte occidentale de l’Afrique (delta du Niger) acheter leurs esclaves à des professionnels africains spécialisés dans ce trafic de courtage. « La Traite négrière européenne, selon Bernard Lugan, n’était donc pas une innovation apportée de l’extérieur, mais l’évolution d’une marchandisation qui existait depuis toujours. (5) »


La Traite négrière européenne n’eut par ailleurs aucun effet néfaste sur le développement démographique du continent africain. Les régions où ce négoce était le plus florissant, Ghana, Dahomey, Togo et Cameroun, sont actuellement les pays les plus densément peuplés de l’Afrique (6). L’émigration actuelle de l’élite africaine vers les pays occidentaux est bien plus dommageable économiquement et socialement, pour les pays africains, que l’esclavage ne le fut jamais.


En outre, les révolutions industrielles des pays esclavagistes blancs n’ont pas été facilitées par les bénéfices réalisés par ce commerce. « Le simple bon sens et l’élémentaire culture historique permettent d’affirmer que la révolution industrielle des pays développés s’est fait grâce à leur savoir-faire humain, à leur fer et à leur charbon », affirme, Bernard Lugan, dans son livre, Afrique, l’histoire à l’endroit (7).


De fait, le chercheur Pétré-Grenouilleau a montré que l’apport du capital négrier dans la formation du revenu national britannique, par exemple, dépassa rarement la barre de 1 %, se situant en moyenne autour de 0,11 % (8). En outre, dans les États esclavagistes au sud de l’Amérique du Nord, il n’y eut même pas de révolution industrielle, contrairement aux États du nord qui n’avaient pas d’esclaves à cause du froid (9). Enfin, au Québec, l’esclavage n’était pas justifié par des raisons économiques, « c’était une manie somptuaire » selon Marcel Trudel, l’auteur du livre, Deux siècles d‘esclavage au Québec (10).


Comme il est vital pour les besoins de la cause que les Blancs soient les seuls responsables de ce négoce, les « progressistes » occultent la Traite négrière arabo-musulmane qui était pourtant beaucoup plus importante et meurtrière que la Traite négrière européenne. Cette traite qui débuta au 8e siècle pour se terminer plus de 75 ans après l’abolition de la Traite négrière européenne en 1848, a en effet causé beaucoup plus de dommages démographiques et économiques à certains pays africains que la traite européenne, car les Arabes « vidaient » littéralement les régions qui leur servaient de viviers (11).


Les maîtres du « white bashing » passent aussi sous silence la Traite arabo-musulmane des chrétiens de race blanche qui a sévi durant une bonne partie de l’histoire européenne. Entre le 16e et le 18e siècle, par exemple, le professeur d’histoire, Robert Davis, de l’Université de l’Ohio évalue à plus d’un million, le nombre d’esclaves blancs capturés sur les côtes de l’Europe et sur les bateaux piratés par les pays du Maghreb (12).


La vulgate médiatique ignore également la Traite intereuropéenne des chrétiens de race blanche. Elle existait déjà du temps des Grecs et des Romains, et a perduré dans toute l’Europe jusqu’au moins la Révolution française. Selon l’historien, B. S. Bachrach, au 9e siècle, les négociants d’esclaves de la ville de Lyon en France, par exemple, kidnappaient et castraient les jeunes chrétiens pour le marché musulman en Espagne, avec la bénédiction des élites et du roi Louis le Pieu qui profitaient de ce commerce illégal non seulement sur le territoire Franc, mais dans toute la chrétienté (13).


Enfin, les faussaires de l’histoire oublient de préciser qu’à l’instar de la Traite intereuropéenne des chrétiens de race blanche (14), la Traite négrière européenne était une spécialité juive. La très grande majorité des négociants d’esclaves qui n’étaient pas Arabes ou Noirs étaient en effet juifs (15). Les bateaux négriers leur appartenaient, les capitaines, les matelots et les courtiers dans les encans étaient majoritairement juifs, de même qu’un nombre disproportionné de propriétaires d’esclaves noirs, notamment aux Antilles, au Brésil et en Amérique du Nord (16).


Or, dans le film de propagande anti Blanc, Amistad, le réalisateur, Steven Spielberg, a eu le culot typiquement juif (chutzpah) de rendre les chrétiens de race blanche seuls responsables de la Traite négrière européenne. Comme l’a montré Hervé Ryssen dans son livre-DVD, Satan à Hollywood. La christianophobie à Hollywood, l'incitation à la haine des Blancs est d’ailleurs la règle dans un grand nombre de films réalisés par les studios d’Hollywood qui appartiennent tous, sans exception, à des milliardaires juifs (17).


Pour récapituler, il existait, en ordre d’ancienneté, plusieurs types de Traites d’esclaves :



  • Traite négrière interafricaine par les Noirs (la plus ancienne)

  • Traite blanche intereuropéenne par les Juifs et les Arabes

  • Traite blanche arabo-musulmane par les Arabes

  • Traite négrière arabo-musulmane par les Arabes et les Noirs

  • Traite négrière européenne par les Juifs et les Noirs


Et c’est sans parler des Traites asiatiques par les Japonais et les Chinois.


Vu du contexte actuel, le phénomène universel de l’esclavage était une abomination, et les acheteurs étaient aussi responsables que les vendeurs. Mais comme il est absurde de juger le passé avec les valeurs et les connaissances du présent, il est aussi absurde de rendre les gens d’aujourd’hui responsables de quelque chose que leurs ancêtres ont fait à une époque où ils n’étaient même pas nés. La culpabilité n’est pas transmissible génétiquement ; un fils n’ait pas responsable des crimes de son père ; demandez des réparations deux cents ans après les faits, uniquement aux Blancs par ailleurs, n’a par conséquent aucun sens. La loi n’est pas rétroactive. N’oublions pas non plus que ce commerce fût aboli pour des raisons morales par les Blancs eux-mêmes, à leur décharge, au grand dam de leurs partenaires africains qui ne comprenaient pas du tout le sens de cette décision (18).


La vérité sur la colonisation


Il est faux par ailleurs de prétendre comme le Québécois d’origine sénégalaise, Boucar Diouf, que les nations industrialisées se sont enrichies en « pompant » la substance même des colonies (19). Cette idée saugrenue largement véhiculée par la propagande scolaire, médiatique et hollywoodienne qui sévit actuellement dans tous les pays occidentaux s’est cristallisée autour d’un livre du marxiste antillais, Franz Fanon, que les mondialistes ont résumé par une phrase conçue pour frapper les imaginations : « La vache du riche mange le grain du pauvre. » D’après Bernard Lugan, cet acte d’accusation de l’Occident constitue l’essentiel de la doctrine anticolonialiste des mondialistes (20).


En vérité, la colonisation était plutôt une bénédiction pour l’Afrique. Les médecins améliorèrent considérablement la qualité sanitaire de la population locale, les soldats apportèrent la paix, les missionnaires et les administrateurs mirent fin aux famines et à l’esclavage arabo-musulman.


Si par ailleurs les coloniaux importaient des matières premières de leurs colonies, ils ne les volaient pas. En échange, ils construisaient des ports, des villes, des hôpitaux et des routes ; ils amenaient de nouveaux outils et de nouvelles plantes agricoles ; ils ouvraient de nouveaux espaces à la culture, et tout ça à perte, car si les pays coloniaux ont abandonné leurs colonies au bout d’environ soixante ans, c’était parce que selon le mot de M. Lugan, « le marché colonial était inutile et encombrant » (21).


Comme toutes les entreprises humanistes de la gauche socialiste – celle qui aujourd’hui a le culot d’accuser la droite des méfaits de la colonisation alors qu’elle s’y opposait –, celles-ci furent donc du point de vue européen une faillite monumentale. De fait, les productions coloniales coutaient excessivement cher aux colonisateurs non seulement parce qu’elles étaient achetées à un prix non concurrentiel, mais aussi parce qu’en entrant en concurrence directe avec des productions métropolitaines, elles contribuèrent à ruiner des secteurs entiers de l’économie des pays colonisateurs (22).


En définitive, si le continent africain ne réussit pas à se moderniser ce n’est ni à cause de la colonisation ni à cause de l’esclavage, mais, selon le docteur en psychologie, Richard Lynn et le professeur émérite en philosophie, Tatu Vanhanen, surtout en raison du faible quotient intellectuel moyen de ses populations. Selon cette version des choses, le PNB d’un pays est directement proportionnel au QI moyen de sa population. En dessous d’un QI moyen de 100 comme le nôtre, il devient difficile, voire impossible de créer une société moderne comme la nôtre et de la gérer. Or, selon Lynn et Vanhanen, le QI moyen des populations de l’Afrique subsaharienne est d’environ 70, alors que celui des populations maghrébines au nord du Sahara est d’environ 85. Les pays asiatiques, ayant des QI moyens de 108, et qui ont aussi connu la colonisation et l’esclavage, comme la Corée du Sud, Singapour, la Malaisie et Taiwan, comptent parmi les pays les plus développés du monde (23)(24)(25).  


Lectures recommandées


Lynn, Richard et Tatu Vanhanen (2006). IQ and the wealth of nations. www.douance.org


Lugan, Bernard (2013). Mythes et manipulations de l’histoire africaine. Mensonges et repentance. Afrique réelle.


Lugan, Bernard. Les cours de Bernard Lugan. Cours d’histoire pour rétablir l’histoire sur l’Afrique.


MacDonald, Kevin (2012). La culture de la critique. Les juifs et la critique radicale de la culture des gentils. Omnia Veritas.


N'Diaye, Tidiane (2017). Le génocide voilé. Gallimard.


Obertone, Laurent. La France interdite. La vérité sur l’immigration. Ring.


Ryssen, Hervé (2016). Les milliards d’Israël. Escrocs juifs et financiers internationaux Baskerville.


Ryssen Hervé. La mafia juive. Les grands prédateurs internationaux. Baskerville.


Ryssen, Hervé (2016). Satan à Hollywood. La christianophobie à Hollywood. Baskerville.


Trudel, Marcel, avec la collaboration de Micheline D'Allaire (2007). Deux siècles d‘esclavage au Québec. Éditions Hurtubise.


Références


1. Laurent Obertone. La France interdite. La vérité sur l’immigration. Ring, p. 378.


2. Kevin Macdonald (2012). The Culture of Critique. An Evolutionary Analaysis of Jewish Involvement in Twentieth century Intellectual and Political Mouvements. 1st Books.


3. Le NEPAD expliqué. Un Peuple – Un But – Une Foi. République du Sénégal. http://www.hubrural.org/IMG/pdf/le_nepad_explique.pdf


4. Bernard Lugan (1989). Afrique, l’histoire à l’endroit. Perrin, p. 25.


5. Ibid, p. 134.


6. Ibid, p. 136.


7. Ibid, p. 252.


8. Bernard Lugan (2012). Mythes et manipulations de l’histoire africaine. Mensonges et repentence. L’Afrique réelle, p. 74.


9. Larry E. Tise (1987). Proslavery. A History of the Defense of Slavery in America, 1701-1840. The University of Georgia Press.


10. Marcel Trudel, avec la collaboration de Micheline D'Allaire (2007). Deux siècles d‘esclavage au Québec. Éditions Hurtubise.


11. Tidiane N'Diaye (2017). Le génocide voilé. Gallimard, p. 11.


12. Robert Davis (2003). Christian Slaves, Muslim Masters: White Slavery in the Mediterranean, the Barbary Coast, and Italy, 1500-1800. Palgrave Macmillan.


13. Andrew Joyce (2017). Agobard of Lyon and The Origins of the Hostile Elite. Occidental Observer.


14. Ibid.


15. The Secret Relationship between Blacks and Jews. (1991). Prepared by the Historical Research Department of the Nation of Islam. Chicago, Illinois: Latimer Associates.


16. W. White (1966). Who Brought the Slaves to America? White Publishing. Cité par David Duke (2002). Jewish Supremacism. My Awakening to the Jewish Question. Free Speech Press.


17. Hervé Ryssen (2016). Satan à Hollywood. La christianophobie à Hollywood. Baskerville.


18. Bernard Lugan (2012). Mythes et manipulations de l’histoire africaine. Mensonges et repentence. L’Afrique réelle, p. 75.


19. Alexandre Cormier-Denis (2019). Grand remplacement. Réponse à Boucar Diouf et Guillaume Wagner. Nomos-TV. YouTube.com


20. Bernard Lugan (1989), p. 249.


21. Ibid,  p. 257-258.


22. Bernard Lugan (2012). L’empire colonial a t-il enrichi la France ? Ouvrage cité, chapitre X, p. 99-104.


23. Richard Lynn et Tatu Vanhanen (2002). IQ and the Wealth of Nations. Praeger/Greenwood.


24. Richard Lynn et Tatu Vanhanen (2006). Human intelligence, political science, sociology, economics. Washington Summit Publishers.


25. IQ compared by countries. WorldData info: https://www.worlddata.info/iq-by-country.php



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