Le Venezuela échappera-t-il demain au piège marxiste d’Hugo Chávez lors des élections législatives ?
Pour comprendre ce qu’est le communisme on n’a pas besoin de talent, sinon de tenir compte de la misère collective et de la ruine nationale vécues par les pays ayant eu ce système totalitaire.
Une opération historique contre les FARC et le projet marxiste d’Hugo Chávez
La Colombie vient d’infliger un autre coup mortel au totalitarisme communiste, à la démagogie marxiste et au populisme antidémocratique du projet ‘’bolivarien’’ d’Hugo Chávez. En effet, Juan Manuel Santos, le nouveau président de la Colombie, avait dénoncé devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) la coopération de Chávez qui donne refuge aux ‘’révolutionnaires’’ narcoterroristes colombiens des FARC dans le territoire du Venezuela.
Dans cette conjoncture, le régime marxiste d’Hugo Chávez est en train de monopoliser tous les pouvoirs de l’État, allant jusqu’à à contrôler les Forces Armées avec l’apport de militaires cubains, lesquels sont des commissaires politiques au service du projet communiste ‘’bolivarien’’ d’Hugo Chávez pour arriver ainsi à annihiler la liberté d'expression. De cette réalité nous constatons que pendant cette campagne électorale Chávez et son gouvernement utilisent d’énormes ressources publiques, ce qui est prohibé par la Constitution du Venezuela. Car, pour ceux qui sont au pouvoir faire de la propagande en campagne électorale est une violation des lois constitutionnelles. Par exemple, il faut rappeler que la Loi contre la Corruption établit qu'aucun fonctionnaire public ne peut faire partie d’une campagne électorale sous peine d’être condamné d’un à trois ans de prison. Pourtant, Chávez utilise les moyens de l’État, tant financiers que politiques et informatifs tous les jours depuis le début de l’actuelle campagne électorale dont le 26 septembre prochain sera le jour du scrutin avec une opposition présente cette fois-ci, pour faire face à ce régime totalitaire. Ce qui ne fut pas le cas en 2005 puisque l’opposition était absente, d’où l’abstention de 75% de l’électorat.
«Le symbole de la terreur en Colombie est tombé»
Victor Julio Suárez Rojas alias Jorge Briceño, surnommé ‘’Mono Jojoy’’, « le symbole de la terreur en Colombie est tombé » avec 27 autres narcoterroristes le 23 septembre 2010. Ce leader marxiste, ‘’révolutionnaire’’ et sadique des FARC portait une montre Rolex évaluée à plus de 10 000 $ quand il a été tué au sud de la Colombie.
[ La disparition du chef militaire est «le coup le plus dur dans l'histoire» de ce groupe, a pour sa part réagi jeudi depuis New York le président colombien Juan Manuel Santos. «Le symbole de la terreur en Colombie est tombé», a t-il déclaré. Ex-ministre de la Défense au pouvoir depuis le 7 août dernier, il est partisan de la continuité de la politique de fermeté à l'égard de la guérilla. Il exige des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc, marxistes) qu'elles renoncent à tout acte de violence, au recrutement de mineurs, aux mines antipersonnel et aux enlèvements pour entamer un dialogue. ]*
L’Armée colombienne avait localisé ‘’Mono Jojoy’’ en utilisant un GPS inséré dans ses bottes
Le Service d’Intelligence colombien avait intercepté un appel des FARC lors duquel les terroristes demandaient une paire de bottes sur mesures pour leur leader, 'Mono Jojoy', en raison des plaies aux pieds dues au diabète dont il soufrait. Ce fait avait permis à l’Armée de livrer aux terroristes une paire de ‘’bottes-piège" avec GPS (système global de géolocatisation).
L’«Opération Sodoma» entamée contre les narcoterroristes a fait éliminer aussi le sanguinaire Henry Castellanos, surnommé ‘’Romaña’’, et 27 autres terroristes des FARC qui étaient membres du groupe le plus rapproché du fondateur et chef des FARC Manuel Marulanda, ‘’Tirofijo’’, abattu il y a deux ans.
Avec ce grand coup porté contre les FARC, le peuple colombien peut avoir un peu plus de liberté et de sécurité leur permettant de poursuivre l’élan politique et économique entrepris avec courage et fermeté par Alvaro Uribe et son successeur Juan Manuel Santos. C’est-à-dire, avec la détermination et l’appui des démocrates colombiens le gouvernement va pouvoir vaincre les narcoterroristes des FARC, résultant de cette extirpation de la perversité et de la violence sanguinaire de ces groupes mafieux, que les Colombiens puissent avoir plus de Prospérité, de Liberté et de Démocratie.
Jean-Louis Pérez
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*. Pour plus de détails, consulter Colombie : le chef militaire des Farc tué par l'armée
www.leparisien.fr/international/colombie-le-chef-militaire-des-farc-tue-par-l-armee-23-09-2010-1080295.php
Note. Cet article est écrit en hommage aux courageux démocrates vénézuéliens.