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Robert Bertrand

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    Robert Bertrand39 articles

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    rédacteur,
    [Québec un Pays->http://membres.lycos.fr/quebecunpays/]




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  • Robert Bertrand
  • 21 mars 2007
  • Tribune libre - 2007

A-t-on le droit de voter pour Jean Charest ?

  • Robert Bertrand
  • 15 mars 2007
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Charest : disqualifié à tout jamais

  • Robert Bertrand
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Pourquoi est-ce "si" difficile ?

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Lettre ouverte à Graham Fraser

  • Robert Bertrand
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Commentaires de Robert Bertrand

  • Lettre ouverte à Patrick Bourgeois

    23 février 2009


    Félicitations à vous Madame Hébert,

    Votre intervention première a permis de déclencher un dialogue qui n'existe pas avec le Parti Québécois. Donc, c'est entre les partisans du Pays du Québec qu'il nous faut se parler et trouver une direction qui pourra faire le plus grand concensus possible pour l'assumer soi-même le Pays et le faire accepter par les autres.

    Un point sur lequel tout le monde ne veut pas se l'avouer mais qui est essentiel de bien saisir. Cela a rapport avec notre Assemblée nationale du Québec. Je mets en évidence ce qui devrait pratiquement nous assommer tous. On ne veut pas en parler parce que c'est trop gros !

    Je le dis à vous Madame, mais je le dis à tous ceux qui veulent bien lire les propos tenus dans cette séquence.

    Même des lois votées à l'unanimité de l'Assemblée nationale auraient-elles gagnées cette bataille ?

    Des paroles ! Des paroles ! Et encore des PAROLES !

    Qu'elles sont les conséquences que vous avez offertes suite aux votes à l'unanimité de l'Assemblée nationale depuis que vous en faites des votes à l'unanimité ?

    AUCUNE. RIEN. NIET.

    N'est-ce pas que l'on est rendu plus loin. N'est-ce pas l'intention des propos que l'on tient ici, d'aller plus loin ?

    Si l'Assemblée nationale des 125 éluEs ne réussi pas à faire changer les questions qui nous intéressent, qui donc pourra le faire ?

    L'ADQ, le PQ, le PI, le PV, Québec solidaire mis ensemble avec le PLQ... ça ne réussi pas !

    N'y a-t-il pas un défaut en quelque part ?

    Nous tous qui travaillons, à notre échelle, pour le PAYS DU QUÉBEC, travaillons-nous dans le vide absolu ?

    L'Assemblée nationale des 125 éluEs n'obtient pas les changements aux petites lois et on voudrait faire passer une LOI déclarant l'Indépendance ?

    Faites-moi signe si vous avez une solution.

    La seule solution, c'est le RÉFÉRENDUM a bonne majorité idéalement. Au moins, un référendum gagnant.

    Est-on sur le bon chemin pour y arriver ?

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • Lettre ouverte à Patrick Bourgeois

    22 février 2009


    Intéressant de parler -- réconciliation -- . Les uns et les autres ont besoin d'argent. Entre nous, l'ensemble des Québécois qui affirmons le Pays du Québec, ne faut-il pas se serrer les coudes ?

    Mme Hébert, les êtres politiques qui sont à la barre, ne sont-ils pas rapides à dénoncer les leurs ? Les Yves Michaud, les Pierre Falardeau et Patrick Bourgeois, et qui d'autres viendront s'ajouter ?

    Ils réagissent parce que les adversaires de toujours, contrôleurs des médias, radios-journaux-télévisions, savent les faire s'agenouiller rapidement et monter aux barricades contre ceux qui cherchent à « réveiller le monde » . On ne réveille pas le monde en les endormant, n'est-ce pas ?

    Le Parti Québécois assume-t-il correctement ses responsabilités, d'après vous ? Ne faut-il pas les « réveiller » eux et elles aussi ?
    Comme on le sait, il n'y a pas que le Parti Québécois qu'il nous faut « réveiller » actuellement. Ce sont tous les membres de l'Assemblée nationale du Québec. Combien de fois, cette Assemblée nationale du Québec a voté unanimement des résolutions, propositions, recommandations et les adresser à l'autre gouvernement ? Qu'ont valu toutes ces UNANIMITÉS face à l'autre gouvernement ? Combien de fois cet autre gouvernement a-t-il obtempéré aux volontés unanimes de notre Assemblée nationale ?

    Quelques votes que je me rappelle de mémoire : sur le déséquilibre fiscal, sur les jeunes contrevenants, sur le rapatriement de la constitution, encore et encore. Quelqu'un pourrait nous en faire le décompte ?

    Même à l'unanimité de notre Assemblée nationale, l'autre côté ne considère plus notre voix en dépit du Bloc québécois qui s'ajoute à notre Assemblée nationale.

    Jusqu'à quant faut-il tout endurer et na pas blesser les uns et les autres parce que « chatouilleux » sur les bords, à cause de paroles, à cause d'un sacre, à cause d'un petit excès de langage ou d'un moyennement gros excès de langage ?

    À comparer, y a-t-il quelqu'un dans la salle qui voit clair ? Unanimement de notre Assemblée nationale, on ne nous écoute pas, on ne nous entend pas, on ne veut rien savoir.

    Parce qu'il y a des sacres, des plus ou moins gros excès de langage, quelqu'un, en quelque part a écouté et a reculé.

    Alors, dites-moi, Madame Hébert, en votre âme et conscience, la voix à suivre, quelle est-elle ?

    Se la fermer chez le peuple et laisser nos éluEs parler, parlailler, dialoguer, envoyer des résolutions unanimes et les laisser dilapider nos biens comme à la Caisse de Dépôt et accepter que les paradis fiscaux demeurent indéfiniment ?

    Qu'est-ce qu'il faut faire pour être entendu ? Être compris ?

    Juste remplir les caisses des partis politiques pour qu'ils adressent des résolutions unanimes et que rien se passe ? Rien ne doit bouger ?

    Madame, vous l'avez constaté. il y a un réveil chez notre population. Le niveau d'écoeurement est élevé.

    Ou bien les partis politiques assument la voix du peuple ou faudra-t-il que les groupes de pressions s'organisent davantage et réussir là où les éluEs démocratiquement ne parviennent pas à se faire entendre et assumer correctement le DEVOIR DE REPRÉSENTATIONS qui est le leur.

    Bref. Pour qu'on en arrive là, c'est qu'il y a eu des exagérations, des demi-vérités, des irresponsabilités majeures que le peuple a subi.

    Faudra-t-il une commission d'enquête, ou une commission parlementaire pour savoir ce que le peuple a vécu qui allait à son encontre au cours des dernières années ? Un 400e assumé par le Fédéral pour la satisfaction de la fondation du Canada avec Samuel de Champlain, premier gouverneur de leur Canada ? Quand les responsables organisent la vérité de leur bord, et qu'il faut se la fermer pour que tout aille bien... où est la limite ? Et là, un 250e pour nous montrer qu'ils auraient bien gagné la dernière fois ? Et l'arrogance des complices commandités autour des Plaines ?

    Ce que nous avons vécu nous démontre, à toutes personnes responsables, qu'il y a des gens qui ont leur voyage et qui en ont raz-le-bol.

    Peuvent-ils s'exprimer à la radio dont les lignes sont contrôlées ? Peuvent-ils se faire entendre sur des émissions de télévision sans qu'il y ait exagération dans les langages ? Peuvent-ils écrire dans les journaux et que les journaux empêchent la diffusion de leurs missives ? Autant de choses à analyser et à évaluer.

    En plus, s'ajoutent des politiciens qui viennent jeter l'huile sur le feu.

    Voyez mon article sur vigile : http://www.vigile.net/La-bataille-a-ete-annulee-N-est-ce

    Merci de servir de médiation.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • La bataille a été annulée... N'est-ce pas une bataille gagnée ?

    22 février 2009


    Monsieur Racine,

    Dans toutes actions que l'on fait, les autres ont l'importance qu'on veut bien leur donner. Gesca veut vendre des copies et il fait en sorte de faire des manchettes vendeuses, n'est-ce pas ?

    Allez lire les groupes de discussions en anglais et vous m'en donnerez des nouvelles. C'est un temps perdu que de vouloir échanger avec des gens qui ne veulent qu'accepter qu'ils sont supérieurs, qu'ils ont le gros bout du bâton. Nous sommes minoritaires.

    Les fédéralistes se sentent tellement supérieurs qu'ils ont fait une loi pour reconnaître la Nation québécoise mais en autant qu'elle soit inférieure à la leur. On n'est pas des nations égales dans leur Canada. Il en faut des inférieures pour rendre les autres supérieures.

    La chaise à l'Unesco est derrière celle de leur Canada qui est un siège à la table pour parler. Si je t'assoies en arrière de moi et que moi seul ai la parole et a le droit de parole... tu te sentirais fier d'être là ?

    À l'Assemblée nationale du Québec, combien de fois il y a eu des votes -- unanimes -- pour faire changer les façons de faire du Fédéral. Qu'ont gagné nos 125 députés contre la volonté de l'autre gouvernement « supérieur » ? Au cours du dernier siècle, qu'ont gagné les votes unanimes de notre Assemblée nationale du Québec contre les décisions de l'autre gouvernement ?

    Il faut se rendre à l'évidence. Quelque chose ne tourne pas rond. En France, ils ont fait des révolutions pour faire changer les choses. Ils ont coupé des têtes. Vous le savez bien qu'ont en est loin de là !

    Il y a un semblant de démocratie présentement dans nos sociétés occidentales. Les voleurs de milliards de dollars sont protégés. Les paradis fiscaux : qui en profitent sur le territoire du Québec et protégés par l'autre gouvernement qui est tellement « supérieur » ? Le Québec, son Assemblée nationale, même à l'unanimité, ne peut rien faire ! Quelle sorte de gouvernement que l'on a ?

    Un vote à l'unanimité de notre Assemblée nationale va-t-il changer les choses ? Vous croyez ?

    Gesca ou les autres peuvent dire ce qu'ils voudront, cela n'empêche personne de penser et voir ce qui se passe sur le planchers des vaches.

    Entre nous, pourquoi on a une Assemblée nationale si ce qui est voulu unanimement ne devient pas une loi acceptable pour l'ensemble du territoire du Québec ? On n'est pas « MAÎTRE CHEZ NOUS ? » Qui contrôle notre Assemblée nationale ? Que vaut notre Assemblée nationale ?

    On doit s'occuper que des cochons, des égouts, des routes, des infrastructures, des viaducs qui tombent, d'avoir un siège en arrière de l'autre, de parler si on nous donne la permission, de représenter le Québec mais de ne pas pouvoir parler directement au Président des États-Unis ?

    Que vaut une Assemblée nationale, alors ? Une petite, une moyenne ou une grande municipalité ? Ne faut-il pas se réveiller lorsque l'on voit tout ça ?

    Robert Bertrand

  • Je vous «flushe» à mon tour

    22 février 2009


    La bataille a été annulée... N'est-ce pas une bataille gagnée ?

    Ils voulaient commémorer une « bataille » avec des hommes en habits de guerre. Que c'était donc beau tout ça !

    En habits de rue, à visages découvert, les citoyens et citoyennes du Québec, humbles travailleurs ont gagné sur tous les flas flas de ce monde !

    Ce ne sont pas les hommes en cravate, ce ne sont pas les femmes près du pouvoir, dans des enceintes dorées qui ont travaillé. Ces bonnes gens se sont contentées de voir les autres PARLER, ÉCHANGER, PRENDRE LEUR PLACE et finalement GAGNER cette bataille des médias.

    En effet, il faut « se tenir loin de toute bataille » ! Parmi les vôtres, gens du Congrès dans la Capitale, n'y a-t-il eu personne pour endosser les projets de commémoration de bataille ?

    Des visages à deux faces, qu'ils soient des Libéraux ou du PQ, ce n'est pas plus beau à voir et à accepter.

    Ce sont les petites gens qui font le travail pour les GROSSES POCHES près du pouvoir !

    Le courage de ses opinions, le courage du travail à faire ! Vous réagissez au travail des autres mais qu'avez-vous fait vous-mêmes ?

    Même des lois votées à l'unanimité de l'Assemblée nationale auraient-elles gagnées cette bataille ?

    Des paroles ! Des paroles ! Et encore des PAROLES !

    Qu'elles sont les conséquences que vous avez offertes suite aux votes à l'unanimité de l'Assemblée nationale depuis que vous en faites des votes à l'unanimité ?

    AUCUNE. RIEN. NIET.

    Alors, les autres, les adversaires qu'il vous faut combattre, vous passent sur le corps et vous aimez cela ! Il faut le répéter : « Vous n'êtes pas écoeurés de mourir, bandes de caves ? » Jugez si cela vous convient !

    Bandes de poules mouillées autant que vous en êtes !

    Robert Bertrand
    http://cf.groups.yahoo.com/group/Pour-le-Pays-du-Quebec/message/35916

  • Je vous «flushe» à mon tour

    21 février 2009


    Alors qu'il faut mettre l'accent sur l'adversaire, les adversaires tant au Fédéral qu'au Québec, il nous faut vivre cette incongruité.

    Je dis Bravo à Patrick Bourgeois. Tu es le Pierre Bourgault contemporain. Il faut prendre la parole plus souvent et manier l'art de la parole celle que le peuple veut entendre.

    Il y a des lâchetés qui en font des faux Q.

  • Des étapes importantes sont franchies petit à petit

    18 février 2009


    Merci à vous deux qui êtes intervenus.

    Aujourd'hui, j'ai ajouté une nouvelle intervention qui me permet de cerner davantage pourquoi il nous faut réagir et être parfaitement présents comme vous le faites.

    Le « dérapeur professionnel » c'est Jean Charest !

    Les vrais responsables des désordres actuels sont ceux qui ont signé des ententes Ville de Québec-Québec-Canada pour le 400e.

    Est-ce que le PEUPLE du Québec, est-ce que la NATION québécoise, est-ce que le QUÉBEC comme entité est sorti grandi de ses fêtes du 400e ?

    400e de quoi au juste ?

    Un grand cirque qui a duré 365 jours. On a créé des JEUX. Les gens de partout sont venus s'amusés. Qu'ont-ils appris ? Qu'ont-ils compris de toutes ces fêtes ? Il y avait un chiffre, de divers formats : 400 ! 400 quoi ?

    Les Québécois ont-ils pris conscience qu'on fêtait le FONDATEUR DE QUÉBEC ? le FONDATEUR DE LA NATION QUÉBÉCOISE ? le FONDATEUR DE L'AMÉRIQUE FRANÇAISE ?

    TOUT ÉTAIT SIGNÉ. Comme si l'argent devait être la norme pour une fête !

    Pas avoir eu d'argent d'Ottawa, Québec ne se serait-elle pas fêtée avec l'ensemble de ses concitoyens et concitoyennes et tous les amis qui seraient venus s'amuser avec nous ? C'était la fête des FRANÇAIS D'AMÉRIQUE. Est-ce que c'est ça qu'on a fêter à Québec, berceau de la civilisation française en Amérique du Nord ?

    C'est la lâcheté du Gouvernement Charest qui n'a pas assumé la responsabilité de SON FONDATEUR DE PAYS qu'était Samuel de Champlain.

    Samuel de Champlain est venu fondé la nation française en Amérique. Jean Charest c'est la « girouette » au service de leur Canada et il se met à genoux plutôt que d'assumer correctement ses responsabilités de Chef de l'État du Québec, PAYS FRANÇAIS, en Amérique du Nord.

    C'est pas le Canada qui doit venir nous fêter sur les Plaines. C'est le Québec qui se fête et fêtera partout sur son territoire qui est le sien.

    Le temps des demi-vérités, des demi-fêtes, des dénis de notre réalité québécoise française en Amérique aura vécu. Le temps du réveil de tous les Québécois et Québécoises a sonné.

    On ne permettra plus de dérive sur notre territoire du Québec par des colonisateurs.

    Robert Bertrand

  • La deuxième bataille des plaines d'Abraham

    17 février 2009


    Merci de votre témoignage. Il y a longtemps qu'on ait entendu (lu) autant d'éléments de vérité aussi parfaitement présentés.

    Le concours d'Historiens Français de l'ensemble de vos universités devraient venir donner un éclairage bien Français de ce qui a été vécu tant sur le territoire de la Nouvelle-France et les combats qui ont eu lieu avec les Français, avec les Amérindiens et avec les Québécois de l'époque.

    Au Québec, on nous enseignait l'Histoire Sainte avec Moïse et la traversée de la Mer Rouge...

    Les collaborations entre la France, les Québécois et les Amérindiens de l'époque mériteraient d'être bien connues davantage.

    Ce DEVOIR DE MÉMOIRE n'implique-t-il pas la participation de tous les groupes en présence, de cette époque ? Et toute la perspective telle que vue tant par la France que par les autres groupes en présence ?

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • Jean Pelletier, le collaborateur

    19 janvier 2009


    En démocratie, il y a des lois qui permettent un bon fonctionnement de nos institutions et de nos activités.

    ILS SONT EN GUERRE, nous disent-ils.

    Alors, tous les coups sont permis : manifestations d'amour, on vote à 98% et 99% dans certaines boîtes de scrutin ou dans certaines circonscriptions.

    LEURS VOTES sont unanimes CONTRE le développement du Québec et des Québécois.

    EN GUERRE, on peut tout se permettre. Aucune loi ne doit les contraindre. Ils nous en font la démonstration.

    Comment se protéger contre de tels abus ?

    La carte d'identité doit exister pour voter.

    Il faut déterminer qui sont ceux et celles qui ont le droit de voter.

    S'ils sont en GUERRE... Sont-ils nos concitoyens ? Sont-ils nos amis ? Sont-ils ceux et celles en qui nous devons faire confiance avant tout ?

    Qui étaient les collaborateurs de Jean Pelletier qui nous faisait la guerre ? Tous les députés et ministres LIBÉRAUX du temps n'étaient-ils pas en guerre également ?

    Ne sont-ils pas venus saluer leur confrère guerrier pour le conduire à son dernier repos ?

    Robert Bertrand

  • La crise à Ottawa : une chance pour le Bloc?

    2 décembre 2008


    L'Histoire nous apprend des façons de se comporter dans les moments historiques.

    Il faut lire l'intervention présentée sur Vigile à la page :

    http://www.vigile.net/La-pertinence-du-Bloc

    Le BLOC suit l'exemple qu'a emprunté l'IRLANDE pour réaliser son INDÉPENDANCE et devenir un PAYS. Bravo pour le travail que réalise Gilles Duceppte à Ottawa.

    Ce qui se passe à Ottawa et dans le ROC par la qualité des discours et des interventions nous démontrent jusqu'où ils sont capables de nous décrire.

    Pour le Canada, c'est comme s'ils avaient perdu le RÉFÉRENDUM.

    C'est l'OUEST contre l'EST. Il faut entendre les commentaires des citoyens qui appuient cette possible COALITION.

    Les « deux solitudes » existent et nous en avons la preuve on ne peut plus évidente.

    Qui va vouloir travailler avec HARPER après cette période de possible coalition avec un plan d'actions souhaitées par la majorité ?

    Imaginons, un moment, que HARPER annonce des améliorations qui seraient celles de la coalition ou en grandes parties.

    Il y aurait possiblement un refroidissement de l'ardeur des « coalitionnistes ».

    Ces élus de l'ensemble des partis de l'opposition pourront-ils travailler de part et d'autre comme s'ils n'avaient pas déjà réussi à travailler ensemble ?

    Quoi qu'il en soit, ce parlement ne sera jamais plus le même et les acteurs ne pourront plus agir comme ils l'ont fait jusqu'à présent.

    Harper pourra venir au Québec et parler aux « séparatisss »

    Le vrai visage du CANADA à l'étranger avec HARPER est sur la voie de faire les manchettes au cours des prochains jours.

    N'avait-il pas été élu pour travailler dans un gouvernement minoritaire ?

    Robert Bertrand

  • Qu'attendent les députés ADQ pour se joindre au PQ ?

    23 octobre 2008


    Pour répondre à Pierre Vachon qui questionne. Je lui soumets cette réponse.

    Les Québécois se sont donnés jusqu'à 75 députés du Parti Québécois. Ils se sont prononcés pour le dernier référendum à près de 50% favorable pour se donner un Pays à eux. Il y avait un Premier Ministre qui s'était fait élire pour atteindre un tel objectif. Les Québécois savaient où on s'en allait.

    L'appel aux Québécois pour être davantage « autonomistes » a connu ses heures de gloire pour l'ADQ. On a bien fait miroiter ce que l'on voulait. Ce parti a connu un certain succès plus grand que le Parti Québécois.

    Le Parti Québécois s'était donné et avait adopté un programme. Finalement, une semaine après le déclenchement de l'élection, le Chef met tout de côté et fait adopté une feuille de route qui ne tenait pas la route. Il a fait une campagne en parlant d'un « référendum » avec aucun contenu. On voulait éviter de parler de Pays et d'indépendance. La troisième place était méritée pour des gens qui changent d'idée comme de chemises et qui semblaient travailler pour des objectifs qui étaient personnels plutôt que de servir la volonté d'un Pays du Québec.

    Le fédéraliste, Charest, qui veut se donner au Fédéral alors que le fédéral ne répond pas au Premier Ministre du Québec qui présente les demandes traditionnelles du Québec, Il a connu une fin de non recevoir de la part du Fédéral. Le Fédéral a donné le maximum au Québec suivant ce que l'on peut croire du pouvoir Fédéral actuel.

    Dans les faits, Charest, fédéraliste, présente les demandes traditionnelles bien autonomistes et minimales indépendantistes du Québec.

    C'est plein de « je profite de la situation » pendant la campagne fédérale qui vient de prendre fin avec un Bloc Québécois qui défend également les mêmes demandes des fédéralistes, des autonomistes et des indépendantistes. Le Bloc va plus loin en parlant de Pays.

    La période de l'ambiguité me semble révolue. Il reste à être résolument pour quelque chose qui nous ressemble et qui soit nôtre : le Pays.

    Les reconnaissances de « nation » ou de participation à l'Unesco, sont des bonbons qui n'ont de valeur que pour les fédéralistes qui ont laissé tomber quelque chose de la table. Qui sont-ils ces fédéralistes pour NOUS DONNER les miettes qui tombent de la table ?

    Tant Charest qui nous dit qu'on doit rien demander à la France mais bien qu'on doit ÊTRE ce que l'on veut, il n'est pas loin de défendre l'autonomie et même une volonté de Pays du Québec.

    Le cheminement se fait : travailler pour le Québec et en faire un élément dynamique dans le concert des nations. Ce sont les Québécois qui doivent décider pour eux.

    Un parti qui veut le Pays et tous les pouvoirs du Pays doit s'afficher et assumer la démarche pour l'affirmation dans les faits.

    Le refus d'Ottawa tant pour Dumont avec ses demandes que pour Charest avec ses demandes traditionnelles et la non volonté d'Ottawa de satisfaire l'un et l'autre, ce qu'il reste, c'est l'exercice formel de TOUS LES POUVOIRS.

    Quel parti politique veut TOUS LES POUVOIRS ?

    Est-ce un parti qui saura rassembler les autonomistes, les purs et durs, les mous, les indépendantes et les confédéralistes ?

    En même temps, il faut travailler les autres États du Canada tels l'Ontario, le Manitoba, l'Alberta, pour qu'ils assument leurs réalités personnelles, autonomistes, indépendantistes. Ottawa est de trop dans le décor.

    Robert Bertrand

  • Lettre à mon frère Nicolas

    19 octobre 2008


    Quand OTTAWA JUBILE c'est qu'il y a matière à se révolter. Tous les ténors fédéralistes jubilent ? Alors, n'est-ce pas la preuve qu'il y aurait un « escroc » en la demeure !

    Les « mamours », Sarko peut se moucher avec. S'il veut servir les Desmarais et consorts, qu'il aille le faire dans son repaire, pas en des conférence de presse et encore moins en notre Assemblée nationale.

    Parler des deux côtés de la bouche et il vient faire cela à Québec, en nos murs, sur notre sol, sans sourciller. Qu'il aille se faire dégrossir ailleurs !

    La « mauvaise foi » n'est-ce pas l'équivalent d'un coup de poignard ?

    La langue française est la langue de la diplomatie. Quand on veut être clair on emploie les bons mots et on ne laisse pas prise aux ambiguités.

    Raison de plus d'aller rapidement vers la pleine souveraineté du Québec.

    Robert Bertrand

  • La victoire de la nation québécoise !

    13 octobre 2008


    Pour les partis politiques de leur Canada et comme vous ajoutez, la médiacratie, ne doit-on pas reconnaître qu'ils n'avaient qu'un réflexe : la pertinence du BLOC à Ottawa.

    Les électeurs et les électrices qui votent pour le BLOC sont Québécois et Québécoises. Ils veulent que les intérêts du Québec soient défendus à Ottawa tant et aussi longtemps qu'OTTAWA existera dans leur cheminement.

    Se pourrait-il qu'OTTAWA soit de trop pour les électeurs et les électrices de Terre-Neuve ? pour les électeurs et les électrices de l'Alberta ? pour les électeurs et les électrices de l'Ontario ? On sait déjà qu'Ottawa est de trop pour le Québec.

    Ces électeurs et ces électrices des autres États du Canada comprendraient-ils, enfin, qu'il serait de leur intérêt d'avoir l'équivalent d'un BLOC terreneuvien, ontarien, manitobain, albertain ?

    Est-il temps de penser à une CONFÉDÉRATION D'ÉTATS SOUVERAINS sur l'ensemble du sous-continent nord américain que l'on appelle encore, pour le moment, CANADA ?

    Est-ce aux différents peuples à s'adapter aux institutions ou n'est-ce pas l'inverse ?

    L'institution fédérale actuelle est désuète. Elle a fait son temps.

    Les États sont-ils assez adultes pour s'assumer ? Quant au Québec, il a ses institutions, son peuple, sa nation. Son Pays est inscrit dans le coeur et la volonté populaire. Les élites éviteront-ils toutes les manipulations déjà connues ?

    La médiacratie et les partis politiques finiront-ils par comprendre ?

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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CONTACT #46 | L'américanisation de l'espace mental - Mathieu Bock-Côté (par Stéphan Bureau)

  • 14 janvier 2024

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