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Robert Bertrand

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    Robert Bertrand39 articles

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    rédacteur,
    [Québec un Pays->http://membres.lycos.fr/quebecunpays/]




Le prochain chef Libéral du Québec : un nationaliste québécois

  • Robert Bertrand
  • 21 mars 2007
  • Tribune libre - 2007

A-t-on le droit de voter pour Jean Charest ?

  • Robert Bertrand
  • 15 mars 2007
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Charest : disqualifié à tout jamais

  • Robert Bertrand
  • 6 mars 2007
  • Québec 2007 - Après un OUI - Charest et la partition

Pourquoi est-ce "si" difficile ?

  • Robert Bertrand
  • 1 mars 2007
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Les sondages : un autre moyen de manipuler ?

  • Robert Bertrand
  • 28 février 2007
  • Québec 2007 - la question nationale
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Lucien Bouchard : le lucide pour qui ?

  • Robert Bertrand
  • 12 janvier 2007
  • Tribune libre - 2007

Sorry, I don't speak french

Lettre ouverte à Graham Fraser

  • Robert Bertrand
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Commentaires de Robert Bertrand

  • Les vrais coûts de l’absence du Bloc

    23 septembre 2008


    Les politiciens et les partis politiques font leur travail de présenter des programmes et de défendre leurs thèses.

    À cela, il faut ajouter la part des médias et des travailleurs spécialisés dans ces médias qui ne présentent pas uniquement les dossiers objectivement mais qui défendent un ordre des choses qui leur est favorable.

    Ils défendent, sans se faire élire, leurs dossiers propres inhérents à la volonté de ceux qui les paient. Quelle contrepartie subissent-ils ?

    La critique contre les hommes et les femmes politiques et leurs programmes c'est une façon de défendre notre point de vue.

    Il faut ajouter l'élément le plus pernicieux qui soit : la presse écrite et parlée et électronique qui nous dicte ce que l'on doit comprendre et comment on doit le comprendre; qui nous dicte les éléments dynamiques des uns et les éléments les moins favorables à l'option qu'ils défendent. Ils sont des travailleurs d'élection dont on ne comptabilise pas leurs papiers.

    Ces bonnes gens ont un parti pris et ils ne sont pas attaquées au même titre que les chefs des partis politiques et encore moins de leurs représentants. Leur tour d'ivoire est-elle inattaquable ?

    On a du travail à faire.

    Robert Bertrand

  • Ne plus élire de députés à Ottawa sauverait encore plus d'argent!

    22 septembre 2008


    Excellente présentation.

    Depuis 1867, combien de députés du Québec inutilement envoyé à Ottawa ?

    Ce nombre multiplié par les salaires et les allocations versées et les pensions = plusieurs milliards de dollars.

    Il faut faire cette comparaison.

    Sous un autre aspect, j'ajoute :

    La démocratie est la représentation du peuple dans un gouvernement.

    Si le gouvernement ne fonctionne pas comme nous dit Harper, c'est que les institutions ne sont pas adaptées pour notre temps avec les problèmes de notre temps.

    Questionnons-nous sur nos institutions et non pas sur le nombre et les qualités des partis politiques.

    Sortons le Québec d'Ottawa. Il y a un gouvernement de trop pour les Québécois.

    Robert Bertrand

  • Mal de bloc

    16 septembre 2008


    Le moins que l'on puisse dire, comment ont-ils pu devenir représentants du Bloc Québécois ?

    On ne peut refaire le passé. Il y a des leçons à retenir !

    Le rapatriement de la constitutions s'est réalisée sous TRUDEAU ! Il avait pratiquement 75 députés libéraux du Québec pour appuyer son option et c'est pour cette raison qu'il a défié l'Assemblée nationale du Québec qui avait voté unanimement contre le rapatriement de la constitution.

    Il se vantait, ce PET, de représenter le Québec au même titre que tous les représentants de l'Assemblée nationale du Québec puisque ces 75 députés ou presque étaient des LIBÉRAUX élus par le Peuple du Québec.

    TRUDEAU et les autres qui peuvent suivre, peuvent facilement dire: JE REPRÉSENTE LE QUÉBEC puisque j'ai, avec les autres partis fédéralistes représentés à Ottawa, la même représentation que les députés qui seraient à l'Assemblée nationale du Québec.

    Donnons 75 députés PC ou LIBÉRAUX ou NPD = tous des fédéralistes et ils représenteront le Québec au même titre que l'Assemblée nationale du Québec qui pourrait voter aussi souvent quelle le voudra des lois, des propositions, des recommandations et que les FÉDÉRAUX réfuteront puisqu'ils représentent également tous les Québécois.

    Les ex du Bloc Québécois qui viennent nous dire le peu d'importance que pourrait avoir le Bloc, c'est qu'ils n'auraient jamais représenter les intérêts véritables du Québec.
    Comment parler des transfuges qui sollicitent plus ou moins la disparition du BLOC ou la diminution de son importance à Ottawa ?

    Quels intérêts ont-ils servis et quels intérêts servent-ils ?

    Je vous le demande.

    La nécessité du BLOC est d'une importance capitale, nécessaire, obligatoire et de première importance.

    SANS LE BLOC, c'est la voie libre aux FÉDÉRALISTES, c'est un chèque en blanc donné aux fédéralistes qui seraient représentés de façon majoritaire à OTTAWA

    L'Assemblée nationale du Québec, pour son propre intérêt, à cause des expériences passées, devrait voter une recommandation solennelle pour solliciter la population du Québec à voter BLOC QUÉBÉCOIS.

    Robert Bertrand
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

  • Mal de bloc

    15 septembre 2008


    Sans le BLOC, c'est le libre-cours au fédéralisme. C'est le libre-cours à l'UNITÉ de leur Canada. C'est le libre-cours à la domination économique, sociale, culturelle et politique d'une seule entité.

    Déjà la NATION québécoise existe mais parce que la NATION « canadian » existe en premier lieu. Il n'y a pas égalité dans la reconnaissance de la NATION. La Nation québécoise existe en autant que l'autre domine.

    Daniel Johnson, père, ne parlait-il pas d' «égalité ou indépendance ». On est loin de l'égalité. On existe parce que l'autre domine. Ils doivent dominer, pensent-ils ! Qui pourra nous donner l'égalité ?

    Stephen Harper nous dit que l'on existe en tant que NATION parce que leur NATION doit dominer. Ils se sentent supérieurs. Ils se disent « supérieur » en nous définissant comme dépendant d'eux.

    C'est de l'incacceptable.

    Que dire de l'État Québécois qui existe de par une loi de l'Assemblée nationale. Il est plus que temps que l'État du Québec se range à l'égalité de l'autre État.

    Cela prend un parti politique à Ottawa qui défend les positions traditionnelles du Québec et qui va aussi loin qu'il est possible de le faire dans l'AFFIRMATION de la RÉALITÉ QUÉBÉCOISE avec toutes ses valeurs.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

  • Après Lucien, Gérard

    11 juin 2008


    Notre Gérard « national » nous voit « réagir » et il nous dit qu'il y avait un fédéraliste et un indépendantiste à la barre de leurs résolutions.

    LES DEUX SOLITUDES sont à la base même de ce rapport.

    Il ne pouvait pas tout dire... tout faire à sa guise. Et parce qu'il y a des interventions qui viennent dire ce que lui n'a pas osé ou n'a pas voulu dire, il s'offusque.

    Monsieur Gérard a besoin de la plume de Monsieur Pratte. Ce dernier nous apprend : «C’est un homme blessé autant qu’un intellectuel courroucé qui a pris la plume cette semaine pour répliquer à la pluie de critiques ayant accueilli le rapport.»

    Pauvre Gérard. Que faut-il faire alors ? Se taire et vous laisser ré-organiser la manoeuvre de votre confrère qui lui, aurait été capable de dire ce qu'il voulait dire ?

    Ne pourrait-on pas vous suggérer de ré-écrire la partie manquante de votre rapport ? Possiblement, alors, pourrions-nous tous se joindre à votre voix ?

    Si vous n'acceptez pas d'écrire la partie manquante, d'autres n'auraient-ils pas le devoir, sinon l'obligation de remettre les pendules à l'heure ?

    Ce ne sont pas les millions de dollars qui ont manqué pour vous laisser toute la marge de manoeuvre nécessaire pour l'élaboration de votre pensée.

    Vous n'avez pas voulu blesser l'autre partenaire... Mais est-ce bien cela que l'on vous demandait ? Votre partenaire ne vous a pas laissé libre-cour à l'exercice de votre pensée ? Et vous voudriez que l'on reste coit et immobile ?

    Le peuple du Québec ne pouvait-il pas s'attendre au respect de sa propre reconnaissance ?

    Au Fédéral, on a accepté de reconnaître la « nation » québécoise mais à l'intérieur de leur Canada. Mais vous, ami Gérard, l'indépendantiste « officiel » dans ce duo, qu'avez-vous fait de plus pour la reconnaissance factuelle, implicite, nécessaire du peuple dont vous « faites » parti ?

    Faut-il fermer le couvercle parce que vous vous seriez officiellement prononcé sur des éléments secondaires ? Les autres n'auraient plus de voix parce que « ex-cathedra » aurait dit son mot ?

    Soyez bon joueur, ami Gérard.

    L'Assemblée nationale voudrait vous entendre défendre et argumenter votre point de vue. Auriez-vous fait des pressions pour accepter cette tâche de parler avec des « éluEs » de notre société québécoise de « nationalité canadienne-française » ? Pourquoi la « nation » québécoise aurait-elle été reconnue officiellement alors ?

    La boîte de pandore est ouverte. L'exigence actuelle c'est de bien se comprendre pour cheminer jusqu'à terme les uns et les autres pour parfaire notre entité propre qui est celle du Peuple Québécois, qui est celle de la Nation Québécoise dans un Pays du Québec qui serait à lui pour s'épanouir dans l'ensemble du concert des Nations de la terre.

    Vous avez préféré gardé votre solitude et vous sollicitez que nous nous taisions pour laisser l'ambivalence poursuivre son chemin.

    La Voix québécoise a un nom : le Pays du Québec.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

  • FLQ - sérieux ou pas?

    30 mai 2008


    En mes mots, je dirais qu'il faudrait voir, dans tout cela, les vrais FLQ qu'étaient les responsables de la GRC et du bureau du Premier Ministre de leur Canada.

    N'ont-ils pas été capables de produire de faux communiqués du FLQ ? brûler une grange ? Faire sauter des bombes ? Voler les listes des membres du Parti Québécois ? Et quoi d'autres ?

    Cela prend quelque chose pour contrecarrer les faux pas de Maxime Bernier. Il faut enterrer cela le plus vite possible et détourner l'attention de l'ensemble de la population.

    Ça sent les manigances GRCniènes ! Ça sent les coups montés ! Comme la police !!!

    Robert Bertrand

  • Une volonté qui se traduit en Acte

    3 mars 2008


    La Loi 99 votée en l'Assemblée nationale de l'État du Québec ne semble pas être encore assumée par nos députéEs, nos ministres, nos chefs de partis politiques du Québec.

    Quand donc vont-ils parler, dans leurs interventions publiques, dans leurs interventions en périodes de questions, sur toutes les scènes de l'ÉTAT DU QUÉBEC ?

    Se reconnaître, cela ne répond-il pas à une réalité qui est nôtre, à une soif D'ÊTRE ?

    L'ÉTAT DU QUÉBEC et son ASSEMBLÉE NATIONALE sont les éléments fondamentaux du fait français en Amérique du nord.

    Nous avons notre originalité, à nous tous de l'assumer et d'en faire la promotion, en tout temps.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • Appel à la réconciliation

    12 février 2008


    "Petit artiste", dites vous.

    Vos espoirs, votre invitation à la réconciliation sont remplis de grandes valeurs.

    Poursuivez. Interpellez.

    Nous avons besoin de gens comme vous.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • Bordel, est-ce qu’on peut discuter?!

    10 février 2008


    Je veux connaître l'équipe du PAYS

    Pour prendre le pouvoir il nous faut une personne qui sache où l'on s'en va et qui l'exprime.

    Il faut que l'on se rende compte que cette personne n'agit pas seule avec elle-même mais bien qu'elle est supportée par une équipe. Une équipe de personnes qui se parlent, qui échangent, qui conviennent de l'objectif ou des objectifs à atteindre.

    Je veux bien qu'une personne domine mais il faut qu'elle permette à d'autres d'intervenir, se faire connaître et exposer leurs capacités, leurs connaissances, leurs savoirs.

    S'il forme une équipe, cela ne veut-il pas dire qu'ils se rencontrent, qu'ils échangent, qu'ils partagent ensemble les objectifs à atteindre et qu'ils sachent, les uns et les autres, les unes et les autres ce que pensent et veulent présenter à l'ensemble des citoyens et citoyennes qu'ils ou qu'elles représentent ?

    Comment concevoir qu'on travaillerait en équipe et que l'on se connaisse assez bien et que les principaux lieutenants puissent se faire réprimander publiquement ?

    Un ou une députéE qui se fait élire doit pouvoir parler, doit pouvoir connaître une liberté de fonctionnement dans le cadre d'une démarche qui est connue, présentée, documentée, acceptée et définie. Les députéEs ne doivent-ils pas montrer un certain travail d'équipe ? Ne sont-ils pas ceux et celles qui formeront "L'ÉQUIPE DU PAYS"?

    N'est-ce pas le nécessaire objectif majeur qu'il nous faut se donner, qu'il nous faut créer, réaliser, parfaire ?

    Quel que soit le parti politique qui veut prendre le pouvoir pour réaliser le Pays ne faut-il pas qu'il nous montre qu'il en a les capacités par la qualité de ses propres représentants et l'ensemble de l'équipe qui est appelée à échanger avec les citoyens et citoyennes ?

    Dans des situations de désastre national, on peut accorder tous les pouvoirs à une personne "en qui nous mettons toute notre confiance".

    La création du Pays n'est pas l'occasion d'un désastre national mais d'une perspective d'avenir qui nous permet de nous assumer totalement sur l'ensemble de tous les pouvoirs qu'il est possible dans le monde d'aujourd'hui.

    Il nous faut connaître, -- pourquoi pas maintenant, -- les spécialistes qui assumeront le PAYS ? Spécialistes aux affaires d'immigration, de culture, d'éducation, de santé, d'afffaires nationales, internationales, de la citoyenneté, des frontières, de constitution, des communications, des richesses naturelles, de l'énergie, de la protection de l'environnement, de l'économie et tous les autres...

    Qu'est-ce qui nous empêche que ces spécialistes soient connus d'ores et déjà ?

    Confier de telles responsabilités à un membre élu ou non, présentement, cela ne signifierait-il pas qu'on se fait mutuellement confiance ? Des preuves d'organisations, -- nous en voulons maintenant, -- pas à la veille du déclenchement d'une élection avec un programme que l'on se voterait juste un peu après le déclenchement d'une élection.

    Il faut se comprendre et se parler. Il faut savoir assumer des responsabilités et savoir se parler et s'entendre.

    Nous avons besoin de preuves tangibles d'organisation et savoir que l'on sait très bien que l'on va où l'on va : LE PAYS.

    Enfin, on pourra savoir que des gens travaillent sur des dossiers qui sont réels, qu'ils réfléchissent ensemble, qu'ils débattent ensemble de toutes les propositions qu'ils pourraient mettre de l'avant.

    Ce qui nous est nécessaire, c'est de pouvoir s'assurer et en être convaincu que le travail qui se réalise en "équipe du Pays" est cohérent avec la volonté des objectifs qui sont nôtres : la volonté de faire et parfaire le Pays. Obligatoirement, dès avant l'élection, pourquoi pas dans les prochains mois, dans les prochains jours, de produire des documents qui soient des DOCUMENTS DE PAYS que l'on assume.

    Qu'une voix unique vienne me dire que c'est ce qu'elle va faire, que c'est ce qu'elle va assumer. NON MERCI. On en a vu d'autres.

    TRAVAILLER EN ÉQUIPE et montrer que votre équipe est prête pour assumer le PAYS DU QUÉBEC.

    Vos antécédents ne nous suffisent pas. LE PAYS N'EST PAS FAIT. Il n'a jamais été assumé.

    Vous voulez vous faire élire pour réaliser le Pays, montrez nous vos capacités de travailler en équipe pour le faire.

    Nous en sommes en l'obligation de sincérité dans la démarche et d'en faire la démonstration.

    Votre démonstration nous permettra de comprendre que vous formez une équipe et que vous savez meubler, ensemble, le PAYS que vous assumez que vous voulez enrichir et développer. Faut-il devoir travailler ensemble et réaliser des productions ensemble.

    Le PAYS DU QUÉBEC n'est pas du badinage. Si vous ne voulez pas y consacrer du temps, de vos énergies et de vos connaissances, quittez les lieux. On en a assez vu. On en a assez entendu.


    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

  • Ce qui aurait pu se produire et ne se produira pas

    9 février 2008


    On veut NOTRE PAYS. Il faut un programme, il faut des hommes et des femmes de confiance pour nous assurer du bon fonctionnement de ce qui résultera de notre vote.

    On ne veut pas une foire d'empoigne entre les responsables qui veulent nous permettre de voter pour cette grande réalisation.

    Un chef tout seul, une cheffe toute seule : non merci, on ne fera pas un pays avec une personne qui voudrait nous faire cheminer vers ce grand jour de la déclaration du Pays du Québec.

    Une personne seule, un article qui nous dirait : élisez-nous et on fera l'indépendance... Vous voyez bien que cela ne fonctionne pas comme ça pour avoir le pouvoir, avoir une majorité de députés.

    Une personne seule, si elle devient malade, inopérante, si on l'attaque comme les adversaires ont assez bien réussi. Entre nous, les pires adversaires que nous avons, présentement, c'est notre propre société québécoise qui n'est pas unanime pour cette réalisation. En a-t-elle le vouloir ?

    Il faut que notre message soit attrayant, emballant, prometteur, sécuritaire, rempli de promesses et d'obligations à remplir.

    Les politiciens permanents ne réussissent pas ces exigences actuellement. Bâtir avec des gens de connaissance, d'expérience, de savoir, de vision, de responsablités.

    Le Parti Indépendantiste peut-il offrir tout cela ?

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays,
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

  • 400e - récupérer la fête

    18 décembre 2007


    Jusqu'à présent, les seuls qui auraient un esprit festif, ne seraient-ce pas les organisateurs fédéraux payés par le fédéral ? Ne sont-ils pas étrangers à ce que nous sommes. On ne les connaît pas et ils ne nous connaissent pas.

    La population n'est pas dans le coup parce qu'aucune collaboration civique, sociale est présente au jour le jour. On a implanté un Carnaval à Québec en faisant participer la population. Un festival d'été de Québec se réalise avec la participation de la population parce que nous avons un milieu animé.

    Pour le 400e, on a tout mis entre les mains du fédéral qui ne nous connaît pas et qui veut fêter "avec sa gang" ce que nous ne voulons pas.

    "Du pain et des jeux" ! Il faut que ce soit animé par des personnes de la place, des personnes qui sont impliquées parce que c'est de Québec comme ville, comme "berceau de la civilisation française en Amérique qu'il s'agit de fêter. Les Québécois veulent fêter. Ils sont des fêtards ! Ce qu'il faut savoir c'est qu'on ne fête pas les autres à Québec. On se fête d'abord et on invite tout le monde à venir fêter avec les Québécois et les Québécoises.

    Vouloir nous passer un sapin et nous dire que l'on fête le Canada, voilà que des gens devraient se rendre compte que cela ne lève pas. Oui, "il est minuit moins cinq" comme le dit Monsieur Rozon.

    http://www.cyberpresse.ca/article/20071214/CPSOLEIL/71213252/5019/CPSOLEIL

    Les gens de la Ville de Québec, de la région de Québec sont là. Ils attendent de voir qui fait quoi et en vue de quel objectif.

    On s'est fait tricher et manipuler trop souvent. Là, on attend... On veut voir. Que les vrais Québécois nous parlent. Les étrangers au Québec peuvent parader mais ça ne lève pas.

    Il est temps de parler de Québec, de sa fondation, de ses valeurs, de ses activités, de son monde et de la vie des Québécois.

    Autrement, tout ça aura été fait pour ça et ce sera ça !

    Robert Bertrand

  • Parti québécois: Larose veut un plan de match plus musclé

    9 décembre 2007


    S'il nous faut se donner un cadre de référence, il faudrait voir ce qui s'est fait du côté du fédéral aussitôt après avoir dit qu'un NON voulait dire un OUI aux changements.

    Si les Québécois élisent le Parti Québécois, il n'aura qu'à agir avec la même volonté de tous les jours et la même fidélité aux volontés des citoyens qui les auront élus.

    Si on compare avec le mode de procéder de Jean Charest, combien de fois n'avons-nous pas dit que nous n'avions pas "voter pour ça !" et qu'il continuait constamment, sans broncher, de poursuivre son plan du rapetissement de l'État du Québec ?

    L'État du Québec mérite un Chef d'État qui sera présent sur toutes les scènes du monde pour représenter le Québec auprès des autres Chefs d'État des autres pays du monde tant pour les domaines culturels, économiques, industriels, politiques et autres.

    Le Chef d'État doit agir en Chef d'État. Il doit -- AGIR -- non seulement -- PARLER --.

    Robert Bertrand. rédacteur,
    Québec un Pays
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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