Quand un chef de parti,nommément Jean Charest,chef du parti
Libéral du Québec, ancien conservateur fédéral, reçoit un supplément de revenu de $75,000 dollars de la part du parti
Libéral et que celui-ci devient Premier Ministre. J'espère
que tous ses revenus ont été déclarés dans ses rapports d'impôts depuis le début. Il n'a pas donné l'exemple en ce qui a trait à l'éthique.
Est-ce qu'un P.M. est si mal rémunéré qu'il doive avoir un supplément de revenu de la part de son nouveau parti. Il ne cesse de défendre ses ministres impliqués dans du favoritisme personnel ex. M.R. Bachand avec les contrats des régions, M. David Whissell avec des contrats d'asphalte avec sa compagnie,
M.Thierry Vandal avec des dons favorisant des institutions amies et privées.
Le scandale des commandites ne lui a rien
appris, il se croit au dessus de tout cela. Lors de son premier mandat, il a fait enrager les grands amis et donateurs du parti Libéral du Québec, car il devait satisfaire en premier, nommer et récompenser ses anciens amis conservateurs qui l'avaient supporté auparavant. Les supporteurs amis Libéraux devaient attendre et après les avoir récompensé à leur tour. Il a stoppé la grogne des supporteurs du parti Libéral.
Au troisième terme,majoritaire
il a maintenant les deux mains sur le volant et la province
augmente son déficit, favoritisme oblige. Il vote également la loi no.1 permettant aux employeurs d'amortir sur 10 ans,
l'insolvabilité des régimes privés à prestations déterminées. Forçant ainsi les travailleurs bénéficiaires de
régimes complémentaires de retraite à assumer les risque de
perte, favorisant du même coup les amis employeurs qui se payent de bons dividendes.
CELA RESSEMBLE à de la MAGOUILLE à la DUPLESSIS !!!
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Sam Hamad et Nortel
Non mais, M. Sam Hamad veut rire des retraités, il récupère les fonds de Nortel qui ont perdu 31% de leurs valeurs et il les placera à la Régie des Rentes du Québec pour les sécuriser. Mais pendant ce temps il permet avec sa loi no.1
aux entreprises de ne pas verser dans le fond de retraite des employés, les cotisations qui sont dues, en leur donnant congé, laissant le déficit s'accumuler et cela provoquera de nouveau manque à gagner dans les régimes des travailleurs
pendant que les entreprises encaissent des profits à leurs dépens.

Selon Statistique Canada, les bénéfices des entreprises, après impôts ne cessent d'augmenter ,en 2005 ils ont atteint par rapport au P.I.B. leur plus haut niveau en 75ans
alors que la part des salaires des travailleurs n'a jamais
été aussi faible. Les entreprises au Québec ne paient pratiquement plus de taxes sur le capital, lequel augmente avec l'argent des fonds de retraite. Les entreprises québécoises sont gâtées au niveau de la fiscalité et de l'aide gouvernementale qu'elles peuvent faire des dons aux caisses électorales au lieu de respecter leur obligation
envers les employés.

Est-ce que nous méritons de meilleures lois??
Gilles Lapointe, St-Hyacinthe.