Invasion migratoire. Macron découvre l’eau tiède

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« Là aussi il faudrait un moratoire, celui des régularisations et des naturalisations à la pelle tout en instituant des statistiques ethniques. »

Peut-être affolé par des sondages récents sur le regard des Français à l’égard de l’immigration et la montée du RN dans l’opinion, Macron, en prévision du prochain débat sur l’immigration, vient de tenir des propos surprenants qui laisseraient entendre une plus grande fermeté dans la politique migratoire.

Nous pourrons juger assez vite de la sincérité de son discours si, sur les flux humains, la gestion du stock des envahisseurs, notamment la bi nationalité, l’islamisation de la société française ; la lutte contre la guérilla que nous connaissons, ce que réclament les patriotes depuis des lustres, sera pris en compte.

Permettez-nous d’en douter. Verba volant et, une fois de plus les effets d’annonce l’emporteront sur les réalités. Encore heureux si ces parlotes ne débouchent pas subrepticement sur une plus grande ouverture à l’invasion.




Les âneries de Macron


Non, la France n’a pas toujours été une terre d’immigration


C’est un mantra de la bolchosphère. En réalité, la population française, le démographe Dupaquier l’a démontré, est restée ethniquement stable jusqu’au milieu du XIXème siècle. Au XXème siècle l’arrivée d’Italiens, de Polonais, d’ailleurs chassés ignoblement par la gauche, correspondait à des peuplements étrangers, certes, mais identiques au plan ethnique et de culture européenne et chrétienne.


Ce n’est plus, et cela crève les yeux, sauf ceux des aveugles volontaires, le cas aujourd’hui.


Les bourgeois n’auraient pas de problèmes avec l’immigration


Pour Macron, seules les classes populaires sont sensibles à l’invasion et c’est pourquoi « elles ont migré vers l’extrême droite ». Passons sur ce dernier terme qui est purement mensonger. Le RN est bon gros parti de droite, beaucoup plus respectueux de la démocratie et des institutions que le parti de Macron, ennemi extrémiste des libertés publiques.


Insistons sur l’oubli des classes moyennes, martyrisées depuis des décennies et qui partagent les mêmes problèmes et la même vision de l’invasion migratoire que les classes dites populaires. Les résultats du sondage IPSOS récent le démontrent. Quant aux supposés bourgeois il suffit de traverser Bougival à l’heure de l’entrée des classes pour comprendre que la substitution de la population des quartiers aisés est en cours.


Faire croire que regarder le problème « en face » suffira


Cela fait bientôt 50 ans que les Français subissent ce calvaire et que la caste gouvernante regarde ailleurs.


Quant à regarder le sujet en face c’est une gaffe abjecte lorsque l’on sait qu’il suffit d’un mauvais regard pour se faire suriner par une « chance pour la France ».


Plus concrètement nous ne croirons à la sincérité de Macron que si des décisions fondamentales qui sont autant de conditions incontournables sont prises.



La première et la plus indispensable des conditions est de procéder à une révolution du paradigme juridique et de rendre le pouvoir de décision au peuple français


Un gouvernement français qui voudra s’attaquer au problème de l’immigration sera comme Gulliver, immobilisé par mille liens qui s’appellent Déclaration européenne des droits de l’Homme, droit européen, traités et accords internationaux, lois mémorielles, jurisprudence etc…

Dans le contexte actuel, il ne fait pas le poids face au gouvernement des juges incarné par le Conseil constitutionnel, la CEDH, le Conseil d’Etat, la Cour de Cassation.



  • Un référendum lancé dès les premiers jours devrait valider le nouveau paradigme juridique de l’immigration et l’inscrire dans la Constitution qui devrait affirmer sa supériorité et celle du droit français sur le droit européen et ses Cours de justice.

  • Un nouveau droit national de l’immigration est à mettre en place qui viserait particulièrement les questions de la déjudiciarisation des procédures de l’immigration et de la nationalité.

  • Le principe sacré de la préférence nationale est à inscrire dans la Constitution.

  • Macron ne pourrait que renier son adhésion personnelle aux pactes immigrationnistes onusiens comme celui de Marrakech.


Vous voyez Macron, mandataire de l’idéologie de la ploutocratie mondialiste, procéder à un tel bouleversement sans lequel rien ne peut se faire ? N’y comptons pas.


Se dégager de la politique favorable à l’invasion de l’UERSS


Il n’existe plus de politique nationale française, gage d’indépendance et de liberté. Bruxelles décide tout, en particulier en matière d’immigration sous la férule allemande.


Tout Français devrait refuser cette oppression : restriction de la liberté de circulation des non-européens, défense des frontières nationales, refonte du dispositif européen grotesque et inefficace de Frontex et surtout, surtout, refus clair et affiché de toute décision unilatérale d’Outre Rhin qui aboutit à nous reverser le trop plein de « chances pour l’Allemagne » dont celle-ci ne veut plus, comme le fit Merkel, résidu de la RDA, il y a 4 ans.


Or, Macron a affiché bruyamment son tropisme européiste. Il ne peut se contredire à ce point. Il n’en aura d’ailleurs aucune envie. Et nous resterons soumis aux diktats de bureaucrates, germaniques pour beaucoup, illégitimes car non élus.


Arrêter puis maîtriser les flux


Chaque année, c’est près de 400 000 entrées brutes,l’équivalent d’une grande ville française, qui rentre en France avec la ferme intention de s’installer et d’y rester.



La première des choses serait de proclamer un moratoire des entrées légales : blocage puis suppression du regroupement familial, surveillance étroite du cursus universitaire des étudiants non-européens. L’immigration de travail devrait être conditionnée à l’obtention préalable d’un contrat de travail comme au Portugal.


La deuxième étape serait la suppression des pompes aspirantes notamment les allocations familiales et de chômage. Aucun étranger sans travail ne doit rester en France.


L’Etat français, dupé volontaire, ne devrait plus tolérer les bouffonneries dramatiques du dévoiement de l’asile et des mineurs isolés étrangers.


Un véritable chef d’Etat devrait engager, en liaison avec les autres pays européens et avec rigueur la lutte contre l’immigration illégale et ce en amont, sur les rivages sud de la Méditerranée, à l’image de l’Australie.


Enfin, toute personne entrée illégalement : clandestins, MIE, déboutés du droit d’asile, etc. est appelée à être effectivement expulsée. Le Portugal y arrive. Pourquoi pas la France sinon la lâcheté de ses dirigeants ?



A votre avis à quelle catégorie appartiendra Macron : celle des vrais chefs d’Etat ou celle des dirigeants actuels ?


Maîtriser le stock


Là aussi il faudrait un moratoire, celui des régularisations et des naturalisations à la pelle tout en instituant des statistiques ethniques.


Toute personne d’origine étrangère qui commet un délit grave, une incivilité significative ou une insulte envers la France devrait être démis de la nationalité française et être expulsé vers son pays d’origine.


La double nationalité qui concerne des millions d’allogènes constitue une absurdité et une imposture, d’ailleurs dénoncées par les rois de Maroc, et qui aboutissent à donner les clefs des élections aux envahisseurs. C’est comme cela que le brillant Flamby a été élu président.



Or c’est bien là-dessus que compte Choupinet (cf. Pierre Cassen) pour un second mandat au cas où le mépris et la haine réciproques entre lui et une grosse majorité des Français le mettraient en péril.


Engagerait-il une politique contraire à ses intérêts et à ceux de ceux qui l’ont désigné ?


Combattre l’islamisation


L’invasion migratoire et l’islamisation de conquête vont de pair. Nos dirigeants ne savent que tolérer la nourriture hallal, l’oppression des femmes et leur transformation en Belphégor, l’imposition de la charia dans des zones de plus en plus vastes et nombreuses, les prêches criminels d’imams étrangers, le financement de l’islamisme par des Etats pétroliers, l’ingérence de chefs d’Etat étrangers comme Erdogan.



Un président de la République française devrait, devant l’imminence et la force grandissante de la menace, se comporter en véritable chef d’Etat capable de se hisser au rang d’un père de la Nation et de prendre la tête de la résistance à cette guerre de conquête. Macron,technocrate passé par Rothschild et visiblement capable de pousser des réformes latentes depuis des lustres, ne semble posséder ni l’envergure ni la détermination d’un de Gaulle ou d’un Poutine. Il n’a pas leur l’étoffe et probablement pas la volonté de s’opposer à l’Islam, enfant chéri de la superclasse mondiale.


Faire face à la guérilla


Invasion migratoire et islamisation ont débouché en France sur un climat d’insécurité et de violence trop souvent mortel. Ce climat s’est transformé en guérilla comme parfois à Nantes, Marseille, Villeurbanne et est encouragé par la complicité des médias, le laxisme des juges et la déprime des policiers.


Ni Macron ni ses prédécesseurs n’ont paru concernés par cette dérive. Lorsque le malheureux Timothy Bonnet a été assassiné à Villeurbanne, les réactions des médias ont fait exploser les limites de l’ignoble. Macron n’a manifesté aucune compassion et le jeune garçon a été enterré avec comme seule présence officielle celle du maire de son village.


L’appareil étatique et son président désigné sont devenus illégitimes car ils n’assurent plus leur première mission : la sécurité des citoyens. Pourquoi, d’un seul coup, trouveraient-ils la force morale et la volonté pour devenir des chefs de guerre et écraser cette guérilla dont l’objectif à terme est la terreur?


Conclusion


Macron, quelles que soient ses capacités de technicien financier et administratif, ne détient pas celles d’un grand chef d’Etat capable de restaurer la nation française et de triompher face aux menaces existentielles qui la mettent en grand danger. Surtout, les conditions de sa nomination à la tête de l’Etat français, son adhésion aux visées de gouvernance universelle de la super classe mondiale, son adoubement par le groupe Bilderberg… sont de nature à nous persuader que son camp personnel n’est pas du bon côté de la rivière.


Il y aura un débat parlementaire à la fin du mois. Dans le contexte politique actuel, ce sera comme applaudir d’une seule main. Les propos récents de Macron sont de pure circonstance sondagière et électorale. Ils ne seront pas suivis d’un renversement de la situation dramatique que nous connaissons.


Au contraire, on peut faire confiance à toute la gauchosphère pour faire pression afin d’ouvrir encore plus grandes les vannes de la submersion migratoire. Ce sera une chance si, comme pour la Loi Collomb, les textes qui s’ensuivront ne comporteront pas « en même temps » de discrètes dispositions bien camouflées en faveur des envahisseurs.


André Posokhow

20/09/2019