Imposer les drag-queens aux enfants, c’est verser dans une propagande décomplexée

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Pour saper les racines d’un peuple

Je le sais, vous le savez, nous le savons, la meilleure manière de recevoir les applaudissements médiatiques, aujourd’hui, consiste à embrasser certaines causes à la mode qui se présentent sous l’étendard de la «diversité».


C’est ce qu’on appelle le politiquement correct.


C’est plus qu’une idéologie dominante. C’est presque devenu une religion. 


Vous en êtes? Vous serez présenté comme un être suprêmement vertueux. 


Vous n’en êtes pas? On vous croira possédé par l’intolérance, comme on était autrefois possédé par le diable. Et on vous dira d’extrême droite comme vous étiez jadis un hérétique.




Sexes


Chantez la présence des drag-queens dans les écoles, et accusez ceux qui doutent des vertus pédagogiques de cet exercice pédagogique. 


Cela marche à tout coup. 


Personne n’a envie de subir à temps plein une pluie d’injures. Vos contradicteurs se tairont. Avec un peu de chance, pour se faire pardonner d’avoir mal pensé, ils se rallieront même à votre point de vue. La peur de mal paraître pousse bien des gens à se faire amputer du courage. 


Mais questionnons-nous quand même. 


Pourquoi juge-t-on aujourd’hui essentiel d’organiser des rencontres à répétition entre des jeunes et des hommes qui se déguisent en femmes hypersexualisées caricaturales? 


Et pourquoi, dans un musée, comme nous l’apprenait hier en chronique Sophie Durocher, demande-t-on à un homme d’exposer à ceux qui le regardent sa zigounette en scandant des slogans antiblancs?


C’est le mot d’ordre de notre époque : déconstruire.


Déconstruire les civilisations (en fait, la civilisation occidentale, pas les autres).




Déconstruire les peuples (en fait, les peuples occidentaux, pas les autres).


Déconstruire les sexes (et cela, en Occident, mais pas ailleurs).


Et justement, pour déconstruire ces identités, les drag-queens sont essentielles.


Voilà des hommes qui se présentent comme des femmes, et qui, sortis de la culture des cabarets, veulent désormais nous faire croire qu’ils sont des pédagogues au service de la diversité, version théorie du genre.


Leur objectif : montrer que toutes les identités sont artificielles, qu’aucune n’est donnée par la nature ou la tradition. Que chacun peut s’inventer comme il le souhaite, subjectivité triomphante oblige.


Car, redisons-le, selon l’idéologie aujourd’hui dominante, qui est accueillie comme allant de soi dans les écoles, l’homme et la femme n’existent pas. Il s’agirait de constructions sociales purement artificielles. 



Écoutez Les idées mènent le monde, une série balado qui cherche a éclairer, à travers le travail des intellectuels, les grands enjeux de sociétés.


Nous avons inversé la norme et la marge.


La norme, désormais, c’est le non genré. C’est l’individu émancipé par excellence, qui ne se laisserait pas enfermer dans une identité.


La marge, c’est l’homme né homme qui se sait homme et ne doutera jamais d’être un homme. 


La marge, c’est la femme née femme qui se sait femme et ne doutera jamais d’être une femme.


Déconstruction


Évidemment, le commun des mortels est plutôt sceptique devant cette théorie.


Alors il faut traiter d’intolérants les adultes qui doutent.


Et la rentrer dans le crâne des enfants le plus tôt possible.


On appelle cela de la propagande, de l’endoctrinement, à destination des enfants.